Âme Soeur (Terminé)

chapitre 1 : larmes et sang

- Aujourd'hui est un grand jour pour nous. Le jour de notre combat face à la meute Baker est arrivé apres de longue menace lacte a rejoind la parole. Deux option s'offre à nous : les tuer ou être tué. Quelque soit le verdict, je suis fière de notre meute et de tout ce que nous avons accomplit alors battez vous avec courage et hargne et faisons tout pour vivre, même si pour ça nous devons tuer.

Voilà les paroles de mon père, l'alpha de la meute Whiter, notre meute, ma meute, celle pour laquelle nous allons nous battre tous ensemble et pour laquelle nous allons tuer.

Tout le monde se prépare au combat, nous partons en direction de la forêt des plaines, cet endroit est parfait pour le combat qui s'apprête à commencer car il est éloigner de toute civilisation et donc aucun humain ne pourra nous voir.

Nous nous transformons pour prendre forme animal, mon père a un pelage noir comme la nuit, il paraît invincible et très puissant, ma mère, la luna de la meute, possède un pelage beige qui la rend magnifique. La plupart des loups de la meutes sont noir mais moins que mon père, moi je suis blanche, d'un blanc parfait, sans tâche, je suis une des rares à être de cette couleur, elle signifie la pureté.

- allons y meute Whiter, allons ensemble vers la victoire crie mon père

Sous me commandement de l'alpha, nous avancons vers la forêt des plaines, près à en découdre et à tuer.

Une fois arriver, nous sentons l'odeur de la meute adverse avant même de les voir, mon coeur bat de plus en plus vite. C'est maintenant ou jamais qu'il va falloir se battre. Vivre ou mourir, pas d'entre deux.

Les Baker nous observe, mon père s'avance, les loups Baker grognent mais ne font rien sous le regards méchant de mon père, l'autre alpha s'avance, ils se regardent longuement avant de baisser la tête et hurler les yeux vers le ciel.

Voilà le signal c'est maintenant que tout ce joue, continuer ma vie tranquille ou rejoindre la mort et ses jugements. J'opte de référence pour la vie mais pour ça il va falloir se battre, alors prise d'une rage soudaine je fonce sur un loup adverse et lui déchiquete le cou. Je vérifie qu'il est bien mort avant de choisir ma prochaine victime.

J'en tue trois, quatre, six, dix puis au moment où je viens d'en finir avec un autre ( et de onze les amis ), j'entends des pleures, des pleures bien particulier, ceux d'un humain, d'un bébé plus précisément. Je tourne la tête et vois que le combat est arrêté, cela me permait d'évaluer le nombre de pertes qua subit notre meute, pour l'instant sur 50, 16 personnes sont mortes. Je fait une petite prière silencieuse en leur honneur avant de me reintérreser aux cris.

Mon père prends la parole :

- c'est un cri d'humain

- nous avions remarqué répond froidement l'alpha de la meute Baker

- comment ce fait t-il qu'un humain ce trouve la ?

- cest bien ce que je me demande mais passons peu importe ce n'est pas ce petit être qui ira nous dénoncer

- nous ne pouvons pas prendre de risque qu'il se souvienne de quoi que ce soit ou que ses cris alertes d'autres humains

- tuons le dans ce cas !

A peine à t il finit ça phrase que je grogne, il est hors de question que l'on tue un bébé innocent. Je fais savoir mon avis à mon père qui me regard d'un air " je suis désolé mais je ne peut rien faire, il ne m'écoutera pas ".

Je me dirige alors vers les cris sans prendre en compte les grognements des loups, je fini par trouver une jeune femme avec un bébé dans les bras, la femme à l'air incconsiente.

- je vais les tuer, laisse moi passer

Cette fois que je ne connais ni d'Adam ni d'Éve peut toujours rêver pour que je me pli à de telle demande

- pas question, ne tapproche pas Je grogne férocement tout en essayant de rassurer le bébé

- bouge toi j'ai dit mon père ma donné un autre je dois l'exécuter

- et moi j'ai dit non

- rien à foutre. Je te laisse le choix soit tu bouge tes jolies petites fesses maintenant et tout ce passera bien pour toi soit c'est moi qui te bouge et crois moi je vais me faire un plaisir de ne pas prendre de gants

J'entends le loup derrière moi se rapprocher, je reviens à mon apparence humain, j'enfile la chemise de la jeune femme évanouie ( elle a encore un tee-shirt je vous rassure ) consciente que derrière moi se trouve un loup qui j'en suis sûr ne se prive pas de regarder, me place devant les deux humain et dit :

- je ne bougerais pas, en le regardant

Et la ...