Reste (terminer)

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Yaah, je suis de retour. J'ai crée un rantbook ou tu pourra y voir les prévisions des publications. Ca fait longtemps j'ai pas écrit alors j'espère ça te ferra plaisir... 

Lorsqu'on arrive dans la chambre avec Talia, j'aperçois Tristan avachie sur le lit, le cul sur une chaise. Et plus loin dans le fauteuil, Josh attend. Mais qu'es ce qu'il fou la lui? Il observe Yelena. 

- Putain ça fait un baille mec! Lorsque je m'adresse a lui, il se lève et vient me serrer la main. 

- Ouais, j'avoue. Il fallait je te dise un truc. Je le regarde interrogatif. Un jour quand elle était énervée elle m'a appeler pour que je l'emmène a la plage. Et elle n'à fait que de me parler de toi. Elle m'avait dit que quand elle partirai, elle voulais que je m'occupe de toi et que je te dise un truc.

- Attend tu savais? Enfaîte ça me surprend à peine. La complicité qui s'était installer entre les deux était plutôt surprenante mais j'avait confiance.

- Oui! Elle m'a parler de ses crises et du faite qu'elle était de plus en plus régulières et rapprocher. Mais elle m'a fait promettre d'en parler a personne. Elle ne voulais pas que l'on s'inquiète pour elle. 

- Et du coup tu avait quoi à me dire? 

- Elle voulais que tu sache que elle t'aimer vraiment. Et que si il y avait le moindre tests à faire pendant qu'elle était vivante et que ça pourrais aider quelqu'un d'autre il fallait le faire, même si elle risqué de mourir. Elle m'a dit qu'il fallait que tu refasse ta vie que tu devienne la personne bonne que tu était avec elle. Que tu ne face plus souffrir personne. Et elle à parler de ta famille comme quoi faut que tu écoute ta mère ou je ne sais quoi j'ai pas tout compris. Je reste planter debout là alors que Josh retourne à son post. 

J'en avait parler, à Yel, de mes problèmes de communication avec ma mère, mais je n'est jamais réussi à lui parler de mon géniteur. Je me rappelle également ce que ma mère m'avait dit. Que peut être était ce un signe de Dieu pour que je m'occupe de tout mes problèmes personnel pour n'avoir plus que elle à me consacré. Elle qui est très croyante a toujours beaucoup de conseils qui vienne de signe de Dieu. Même si moi je n'y ai jamais cru...                                                                   Comment puis je y croire quand un homme bat ma mère, qu'il me renvoie de la maison à chaque connerie de gamin effectuer. Quand j'ai faillit mourir plus d'une fois en vagabondant, seul dans le froid de l'hiver. Quand les seuls solutions pour apaiser ma colère était de la refourguer autour de moi. Je suis devenue un monstre pire que mon père lorsque j'ai blesser toutes ces filles qui on juste voulu crée quelque chose avec moi. Je suis devenu un monstre lorsque je suis partie de la maison et que j'ai abandonné ma mère dans le château de l'enfer. J'aurais du la protégé dés le début. Dés ma fête d'anniversaire j'aurais du faire quelques choses. Ce n'était pas une simple engueulade de couple et j'aurais du prévenir la police. Mais je n'est rien fait, j'ai préférer rester dans mon coin à faire mes connerie. Alors oui peut être un Dieu quelconque soit t'il existe mais pour moi si il était réelle il n'aurais pas fait de moi le monstre que je suis aujourd'hui, il aurait protégé ma mère, il aurait envoyer un signe. 

Dans ma réflexion je ne me suis pas aperçu que j'ai rejoins ma mère à l'accueil de l'hôpital. La seule raison? Je ne sais pas. Je me dirige vers l'hôtesse d'accueil. 

- Salut Sofia! 

- Salut, tu as besoin de quelques choses Taylor? Elle as l'air exténuer. Elle n'a pas quitter son comptoir depuis que Yelena est ici. 

- Heu oui, tu pourrais m'envoyer un message dés que ta du nouveau? Je lui donne mon numéro sur un bout de papier. 

- Bien sur, mais pourquoi? Tu part? 

- Oui j'ai quelques trucs à réglés. Elle me fait sa petite mou inquiète. Te tracasse pas c'est trois fois rien, et puis je revient dans pas longtemps. Elle esquisse un sourire forcé. Et puis va te reposer un peu ta une mine affreuse. C'est bon j'ai gagner elle a rit. 

- Bon ok, mais rentre vite. Elle a besoin de toi. Je lui tourne le dos et va chercher ma mère. 

