Certains aveugles d'en avoir trop vu
Tandis que d'autres ferment les yeux d'eux même
Disant occulter le superflu
Mais tétanisés face aux dilemmes
Qu'imposent une vie bien trop crue
Déceptions amères de ceux qu'on aime
Désillusion du monde et des vers
Ne servant qu'à illustrer la peine
Des mendiants qui réclament sur la terre
L'aumône pour une vie plus saine
Que seule peut octroyer la Mère
Que l'on dénomme Mort souveraine
Que son sein est dur et son lait fade
Dans nos bouches toujours inassouvies
Et nos jambes frêles, dans ces rues maussades
Foulent les pavés gras de cette nuit
Dans le carnage et la débande
De cette armée d'enfants asservis
Petit poème écrit à la va vite. Je l'aime bien. 9 syllabes à chaque fois me semble-t-il. J'ai galéré avec les rimes en -ade. J'voulais caser Sade et Rade mais déjà fait par Sardounet.
Merci d'avoir lu, n'hésitez pas à me dire votre avis (phrase toute faite pour réclamer des commentaires ahah). Sur ce jeune gens je retourne alimenter mon ordinateur de récits délurés et de poèmes à la con.
PetitPrince~(ce nom craint de ouf quand même)
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Au Nom de ma Mère
PoetryOn se cabre, on s'insurge et on crache. Jusqu'au jour où ses yeux remplis de larmes coupables se ferment et que nos voix se taisent. La douleur de notre premier souffle surgit alors du plus profond de nos entrailles, lancinante et cruelle. Et nous...