Je suis Convergente. TERMINÉE

Chapitre 17

Booonnn no comment ! Pour me justifier, je vais cité Michael Crichton:  "L'absence de preuve n'est pas preuve d'absence. " Je travaillais sur la fanfiction mais je séchais suivant certaines scène donc je m'excuse d'avance parce que je ne suis pas satisfaite des prochains chapitres... 

Bonne lecture et merci pour tout vos commentaires !!!!!

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Chapitre 17 :

En voyant son ami s'écrouler au sol, Zeke se retourne et tire sur leur ennemi avant de se ruer vers Quatre.

Il retourne son ami, le cœur battant. L'ancien Altruiste a les yeux fermé et aucun signe de vie ne fait son apparition.

-Les gars, ça va ? demande Tori par l'oreillette.

-Quatre est à terre ! crie Zeke à l'attention du groupe devant lui en levant la tête.

-Ça va, murmure Quatre au même moment en grimaçant de douleur.

-Quatre ! Vieux, tu m'as fait peur ! Qu'est-ce que t'as ?! s'écrie Zeke en aidant l'autre à se relevé.

-Ma cuisse, grimace-t-il. Et j'ai aussi du m'évanouir suite à ma rencontre brutale avec le sol.

L'autre pouffe de rire en voyant la tentative d'humour de son meilleur ami.

-Tais-toi, les autres doivent nous attendre. T'arrivera à sauter dans le train ?

-Va bien falloir.

Après des minutes de souffrance pour Tobias, les deux jeunes ont réussi à rejoindre les autres résistants de l'équipe devant le train.

-Tu peux le faire ?

-Ne t'inquiète pas, vas-y.

Tandis que son ami s'élance vers le train en route, Quatre prend une grande inspiration et se met à courir le plus vite possible en essayant d'ignorer la douleur dans sa jambe gauche. Arriver à la hauteur de la porte ou tous les résistants sont déjà rentrer, Zeke lui tend sa main pour l'aider à monter et, toujours en ignorant sa douleur, il saute en attrapant l'aide de Zeke d'une main et la poignée de la porte de l'autre. Après que l'Audacieux aide Quatre à se hisser à bord, celui-ci se laisse glisser contre la paroi du train en reprenant sa respiration. Il regarde sa cuisse pour voir un trou dans sa chair dégoulinant de sang, imprégnant son pantalon désormais troué.

Les Résistants ne semblent pas avoir vu son état, discutent entre eux.

-Hé mec, ça va, t'es sur ? s'inquiète l'autre leader.

-Ouais, ça pique un peu mais ça va, l'informe-t-il en fronçant les sourcils.

Il souffle une nouvelle fois.

-Ok ! crie-t-il pour avoir l'attention de l'équipe entière. Tout le monde est là ? demande-t-il ensuite au chef habituel de l'unité.

Il consulte une tablette sortie de son sac pour voir si toutes les personnes encore en vie sont là. Parce que, oui, il peut le savoir grâce à des micros puces implanter dans le système nerveux qui informe de l'état de son porteur : la douleur s'il y en a, du manque d'alimentation ou d'eau. Si la personne est morte il n'y a plus de données reçues donc plus de vie. Mais le système GPS n'a pas pu être intégré.

L'homme commence à appeler toutes les personnes encore en vie selon les données des puces.

Jusqu'à maintenant, toutes les personnes appelées sont là.