Elle est là, assise sur une chaise de la salle d'attente. Elle regarde autours d'elle la peur dans les yeux. Je sais qu'elle chercher une personne en particulier. Je ne support plus la voir ainsi. Depuis ce jour ou il a oser levait la main sur elle, tout a changer. Elle as eu la boule au ventre des quelle se lever. Peur d'un retour de droite. Le soir, elle était contracter de partout. Les yeux rond comme des billes terrifié de se coucher. Je ne comprend toujours pas pourquoi elle n'est pas partie, pourquoi elle n'a pas fait nos valises. Elle as préférer vivre horrifié a chaque seconde de sa vie, la raison met inconnu. Je me tient as présent devant elle. 

- Vient on y va. Elle me regarde plus étonné que interrogatrice. 

- Elle s'est réveiller? Qu'elle question con serieux.

- Non maman, on as juste des choses a faire toi et moi. Tu as bien dit qu'il fallait que je réglé mes problème avant de me consacré totalement à elle. Elle se lève et pose sa main sur ma joue. 

- Je suis fière de toi mon fils. Je l'ai toujours était même si parfois tu ne faisait rien pour. Je lui souri et dépose un baiser sur son front. 

Je l'attrape par le bras et l'emmène à la voiture. Je conduit jusqu'au poste de police. 

- Qu'es ce qu'on fait là chéri? Elle s'adresse toujours à moi avec sa voix douce et calme. 

- On fait un truc que j'aurais du faire depuis longtemps. Ou plutôt que j'aurais du te pousser a faire depuis longtemps. 

- On ne peut pas faire ça. Il va forcément y avoir des représailles. Et puis ils vont nous rigoler au nez quand on va y allait. 

- Si maman. Il faut qu'on porte plainte ensemble. Même si tu as peur de lui. Je suis là maintenant plus jamais je ne laisserai te toucher. Je ne comprend toujours pas pourquoi tu est rester avec lui. 

- Il était notre seule solution de vivre. S'était lui qui avait l'argent, si je partais je perdait tout. Et ton avenir a toi était foutu. J'ai fait ça pour que tu vive. Et puis il n'avait pas totalement tors. J'ai était idiote quelques fois alors il me replacer lorsque je n'était pas a ma place. 

- Mais putain maman! Je tape un grand coup sur le volant. Non tu n'as jamais était idiote. Tu tes juste laisser faire. Et puis on aurait pu survivre sans lui. Tu aurais trouver un petit taf le t'en que j'ai l'âge de bosser et on aurais réussi ensemble. Mon avenir n'a pas était mieux que si on aurais fouttu le camp.

- Si! Tu as pu allait à l'école. Et puis tu est devenu un beau jeune homme. Je suis sur que tu vas faire de grande études et même si tu n'en fait pas je reste fier de toi. 

- Regarde moi maman! Regarde ton fils! Regarde le monstre que je suis devenu! 

- Tu n'est pas un monstre mon chéri. 

- Si maman! J'ai fait du mal a tellement de fille. Je leurs est brisée le cœur. Je leurs parler juste pour nicker. Je fumer et buvais as ne plus savoir qui j'était. Le lycée ne m'a pas aider. Je me suis battu contre tellement de mec pour des raisons faible et inutile. Alors tu voit le fils que tu as devant toi as réussi à devenir un monstre lorsqu'il ta lâcher dans la cage au lion seule. Je suis devenu un monstre en le laissant te détruire a petit feu. Je l'ai laisser te torturer autant physiquement que psychologiquement. Je l'ai laisser tuer la véritable personne que tu était vraiment. Et tous sa pour quoi? Pour partir faire des fêtes et me droguer un peu plus.Alors maman regarde moi droit dans les yeux et dit moi que je ne suis pas un monstre! Elle vient encerclé mon visage de ses mains frêle comme à son habitude. 

- Tu n'es pas un monstre! Tu es mon fils. Tu as juste voulu échappé à une vérité inéluctable. Tu es humain et je ne t'en ai jamais voulu pour ça. Tu as peut être fait toutes ces choses mais tu n'es pas un monstre. On as pas besoin d'y allait, tu as déjà avouer toutes tes fautes et c'est déjà ça être pardonné.

- Si maman c'est justement pour ça qu'il faut qu'on y aille. Je veut me racheter une bonne conscience. Alors si tu veut que je continue à me torturer l'esprit avec ça ok! Mais je resterai le monstre que je suis. Ce n'est pas avec des belles paroles que tout peut s'arranger. Je t'en supplie si tu ne le fait pas pour toi fait le pour moi. Elle décolle ses mains de mes joues et ouvre la portière.