Reste (terminer)

19

Quand je suis de retour dans la maison de l'horreur. L'homme que j'ai mit à terre est assis à la table du salon, un verre de whisky à la main. Il est calme malgré son oeil devenu bleu et le sang coulant de son arcade jusqu'à sa pomette. Il a les lèvres ouvertes et gonfler.

"- Je savait que tu allait revenir. Il ne me regarde pas. Qu'es ce que tu veut maintenant? Il me demande ça avec méchancetés.

- Pourquoi? J'essaye de ne pas osser le ton avec lui malgré tout.

- Pourquoi quoi? Aboie t-il.

- Pourquoi a tu commencer à taper maman? Pourquoi est-tu aussi violent? Je le regarde du point de vue d'un enfant car quand tout cela a commencer je n'avais pas l'âge de comprendre...

Flashback:

- Joyeux anniversaire mon chéri! Je suis accueilli, au petit matin, par une mère surexiter le jour de mon anniversaire et des confettis sur la tête en plus des banderoles accrocher au mur. Ça ce fête les six ans de mon petit prince! Tu n'est pas d'accord mon coeur? Elle se tourne vers mon père.

- Tu croit pas que tu en fait réellement trop? Le regard de ma mère, interrogateur, se pose sur lui. Avec tous se foin! Il est bientôt 11 heure et tu n'a pas commencer à préparer le dîner.

- Excuse moi MONSIEUR si j'ai du travailler sur un dossier pour le bureau ce matin et que après j'ai voulu préparer un petit quelque chose pour notre fils qui je te le rappele fête son anniversaire aujourd'hui! Il se lève d'un bond et se dirige sur elle.

- Mais MADAME, la place d'une femme n'est pas au travail mais dans la cuisine! Aussitôt sortie que le claquement de la main de ma mère contre la joue de mon père resonna dans l'appartement. Tu as fait quoi là? Les yeux de mon paternel devienne rouge de colère. Il prend ma mère par le pull au niveau des épaules et la balance contre le canapé.

- Mais tu es malade! Ma mère le regarde avec fureur.

- C'est peut être toi que je devrait faire interner pour ton exhibition dans les rues en jupes courtes. Fait attention tu va finir par te faire violer et tu sera à qui sera la faute. Mon père est devenu hautain.

- Mais tu es complètement attarder mon pauvre garçon! La femme est libre! Un sourir s'affiche sur les lèvres masculine.

- Les femmes sont libre d'obéir à leurs mari. Ton manège a assez durée! Ma mère reste perplexe...

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- Tu es un être sans coeur, d'ôter d'une âme impure! Je le regarde fixement.

- Oh! Me sort pas les grandes phrases à la mort moilneux! Tu c'est très bien que la vie est ainsi et que tu sera comme moi fils. Il a l'air convaincu de sa connerie.

- Je ne suis pas ton fils. Tu n'est même pas humain pour faire de tel atrocité. Il se leva d'un bont pour ce retrouver en face de moi.

- Si je comprend bien, c'est le faîte de lever la main sur ta très cher mère qui me fait devenir un monstre. Et bien fils tu me ressemble regarde ce que tu as fait! Il écarte les bras pour me montrer les blessure que je lui est infligée.
- Je ne suis pas un monstre et je ne serais jamais comme toi. Si je t'ai frapper c'est pour protéger maman. Et tu n'est juste qu'un géniteur de pacotille. Je suis furieux qu'il me compare à lui.

- De pacotille moi? Il rigole. Je croyais aussi que je serais un papa poule et que je ne ressemblerai pas à mon père mais regarde moi... tu seras pareil! Tu sauras que j'ai raison.

- Je vais te prouver que tu as tord! Son rire est tellement mesquin mais je suis déterminer.

- Comment tu va mettre en cloque la petite que ta mit dans le coma? Il n'a pas le droit, pas elle, pas en ce moment!

- Ferme ta gueule! Je le pousse. Il a toujours l'air ignoble.

- Comment elle s'apelle déjà? Hum... Yesta,... Yelena? Oui c'est ça! Il veut me faire péter un plomb mais je préfère me taire. Elle doit être mignonne.

Mon point atterri encore une fois dans sa mâchoire. Il y a à nouveau du sang projeter sur le sol. Lorsqu'il relève la tête, il me regarde quelque seconde avant de ce jeter sur moi et de s'acharner sur moi. Entre droite dans le visage et coup de genou dans les côtes je suis servi. J'essaye temps bien que mal de reprendre le pouvoir mais quand un homme et au dessus c'est bien difficile. Je prie juste pour que sa s'arrête. Au bout de quelque minute à me protéger le visage à l'aide de mes avants bras, il se relève.

- Ta eu se que tu voulais maintenant bars toi! J'essuie le sang de ma lèvre.

- J'vais récupérer les affaires à maman! Je me dirige vers sa chambre, prend le premier sac qui me vient sous la main et prend tout se que je peux.

Lorsque je m'apprête à sortir de la maison, je me retourne et jette un dernier coup d'oeil à mon géniteur.

- Adieu Salopard!

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C'était long à faire ce chapitre... Je sait pas pourquoi... ^^

Kiss💚🍍