Média: Ashleen
Point de vue d'Adam.– Adam tu vas ou ?
Je m'arrête et me retourne. On vient d'arriver à Paris, j'ai les nerfs parce que ma propre mère m'a drogué pour me forcer à prendre cette avion. Vous vous rendez compte ? Ma propre mère. Sous prétexte que Neyva m'avait ensorcelé pour que je reste avec elle. Certes je voulais rester mais pour au moins pouvoir lui dire au revoir comme il ce doit.
– Ne m'adresse plus jamais la parole Évelyne.
Elle m'a gifler. Devant tout le monde en plus, sincèrement je commence presque a la détester. C'est quel genre de mère ça ?
– C'est la dernière fois que tu m'appel par mon prénom c'est compris ? Je suis pas ta copine.
– T'inquiète je t'appelerait plus simplement.
Je suis partie en taxi, à peine rentrer chez moi j'ai fouillé dans ma valise cherchant mon portable. Mais je ne le trouve absolument nul part, comment je vais faire pour l'appeler maintenant. Ma mère s'est mis dans la tête que Neyva était une de ces femmes qui sort avec des hommes juste pour l'argent. Mais Neyva n'est pas comme ça, je le sais.
Point de vue de Neyva.
J'ai fini par accepter, j'ai accepté la proposition de Denzel. Après avoir subit la pression de mes parents, surtout de mon père, de Denzel et de Sasha. J'ai accepté et me voilà prête à partir avec lui. Mes sacs sont fait plus ceux des parents de Sasha qui lui envoie je ne sais quoi.
– Ma fille, comme tu pars la fait très attention à toi on ne sait pas sur qui tu va tomber.
– Oui maman.
Elle me serre fort dans ces bras. Ma pauvre petite maman, ça me fait mal de la laisser c'est ma maman quand même, j'ai jamais été éloigné d'elle et maintenant je vais à l'autre bout du monde.
– Orh c'est bon ! Câlin, bisou vous aussi vous faites trop de manière. Ce plaint mon père.
Je lâche ma maman pour l'enlacer lui aussi. Il va beaucoup me manquer, j'aurais plus mon petit papa pour me défendre des gars du quartier.
– Toi aussi papa tu vas beaucoup me manquer.
– Tu va plus me déranger.
– Si je vais t'appeler tout les jours.
– Que Dieu te bénisse Neyva. Dit ma mère en caressant ma joue.
Denzel m'a rappelé que notre vol allait bientôt décoller alors j'ai du laisser mes parents. Je me suis retenu de ne pas pleurer sinon ils allaient pleurer aussi.
On est monté dans l'avion et en moins de dix minutes nous avons décoller. J'ai serré la main de Denzel tellement fort que j'ai même cru un moment que je lui avais déchiré la peau avec mes ongles.