chapitre 23

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PDV Edwards

C'est alors qu'après avoir sous-entendue le fait que Bella et moi seront peut-être ensemble dans le futur, Alice s'en allait fièrement vers le premier étage afin de se préparer pour aller en cours et sûrement aussi profiter un peu de son cher Jasper. Je faisais de même, montant au premier étage afin de me rendre ma chambre pour me relaxer un peu sur mon divan en cuir noir pour ensuite me changer pour aller en cours. Je remarquais alors qu'il restait un peu plus de 2h devant moi avant de devoir prendre la route vers le lycée, la chose dont j'avais le plus envie en ce moment. Non pas que j'adore les études, car au final je connais tout ce qu'il faut savoir en biologie à force de l'étudier depuis des années et des années, mais plutôt pour revoir la fille qui faisait tant chavirer mes sens, celle qui m'éblouissait comme je n'aurais jamais pu l'imaginer. Bella Swan, celle dont les pensées me sont inaccessibles mais à présent son contact l'est et j'en étais ravis. Son odeur avait un grand pouvoir sur moi, comme la mienne sur elle, m'avait-elle avouait cette nuit. Á présent que je savais qui elle était, l'une des notre et que discuter avec elle était possible, je pouvais avoir moins peur de ce qui m'attendait. Je savais pertinemment que cette nuit avait était une sorte de déclic pour moi, sachant que je ne lui faisais en aucun cas peur et qu'elle semblait ne pas me détestait, cela me rendait souriant et m'apaisait beaucoup. Il était rare que je souriais ainsi, un sourire d'homme heureux, un sourire de plaisir. Allongé sur mon lit, le bras derrière ma nuque, je me remémorait les instants passés avec elle cette nuit et je me disais que rien ne pourrait détruire cette bonne humeur à moins que ce qu'il s'était passé cette nuit n'est était agréable que pour moi et que Bella a passé une nuit comme les autres.. et voilà que je doute, ce n'était pourtant pas mon genre, mais je ne pouvais y échapper, ses pensées m'étaient inconnues et Bella était si imprévisible qu'il était inévitable que le stresse m'envahissait et que la paranoïa s'installerait. Je voudrais qu'elle soit celle qui me laisserait la chance de continuer à sourire comme je le fais depuis cette nuit, celle qui bouleverserait mes sens comme cela se déroule depuis que mes yeux on croisés les siens, celle qui n'accepterai comme je suis. Je ne connaissais pas grand chose à l'amour, même ayant vus et lus des centaines de fois « Roméo et Juliette », « Autant en emporte le vent » ou même le film « Ghost », où une femme perd l'homme de sa vie, celui-ci continue de surveiller sa bien aimé sous la forme d'un esprit et durant l'intégralité du film il fera tout en son pouvoir pour continuer à la protéger pour enfin pouvoir aller au paradis le cœur certain qu'elle l'aimera malgré que la mort les séparent. Je veux un amour comme dans ce film, un amour pur et sincère, avec des larmes comme au cinéma, mais des larmes de joie et de bonheur et si des larmes de tristesses s'imposeraient, cela sera uniquement lorsque je lui avouerai que je ne pourrais plus vivre sans elle et que la perdre m'abattrais. J'étais perdu dans mes pensées mais la voix d'Alice raisonnait, celle-ci se trouvait derrière la porte prête à me bondir dessus, elle devait savoir ce qu'il s'était passé et ce qu'il se passerait, je lui en voulais un peu car je voulais ces instants juste pour nous deux. Je me levais alors puis ouvrit la porte, ma sœur fit une mince boudeuse, déçue que son plan n'est pue avoir lieu. Je passais alors ma main sur son petit crâne recouvert de cheveux courts et noirs puis m'élançait pour rejoindre ma salle de bain personnelle. Je m'y préparais en prenant le temps qu'il fallait, je n'étais pas du genre passer des heures dans la salles de bain. Une fois mes habits retirés je passais rapidement sous la douche, ne pensant à rien et vidant mon esprit. Lorsque j'eus finis, je me séché puis enfilé un jean noir ainsi qu'un pull de la même couleur, laissant ressortir mon teint blanc et finissait par me coiffer légèrement. Une fois sortie de ma salle de bain je faisais un léger détour par ma chambre afin d'y prendre mon sac de cours puis descendais les escaliers quatre par quatre. Arrivé en bas de celui-ci je pouvais remarqué qu'Alice m'y attendait, un sourire malicieux m'était adressé, elle me caché quelques choses, son esprit était fou, je détestait lorsqu'elle jouer à ce jeu là mais je lui rendais son sourire.

twilight : et si ...#wattys2017Où les histoires vivent. Découvrez maintenant