Sweet Amoris

⭐Chapitre16: Séparation⭐

Salut! Suite au critique de certaine personne que j'apprécie bien;-)  j'ai fais quelques ''corrections'' sur le style de mes écris. Donc j'espère que vous apprécierez. Bonne lectures. Bisou:-*

~~~~~

Il approcha son visage contre le mien, nos fronts se croisèrent que je lus dans son regard le désir de m’embrasser. D’un réflexe je me dégageai de son emprise et lui lançai ma main contre sa joue. Surpris il s’éloigna et se retira de la pièce à mesure que la tension grandissait et que l’air devenait de plus en plus irrespirable. Je venais de gifler mon meilleur ami.

_ Quelle maladresse!!! pensais-je sur le coup

Il ne fallait le laisser, il ne fallait pas qu’il culpabilise. Après l’avoir recherché dans toute la maison, je le retrouvai dans la cuisine accoudé au lavabo la tête baissée. Je m’approchai et lui criait son prénom l’air curieuse de sa réaction et prudente à la fois mais il ne répondait pas.

_ Désolé de t’avoir infligé cette gifle. Tu sais… je… tu… les mots se faisaient absents à cet instant. Je ne savais que dire pour justifier ma réaction.

_Je sais… j’ai vraiment manqué de tact... mais sérieux que tu as vraiment cru que j’étais vraiment fâché?? me dit-il en rire

_ Bah Figure toi que j’ai culpabilisé tout ce temps à te chercher dans la maison comme une folle.

_ Rien d'étonnant t'es une folle de nature

Nous rîmes tous les deux. J’étais rassuré et cela me confirmait qu’il était véritablement mon meilleur ami.

_ Tiens laisse moi te porter à la chambre mais pas de gifles cette fois ok? promets-le

Je lui fis mes yeux de petites filles soumises et hochai la tête en signe d’approbation*MDR* Il me prit dans ses bras et je lui serrai contre moi.

_ Tu vas me manquer! me chuchota t-il dans un effort de dernier souffle dans le creux du cou.

_ Tu vas aussi me manquer. Tu sais je ne veux pas que tu partes, non je n’ai pas envie que tu me laisses seule.

A mesure que je lui parlais les rires de tout à l’heure avaient laissés place aux larmes.
Je le savais il lui était impossible de rester mais je ne pouvais m’empêcher de lui dire tout ceci. Le silence de la nuit s’imposait au fur et à mesure que je ne savais que dire, embrouillée dans mes pensées. Nous restâmes ainsi un long moment l’un contre l’autre jusqu’à ce que le sommeil s’impose de son poids sur nos paupières fatigués.

La nuit avait été très courte et le matin je me réveillai avec un baiser sur le front. C’était Jackson. Je lui sautai dans les bras ce qui le fit trébucher et nous nous retrouvâmes sur le lit à rire et profiter de moments de plus ensemble.

_ Lève toi folle-dingue!!! je t’ai préparé ton petit déjeuner … allez debout! me dit il avec sourire

C’était la deuxième fois qu’on me préparait le petit déjeuner et qu’on me l’apportait au lit. L’instant était tellement magique que j’oubliai de lui répondre de m’avoir de traitée de folle. Je me levai tout de suite et je sautai sur le plateau. Il était tellement garni que j’avais l’embarras du choix. Des céréales, du lait, des pains de la confiture…