chapitre 11

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Vous connaissez la musique, ATTENTION, ce chapitre contient une scène d'homo-romance, susceptible d'heurter la sensibilité des plus jeunes

Chapitre 11

Christopher cilla fasse à la demande exigeante de son presque amant. Par le Seigneur, l'homme en voulait plus. Et il allait lui donner encore davantage. Sébastian l'avait poussé dans ses retranchements.

- Oui !! Tu vas avoir encore plus !

Christopher se leva rapidement, fouillant la pièce du regard. Il récupéra son pantalon sur le sol et fouilla les poches. Il sortit une petite fiole, qu'il agita devant le nez de son futur amant. Puis il l'attrapa et l'amena devant la méridienne installée non loin et le fit assoir. Il déposa l'objet à côté de lui et lui retira le reste des habits. Quand son amant fut complétement nu, il s'arrêta quelques secondes, le temps de pouvoir contempler ce superbe corps offert à sa vue.

- Tu es magnifique, murmura-t-il.

La rougeur qui se peignit sur les traits de Sébastian le fit sourire. Christopher se redressa et entrepris d'ôter le reste de ses vêtements sous les yeux affamés de son amant. Sa nonchalance ne masquait en rien, l'impatience qui le tenait. Quand il fut complétement dévêtu, il se tint immobile au-dessus de Sébastian, lui laissant absorber la pleine mesure de son excitation. Son sexe lourd et tendu se dressa devant l'admiration muette dont il était le sujet. Il constata que son effeuillage n'avait pas laissé son compagnon indiffèrent. Son membre avait repris de sa vigueur.

- Je vais t'aimer, te rendre fou, jusqu'à ce que tu ne saches plus qui tu es !

Impatient, il colla son corps à celui de son soupirant. Savourant les plats et déliés de cette magnifique musculature. Il commença à déposer des petits baisers sur le torse de Sébastian qui frissonnait à chaque caresse humide de ces lèvres. Excité par les sons qui sortaient de cette bouche charnue, il entreprit de lui caresser son sexe, en gestes rapides, uniquement museler par le besoin de le toucher, de sentir sous sa paume, la peau de l'homme qui allait bientôt posséder. Les mains serrées autour de lui, l'une sur l'autre, il savourait les caresses qu'il imprimait à son épaisse érection.

Attentif, il fixait le visage de son compagnon, se délectant de l'expression sauvage et de désir qui l'animait.

Enhardi, il colla sa bouche sauvagement sur celle de Sébastian qui feula sous cette attaque sensuelle, tandis que la vitesse de ces mains prenait de l'ampleur. Il regardait Sébastian se tordre sous ces attouchements.

Le corps humide de son amant l'excitait terriblement. Impatient, il obligea ce dernier à écarter ces cuisses. Sans lâcher son amant du regard, il prit la petite fiole et oignit son sexe dur, Sébastian contemplait ce spectacle en s'humectant les lèvres. Le visage rougit par le désir et la gêne.

Christopher humecta ses mains et commença doucement à préparer son amant à son intrusion. Il inséra un doigt humide, le faisant tourner. Sébastian lâcha un cri en sentant l'index le fouiller. Puis un deuxième doigt vint se nicher contre le tout premier. Laissant le temps à son amant de s'habituer à cette intrusion. Quand Sébastian hocha la tête, l'invitant à poursuivre, le Duc débuta un mouvement de va-et-vient, ouvrant de plus en plus l'accès si tentateur. Il eut un sourire de victoire quand son amant sursauta et poussa un long feulement. Il avait trouvé le siège du plaisir de son amant. Il continua à effleurer la glande, amenant son amant toujours plus haut dans le plaisir.

Quand Sébastian fut prêt, le Duc retira ses doigts. Sans hésiter une seconde de plus, Sébastian écarta ses jambes complètement. L'instant d'après, Christopher le récompensa en posant la pointe de son sexe, épais et ferme, contre son rectum. Retenant son souffle, il s'accrocha à ses hanches, sur le fil du rasoir, figé par l'attente et le besoin.

ECHEC ET MATOù les histoires vivent. Découvrez maintenant