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Nouvelle identité, nouvelle ville et j'espère une meilleure vie.

-Debout Olympe tu va être en retard pour ton premier jour. Crie Isabelle depuis le couloir.

-Je suis déjà réveillé j'en est pour quelque minutes, je te rejoins en bas.

-D'accord je vais te prépare ton petit déjeuner.

Avant de rejoindre ma tante je regarde de quoi j'ai l'air dans le miroir.
Mes yeux on beau être vert ils on perdu leurs éclat et l'innocence que l'on pouvez y voir.
Quant à mes boucle châtains, impossible d'en faire quoi que ce soit. Mais sa feras l'affaire.

Aller sourie, une nouvelle fac à des centaines de kilomètres de la précédente et personne qui te connais pour te lancer leurs regard remplis de pitié.

Je décent et me dirige vers la petite cuisine.

-Te voilà ma chérie, je t'es préparer ton petit déjeuner.

Des tartines et une tasse de café me font de l'œil sur le plan de travail.

- Merci.

- Tu va bien ? Je sais que ce n'est pas facile pour toi et je m'inquiète un peut.

Pour toute réponse je hausse les épaules et engloutie ma tartine.

Un sourire gêné viens ce dessiner sur ces lèvres.

Je n'est pas eu de relation avec ma tante depuis mon enfance, j'ai quelques souvenirs mais ils sont vagues.
J'ai l'impression de skouater chez une inconnue. Mais c'est ce que l'on est l'une pour l'autre après tout. Des inconnus.

-Ma chérie je sais que c'est difficile, et je ne sais pas comment mis prendre avec toi mais soit prudente d'accord. Fait attention à qui tu va donner ta confiance à l'école.

-Oui je sais. T'inquiète pas je connais l'enjeu.

Ma tante me sourie tristement et me presse légèrement la main.

-Oh !! Je n'est pas vue l'heure passer ! Tu es prête ? On va être en retards !

Sa soudaine énergie me fait légèrement sourire.
Je me lève, débarrasse ma tasse et prend mon sac.
Isabelle m'attend devant sa voiture et me dit de me dépêcher car arriver en retard le premier jours serais mal polie.

Sur le trajet de la fac j'observe le paysage de la petite ville du sud.

Mon nouveau chez moi.

Je prie silencieusement pour que mon premier jour ne sois pas un désastre est que tout ce passe bien.
Au furent et à mesure que l'ont approche une boule ce forme dans mon ventre et le stress monte de plus en plus.
Je sent une main me secouer légèrement l'épaule, ce qui me fait sursauter.

- Olympe tu m'écoute ? On est arriver.

Je ne me suis même pas aperçu que la voiture c'était arrêter.
Mon cerveau tourne à 200 à l'heure.
Je rester immobile à observer ma nouvelle fac et toute ses personnes qui grouille de tout les côtés

- Je passe te prendre après tes cours et on va essayer de te trouver une voiture, à ton âges tu n'à certainement pas envie que ta vieille tante d'escorte partout.

Je hoche la tête puis sort de la voiture.
Elle part en me faisant un signe de la main et un sourire.

Bon aller, quand il faut y aller, faux y aller de toute façon tu n'a pas vraiment le choix.

Mes secrets Où les histoires vivent. Découvrez maintenant