Le surnaturel

CHAPITRE 10 : DE PIRE EN PIRE

AVERTISSEMENT : CE ROMAN COMPORTE DES SCENES POUVANT NE PAS CONVENIR A UN JEUNE PUBLIC .  

Samedi, 09h du matin je m'apprêtais pour faire promener le chien. Un beau chien de course, il n'était qu'encore petit qu'il se trouvait déjà avait de si longues pattes et un long corps. Des oreilles longues et poilues. Il se nommait '' Guetta '', en plein soleil ces poils de couleur blanche et noir étaient ébloui par les rayons. Il était tout simplement mignon .Guetta se réjouissait à l'avance de pouvoir enfin sortir de sa cage pour se dégourdi. Mais avant toute sortie je m'assurais d'enfiler ma tenue de sport car avec Guetta une simple sortie peut se transformer en vrai course-poursuite. Une fois prêt, nous sommes sortie, moi une main en poche et Guetta la laisse au cou. C'était partie pour une bonne promenade matinale. Après quelques heures de marche on se retrouvèrent au Meadows parc , un parc d'une beauté incomparable, ces arbres et ces fleurs qui serpentaient tout au long , et par-dessus toutes ces belles femmes qui se trimbalaient sac à main. Mon regard n'était posé que sur ces beautés divines qui se propageait un peu partout devant mes yeux. Certains en jogging suaient au sport de toutes leurs forces, d'autres se promenaient et naturellement quelques-unes hâtait le pas pour se rendre le plus vite possible à leurs postes de travail. Au moins grâce à Guetta je pouvais admirer les joies de la vie chaque samedi. Quant à Guetta l'on dirait presque qu'il remarquait cette lueur qu'il y avait dans mon regard dès qu'une bombe passait. Après quelques minutes de marche continu, Guetta et moi on s'arrêtèrent pour une pause. Mais même assis je ne pouvais m'empêcher de suivre ces femelles au corps de reine. Malgré l'effort que je fournissais, il y en avait tellement de toutes sortes et de toutes les couleurs.. C'était IM-PO-SSi-BLE. Des seins bien formés et des fesses bien élargies se remuant chacune les uns contre les autres ... Ah ... c'était ça le vrai rêve AMERICAIN ! ...

Je me rendis compte d'une chose, bizarrement après tous ces évènements que je pourrai qualifier toute fois de '' non pervers '' mais plutôt du '' laisser passer de ces désirs ! '', J'avais l'impression d'en vouloir toujours plus ! plus de scène perverse ! plus de fille ! plus de..

Mes pensées fut stoppé par l'élan de course que venait de prendre Guetta tout en aboyant. Je me mis à sa poursuite tout en criant « Guetta ! Guetta ! Revient tout de suite !!! » Mais en vain, notre cher Monsieur Guetta n'en faisait qu'à sa tête. J'étais devenu le centre d'attention du parc.. Humm peut-être est-ce le moment favori pour pouvoir récupérer quelques numéros ? Me dis-je. Non ! Guetta est bien plus important ! mais tout de même.. '' Un homme courant pour rattraper son propre chien '' Quel peine !

Plusieurs virages ont suivies, je n'en pouvais presque plus, il fallait à tout prix que je m'arrête !    « Certes Guetta est un chien de course mais sa ne fait pas de moi un maitre olympique ! ». Je l'avais perdu de vue quand soudain j'entendis un aboiement, c'était Guetta. J'ai repris mes pas de courses en direction de ces cris. Guetta se trouvait devant une vieille statue érigé en l'honneur d'un ancien combattant, mais chose étrange ... Guetta aboyait contre la statue.

- Guetta ! sale petit emmerdeur, je t'ai rattrapé ... Mais pourquoi aboies-tu tant ? et surtout pourquoi ma tu fais courir jusqu'ici ?!

Guetta continuait à aboyer à croire qu'il ne remarquait même pas ma présence. Je me suis approché, le caressa afin de le temporiser et le calmer.

- Allez.. allez .. Guetta ... sa vas .. sa vas .. calme-toi.. allez vient on rentre, j'ai une gamme de vieux magazine de fesses brésiliennes que je suis sûr que t'aimerais voir.

Guetta s'apaisa, mais il était difficile à faire bouger avec la laisse, apparemment Monsieur n'avait pas l'air satisfait, il voulait juste rester figé à mater la statue.