XVI

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Une bouffer d'air frais me fait ouvrir légèrement les yeux. Et une odeur de musc vient chatouiller mes narines. Des bras chaud me porte et depuis longtemps je me sent en sécurité.
je relève la tête et trouve un regard bleu qui est identifiable entre mille.

-Tu te sent un peut mieux ?

-Hum.

-Je vais te ramène chez toi.

J'hoche la tête, je n'est pas là force de décliner.
La brise sur ma peau me fait frissonner, je me blottie un peut plus contre lui. Et ses bras ce ressert un peut plus autour de mon corps.

-Arête de me renifler, tu me chatouilles.

-Tu sent bon.

-Tu sais plus ce que tu dit

Son regard ce pose sur moi et je ferme les yeux en me laissant allez au doux bercement de ces pas.

Nous arrivons à sa voiture et il me pose sur le siège passager puis boucle ma ceinture de sécurité.

Je pose ma tête contre la vitre puis m'endors avant même que Sept ne démarre.
Nous sommes sûrement arrivé parce que je sens que l'on me secoue légèrement.

-Lou réveille toi on est arriver.

J'ai vachement mal au crâne, je me sens vraiment comme une merde.

-Lou réveille toi on est arriver.

-Hum

Mes yeux ne veulent pas s'ouvrir et je retombe dans un semi sommeil.

-Tu n'est pas possible, je te raccompagne jusqu'à chez toi.

Sept me sort de la voiture et me reprend dans ces bras pour parcourir le petit chemin.

-Olympe.

-Quoi ?

Avant que nous arrivions sous le porche Isabelle ouvre la porte.

-Qu'est-ce qu'il c'est passer elle va bien ?

-Oui oui vous inquiéter pas Madame elle a juste un peut bue, une bonne nuit de sommeil et une aspirines demain et elle ira mieux.

-Je vois. Merci Sept de l'avoir ramener à la maison.

-C'est normal, voulez vous que je la porte jusqu'à sa chambre ?

-Si sa ne te dérange pas je veux bien. C'est la première porte en haut à droite.

Mal grès mon état comateux je sent que l'on m'allonge sur un matelas et je retombe dans les bras de Morphée.

-Merci Sept, bon nuit.

-D'accord bonne nuit Madame.

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-Maman ! Maman ! réveil toi !

Je secoue son corps mais elle ne bouge pas.
Mes main son couvert de sang. De son sang.

-Olympe réveille toi chérie.

Je me réveille en sursaut et en sanglotant.
Isabelle me serre dans c'est bras et me caresse les cheveux.

-Chut chut c'est fini. Je suis la ma chérie. Tu es très courageuses, le temps estompera tes cauchemars.
Sa prend juste du temps. Aller rendors toi, tu as dormit que 3 heures est tu as besoin de dormir.

-Tu veux bien rester avec moi le temps que je me rendorme ?

-Bien-sûr ma chérie.

Je me pousse un peut pour qu'elle puisse s'allonger à mes côté. Elle continue de me caresser les cheveux et je replonge dans sommeil sans cauchemar.

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