25

11 0 0
                                    

Je suis retourner à l'hôpital, aucun message de Sofia. Quand les portes automatiques se sont ouvert sur moi, j'ai découvert ma mère affaler dans un fauteuil de l'accueil. Sofia a reprit son poste et elle a meilleure mine. Je passe a côté d'elle et monte directement. Je ne m'arrête même pas pour parler à ma mère. Si je lui adresse la parole je serais trop énerver contre elle. Quand j'arrive dans la chambre de Yelena, il y a plus de personne que d'habitude. Je m'attendais a trouver Tristan et peut être son père mais il y n'y ai pas. Il y a bien sûr Tristan mais aussi Josh, Maëva et Chloë sur ses genou et Talia. Quand je m'approche de la porte je découvre des médecins vers lesquels tous les regards fuse. Le père de Yel en fait partie, ils sont quatre au totale. 

- Ah Taylor, te voilà! Tout le monde se retourne vers moi après l'annonce du Dr. 

- Oui, qu'es ce qu'il ce passe David? Le père de Yel m'invite à m'asseoir sur le bord du lit. 

- Et bien filston, on as pris une décision, pas facile mais inévitable à ce stade. Il prononce cette phrase sur un ton solennelle. 

- Me dite pas ça! Je vous en supplie. Talia m'attrape le bras qui se contracte sous ses doigts frêle. 

- On est désoler Taylor mais on a plus le choix. On va pas la laisser indéfiniment dans le coma. On ne trouve aucun remède. Il faut essayer quelque chose. Ça ne me plait pas à moi non plus. Mais j'en ai marre de voir ma fille dans cette état, je veux essayer un truc. Il se cherche des excuses malgré qu'elle soit toutes valable j'ai du mal à avaler la nouvelle.

- Attendais, laisser moi trouver un truc. Je ferrais des tests. Mais laisser moi le temps. J'ai dit ça comme ça mais en vrai à y penser c'est une bonne idée. 

- Mais tu n'est pas médecin Taylor. Son ton désoler commence à me soûler.  

- Je vais le devenir. Laisser moi le temps qu'il faudra, et je la sauverais. Enfaîte je n'ai qu'elle pour raison de vivre. 

- On ne peut pas attendre autant de temps. Il commence également à s'énerver. 

- Vous ne pouvez pas ou vous ne voulez pas? Je suis sidérer que même son propre père ne se batte pas un peu plus. 

- Je n'en peut plus, j'ai déjà essayer pour ma femme, j'ai voulu faire le même chemin que toi. Et regarde ou j'en suis. Elle est morte et ma fille est dans le coma. En attendant je ne peut rien faire d'autre que de me morfondre car c'est une maladie incurable. Mais au lieu de te détruite je préfère essayer de nous voiler la face et de faire comme si il y avait une solution. Le seule problème c'est que a part lui balancer des calmant pour la réveiller sans craindre une nouvelle crise on ne peut rien faire Taylor. Rien d'autre qu'un petit calmant qui ne retardera que de deux toutes petites minutes la crise foudroyante. Je ne veut pas qu'elle souffre plus longtemps. J'ai essayer mon fils mais non. Je ne veut pas la retenir plus longtemps égoïstement sous prétexte que c'est ma fille et que je l'aime. Si elle est dans cette état aujourd'hui c'est que son heure a sonner. Que tu le veuille ou non. 

- Vous êtes pas croyable. Vous avez taffer toute votre vie pour tout foutre a l'eau. Vous êtes le meilleur mais à la moindre faille de votre part vous abandonné. Je croit que vous ne connaissez pas si bien votre fille pour être honnête. 

- Vous n'avez passer que quelques semaines avec elle. 

- C'était bien assez pour savoir que c'était la fille la plus généreuse qu'on connaisse. Elle n'a accepter qu'une fois de se laisser aller mais uniquement parce qu'elle n'était pas la seule à profiter de se moment égoïste. Vous étiez son modèle, vous êtes devenue le mien parce que je croyais que vous ne reculer devant rien. Mais enfaîte vous êtes aussi lâche que ma mère. 

- Chéri? Je me retourne vers la voix fébrile derrière moi. 

- Maman? Je suis désoler mais c'est la vérité. Tu aurais pu me dire que il n'était pas mon père. Je me retourne vers M.Black. J'ai besoin d'elle comme j'ai besoin de vous. Vous représenter ici la seule figure paternelle. Elle était ma seule raison d'avancer, pour elle je voulais être le meilleur. 

- Ok! Je vous donne une semaine, mes livres de cours et ma présence pour vous aider. Mais après ça j'achevrais sa douleur. Pas une journée de plus. 

- J'accepte. Il me fait signe de me lever. Je dépose un baiser sur les lèvres de Yelena avant de sortir de la pièce. Ma mère me regarde toujours froide cette fois si. 

- Je suis désoler. 

- Ce n'est pas le moment maman. On parlera plus tard. 

Même si se retournement  de situation me paraissais inspirer d'un roman, je suis soulager. Je sais que le chemin va être compliquer et que même avec tout les meilleurs médecins du monde réuni dans la même pièce, il me serra quasi impossible de trouver quoi que se soit en une semaine. Mais j'ai réussi à lui obtenir une semaine de sursis et c'est déjà un bon début. Je ne pourrai pas négocier indéfiniment, mais je garde espoir car l'espoir c'est tous se qui maintient en vie. J'ai besoin d'elle. Je l'aime et je voulais faire ma vie avec elle. Je commençais à me voir avec des marmots sous le bras pendants qu'elle me regarderai le café a la main en rigolant parce que j'aurais de la peinture sur la gueule. Je me suis dit que je passerais tout les prochains jours de ma vie a m'endormir à ses côtés. Et que même si l'amour idéal n'existe pas on ferrai rager toute les ménagère du quartier. Je voulais la faire voyager au quatre coin du monde. Dans l'avion elle m'aurais agripper le bras parce qu'elle aurais trop peur. J'aurais était le gendre idéal, celui qui va bricoler avec beau papa le week-end. Malgré que nos enfants ne voie qu'un papy et une mamy. Notre vie simple aurais était parfaite. J'aurais aimé que ce soit ainsi mais c'est mort. Tout tombe à l'eau. 


Reste (terminer)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant