twilight : et si ...#wattys2017

chapitre 19

PDV Edwards

Il ne m'aura fallu qu'un quart de seconde pour me rendre compte de trois choses : La première étant que je me trouvais dans la chambre de Bella Swan, face à elle dans la pénombre. La seconde fût qu'elle était simplement vêtue d'une serviette de bain, et la troisième était que si mon cœur aurait encore était présent, celui-ci aurait explosé – trop submergé par sa beauté -. Je la regardais toujours en ne baissant pas mon regard, elle me fascinait, malgré que cette petite tenue m'en aurait donné des rougeurs, j'étais songeur, elle devait me prendre pour un pervers, moi, Edward Cullen. Je la vis s'excusait et s'en aller se vêtir dans sa salle de bain. Je n'étais en aucun cas venu pour la regardait en tenu légère, ce n'était pas mon but ni un loisir comme le font tant d'homme sur cette terre. Certes, Belle avait un physique qui en jalousé plus d'une, mais le respect était l'une de mes plus grandes devise. Le respect de la femme, de la génitrice qui met au monde un nouveau-né, de la mère protectrice. Je repensait soudainement à Esmé, Rosalie et Alice, les femmes qui m'entouraient depuis tant d'années à présent, le respect que j'avais pour elles était immense, je l'ai aimais. C'est alors qu'elle réapparue, je la vis vêtu d'un haut et d'un pantalon cette fois-ci, elle était tout de même splendide. Ses cheveux relevaient à l'aide d'une pince donnait place à un visage radieux, elle était naturelle, aucun maquillage extraverti apparent, une beauté naturelle si je peut dire. Durant son absence je m'étais permis de jeter un œil sur l'un de ses livres de chevet « Roméo et Juliette ». Oh Roméo, m'a toujours tapé sur les nerfs, tu t'entiche très vite du cœur de Juliette alors que tu possède déjà celui de Rosaline.. Oh Roméo, quel égoïste tu fais, à vouloir ton bonheur prendre la place de celui de ta tendre épouse Juliette. Bella semblait avoir remarquée que j'avais de livre entre mes mains, elle ne semblait pas être contente de cela. Je m'en amusait, j'aimais la voir sous différents états, la découvrir quoi..

- C'est ça que tu cherche ?

Lui demande-je, le regard posait sur ses prunelles dorées. 

Je levais à présent le bouquin d'une main, l'un indiquant où il se situait, je voyais la colère monter en elle. 

- Ça t'amuse de rentrer comme ça chez les gens et de toucher à leurs affaires ? T'es vraiment qu'un..

Elle n'eut le temps de finir, cette odeur, son odeur encore plus forte que d'habitude, laissant place à des éclats de fraise, je dois bien l'avouer me laissait rêveur. Repensant au livre qu'elle venait de m'arracher des mains, je me rappelai d'une partie du livre et la récité, tel un poète des rues de Venise.

- Qu'y a-t-il dans un nom ? Ce que nous appelons rose, par n'importe quel autre nom sentirait aussi bon.

J'étais à la fois fier d'avoir retenu une aussi jolie partie de texte, dans un sens, je devais avoir lu ce livre une bonne cinquantaine de fois durant mon existence, c'est fou ce qu'on peu énormément lire en étant immortelle. Je la voyais là, prendre place sur son lit, déstabilisée, elle en était bouche bée, sa réaction m'amusait, je lui envoya un sourire sincère et malicieux. C'est alors que je vis les traits de son visage changer, elle se posée sûrement des questions, j'allais devoir subir un interrogatoire de la fille du shérif Swan, cela était assez ironique. J'aimais cette idée, mais ce jeu se déroulera à ma sauce. J'étais trop impatient de savoir qui tu es, magnifique créature nommée Bella Swan. Toi qui me prive de tes moindres pensées, me rendant fou en un rien de temps, changeant mes sens et m'envoûte à chacun de tes gestes. Je la scrutait alors, essayant à mon tour d'en savoir plus, je plongeait mon regard dans le lien, elle me regardait avec insistance, voulant se prouver à elle-même qu'elle était forte sûrement. J'en souriais encore.

- Que me vaut l'honneur de ta visite mon cher Edward ?

Sa voix la trahissait, cela se voyait dans ses yeux, elle semblait un temps soit peu paniquée, aurait-elle voulue paraître arrogante ou méchante ? Ce ne fut alors pas le cas, sa voix avait tremblée.