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"- Yel, je sent une main se posait sur mon épaule et je resère mon étreinte contre Talia. Je suis désoler... sa voix est calme. Il prend une chaise et s'assoie à côté de moi puis commence à me caresser le bras. Tu veut bien me regarder?"

Je me retourne face à Taylor et lui montre mon visage remplit de haine et de tristesse. Il essuie avec son pouce les larmes qui devalent mes joues. Il me prend naturellement dans ses bras. J'étouffe mes pleures contre son torce. Il passe une main en dessous de mes genoux et me porte.

"- Je suis désoler... il m'embrasse le front et me sort de la chambre."

Quand il me sort de l'hôpital il fait déjà nuit. J'ai passer ma journée avec Talia à ne rien faire. Je ne me suis même pas aperçu du temps qui passer.
Lorsque nous arrivons chez moi, mon père nous attend. Il me prend dans ses bras à son tours.

"- Merci, Taylor! Tu peut rester dormir si tu le souhaite. Taylor acquiesce à la proposition de mon père. Je t'aime chérie. Il me prend la main et m'emmène dans ma chambre.

- Je t'aime! Je le regarde les yeux encore gonflés."

Il écrase ses lèvres contre les miennes. Je passe ma main dans sa nuque et lui pose ses mains sur mes hanches. Il me pousse jusqu'au lit où je m'allonge.

"- Je peut pas faire ça! Il se relève et s'assoie sur le bord du lit. Tu n'est pas dans ton état naturel. Je soupire et m'assoie à ses côté.

- Je suis désoler... je ferme les yeux et met mon visage dans mes mains.

- Ce n'est pas ta faute tu es à bout de nerfs. Bon changeons de sujet! Tu fait quoi demain?

- Merde! Liv! Je les complètement zapper. Je me lève et prend mon portable pour lui envoyer un message."

De: Yelena

A: Liv

Désoler pour demain je vais pas pouvoir venir j'ai un empêchement... vraiment desoler dit moi quand on pourrais se voir plus tard?
Biz.

Je part prendre une douche laissant Taylor seul dans ma chambre. J'ai besoin de me vider l'esprit. De réfléchir à mes pensées de cette journée. Il faut que je trouve une solution. Mais comment?
Une demi heure plus tard je sort de la salle de bain prête. Taylor, lui s'est déjà assoupi sur mon lit me laissant une petite place. Quand je m'allonge prêt de lui, je fait en sorte de pouvoir le regarder. Je l'embrasse sur le joue et ferme les yeux avant de sortir de ma chambre part la fenêtre.

Pendant plus d'une heure je marche sans but à penser, réfléchir, pleurer; puis je me dirige de pieds ferme vers l'hôpital. Il est vingt-deux heure quand je me retrouve face à ce grand bâtiment. C'est partie pour le plan A!

Dix heures plus tard:

La porte s'ouvre et la mère de Talia apparaît. Je suis prête à l'affronter, elle, pour sauver mon amie. Lorsqu'elle me voix elle fait les gros yeux. Elle n'a pas de sentiments.

"- Que faite vous ici? Je la regarde perché sur mon siège ou je les attendu toute la nuit, mais je ne répond pas. Je vais appeler la sécurité si vous ne sortez immédiatement! Je la regarde et commence à sourire je veux la rendre folle.
- C'est plutôt moi qui devrait appeler la sécurité madame. Vous souhaitez assassiner votre propre enfant. Son masque tombe, son sourir s'efface et laisse place à la culpabilité mais je continue. C'est votre fille! Vous l'avez voulu, vous l'avez porter, vous lui avez donner la vie et vous souhaiter aujourd'hui lui reprendre? Elle soupire.

- Je ne veux que sont bien, j'étouffe un rire puis la regarde dubitatif. Elle souffre actuellement!

- La seule raison pour laquelle elle a le plus souffert c'est car vous êtes égoïste. Vous la mépriser d'avoir des amis et vous la détester encore plus de vous abandonner. Mais vous ne pouvez pas la tuée, c'est votre fille! Elle répond vite, trop vite, sans réfléchir.

- Ce n'est pas ma fille! Aussitôt cette phrase sortie elle plaque ses mains sur sa bouche. Je sourie un peu plus.
- Qui êtes vous? J'avais raison! Vous êtes la pire femme qui puisse exister.

- Je suis sa belle-mère! Sa mère est partie et la abandonné quand elle n'était qu'un bébé et moi j'était la nouvelle copine de son père. Il est mort un peu après, il s'est suicider à cause de la perte de son premier amour. Je n'était qu'une remplaçante. Il m'a rien laissait, dans son testament il a tout donner à cette femme qui c'est enfuit. On été même pas mariés quand il s'est suicider.

- Vous en voulais à Talia pour être la source de vos problèmes et de votre solitude. Je devrait appeler la sécurité vous n'avez rien à faire là!"

Je me penche pour appuyer sur le bouton d'un boîtier mais la femme se rue vers moi et me balance par terre. Je la regarde et elle me met un coup de pied dans le ventre. Encore et encore. Je hurle de toutes mes forces pour interpeller quelqu'un. Une infirmière ouvre la porte. En quelques seconde je me suis retrouver en salle de consultation a être interroger et occulter en même temps par des médecins. Après leurs avoir tout raconter mon père débarque dans ma chambre.

"- Chérie! Es ce que ça va? Il passe sa main sur ma joue et j'acquiece. Elle va être internée dans un asile pendant un temps. On ne s'est pas se qu'il lui a pris.

- Et Talia? Je m'en fou royalement de ce que cette mégère peut devenir.

- Je ne sait pas encore, elle n'est pas tirer d'affaire mais plus personne ne va la débrancher.

- Passe des tests d'ampoisonnement, elle est tellement folle qu'elle en serait capable. Il me sourie.

- C'est ce que j'ai fait! On est synchroniser toi et moi. Tout va s'arranger. Il dépose un baiser sur mon front et sort de la chambre signer des papiers."

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Alourrrr ????
Voilà voilà... que de révélation.
Bon je sait plus quoi marquer donc je vais faire simple: vous pouvez commenter et voter si ce chapitre vous a plus.

Bisous 💚🍍

Reste (terminer)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant