Avec ma grand mère on parlait de la mort et de l'après, comme d'un avenir providentiel.
Le fataliste en moi a sorti : "les gens se plaignent de leur vie mais désirent un paradis où ils seront exactement les mêmes"
J'ai vu ses yeux briller. J' ignore si c'était des larmes, de la malice.... ou bien un peu des deux
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Au Nom de ma Mère
PoetryOn se cabre, on s'insurge et on crache. Jusqu'au jour où ses yeux remplis de larmes coupables se ferment et que nos voix se taisent. La douleur de notre premier souffle surgit alors du plus profond de nos entrailles, lancinante et cruelle. Et nous...