Chapitre 18.

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Chapitre 18:

[Je pleurs je hurle, je n'y crois pas, *** n'a pas pu me faire sa, pas à moi !! ]

Farès me regarde, il est content de se qu'il a fait, sa se voit, il a réussit à me détruire, il m'a entièrement détruite, depuis des années, je vis avec Kaïs et jamais il n'a osé me dire la vérité. Comment a-t-il pu ?

Farès me sort de mes pensées.

Farès: Sa fais mal de savoir la vérité hein ?
Moi: Pou..rquoi.. tu..as.. f..fais.. sa ?
Farès: Pour le détruire et le seul moyen de le détruire c'est toi ! Maintenant, tu sais la vérité, jt'avoue que j'ai longtemps hésité avant de te dire la vérité sur toi, mais je me suis rendu compte que en sachant la vérité, tu allais lui en vouloir. Maintenant, tu as cette rage dans les yeux, sa se voit, je sais qu'il va venir te chercher, je suis pas con. Vu l'état dans lequel tu es, il va entrer dans une énorme colère, c'est se que j'attend. Mais à ton avis, comment va-t-il réagir quand il se rendra compte que tu as appris la vérité ?
Moi: Ca...sse...toi !!

Il s'avance vers moi, me donne un énorme coup dans le ventre.

Lui: Sa c'est pour le casse toi !

Et il part, je crache de plus en plus de sang, je pleurs, mes yeux se ferment petit à petit.

Je ne m'endors pas, non je me sens partir, je vais mourir, j'en suis persuadé. Je suis à bout de force, j'essaye de resté éveillé mais rien n'y fais, c'est déjà trop tard, mes yeux se sont fermés..

Il faut que je réouvre les yeux, je ne veux pas mourir, pas maintenant, pas comme sa. J'essaye d'ouvrir mes yeux mais aucun résultat, c'est comme si j'étais dans mon corps sans pouvoir le contrôler..

Je reste comme sa pendant je ne sais pas combien de temps, et plus le temps passe, plus je sens au fond de moi que je suis entrain de mourir. Je sais que si je veux vivre, j'ai besoin d'être soigné, mais c'est pas dans cette cave que sa va arriver.

[Quelques temps après...]

J'entend du bruit, beaucoup de bruit, je veux savoir se qu'il se passe et ouvrir mes yeux, mais vu dans l'état dans lequel je suis, sa ne donne rien, mes yeux ne veulent toujours pas s'ouvrir.

J'entend des bruits de pneu de voiture qui glisse au sol, puis j'entend des cris, des personnes qui bougent dans tous les sens, des tires d'armes..

J'utilise le peu de force qu'il me reste pour ouvrir mes yeux... Au bout de quelques minutes, j'y arrive, mais au même moment, la porte s'ouvre un grand coup, un homme de Farès arrive, c'est le bras droit de Farès, paniqué, il tient une arme dans les mains.

Il ferme la porte de la cave à clé et essaye de la bloquer avec la chaise, il tourne en rond, s'arrête et me regarde.

Il est perdu dans ses pensées quand soudain, un coup de téléphone vient le faire revenir à lui.

Lui: Allo Farès ?
***: ........
Lui: Putain t'es ou ?!
***: .........
Lui: Mais putain c'est la merde là !! Y'a la mafia Parisienne qui vient d'arriver !!
***: ........
Lui: Non Kaïs n'a pas encore trouvé la gamine !!
***: ........
Lui: Oui j'en suis sure puisque je suis avec elle !
***: .......
Lui*me regarde*: T'es sure de toi ?
***: ........
Lui: Je croyais que tu préférais qu'elle le haïsse..
***: ..............
Lui: Très bien. Donc j'attend qu'il arrive pour le faire ?
***: .............
Lui: Pas de problème.

Il raccroche, qu'est-ce que Farès lui a dis ? Je comprend pas, j'étais trop loin pour entendre ce qu'il lui répondait. D'ailleurs, j'avais même pas entendu Farès partir, parce qu'il n'est plus en haut, sinon il aurait pas appellé sont bras droit, il a dû partir tout à l'heure.

Enfin bref, je suis toujours allongé au sol, sans bougé, les yeux à moitié fermés, je perd plus trop de sang.. Le bras droit de Farès fait toujours des allers-retours de la porte jusqu'à moi.

Soudain, on entend plus aucun bruit de tire, mais des bruits de pas qui descendent et se rapprochent de nous. Je peux voir que maintenant, il panique de plus en plus, il stresse, mais il essaye de la cacher.

Quand les pas sont vraiment très près de la cave, le bras droit de Farès se place face à moi et il pointe son arme sur moi.

Je le regarde, ou plutôt je le fixe, lui aussi me fixe, j'ai déjà les larmes aux yeux, lui, il a un regard froid, aucune émotion.

Il charge son arme, il est près à tirer. On entend des personnes crier et taper après la porte, parmis ces voix, j'entend celles de, Kaïs, Yorick, Nacer, Josh, Mam's et Bram's.

Leurs voix sont difficiles à entendre car ils crient tous en même temps. Je ne comprend pas se qu'ils se disent de l'autre côté de la porte. J'aimerai être contente, mais c'est difficile de sauter de joie vu dans l'état dans lequel je me trouve..

Et en plus de sa, comment sauter de joie quand une personne se tient en face avec une arme pointé sur moi ?

La porte va céder, elle tremble, elle bouge de plus en plus. Au moment où la porte s'ouvre, le bras droit de Farès, presse son doigt sur la détente de l'arme.

PAAMMMMM

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Adopté tu m'as menti des années.(terminer)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant