Contre Ta volonté

29.

Paris, 02:36

Un silence reposant régna déjà depuis 10 bonne minutes entre Ginnie et Ken, ils avaient parler toute la soirée, assis la sur un banc, parfois ils rigolèrent ensemble, cette soirée avait le don d'apaiser le beau grec qui était déjà tendu depuis un moment.

Et elle, elle appréciais le moment juste parce qu'il avait l'air heureux, peut-être heureux aurait été un grand mot pour le décrire la à l'instant même mais il dégageait quelques chose que Ginnie ne voyait pas souvent, il avait l'air bien et c'est tout ce qui lui importait.
Tellement bien que les deux jeunes voulurent se couper du monde en mettant tout deux leur téléphone en mode avion, surtout pour lui, îl n'avait pas envie de faire face au question de ses amis sur l'infidélité de Klarys ou alors sur le cas de Deen.

En y réfléchissant de toutes les manières dans laquelle il aurait pu se retrouver face à Deen, l'option de la discussion ne vinrent même pas lui effleuré l'esprit, il n'avait pas besoin de parole mais pas non plus de coup, mais îl se sentais obliger d'extérioriser sa haine sur quelque chose, sa peut paraître puéril à 25 ans régler ses problèmes avec les poings mais lui s'en foutais, il était déjà blessé alors les critiques des autres sur on acte de ce soir lui importait peu.

Une brise fraîche dit virvolté les cheveux bruns de la jeune femme qui elle n'avait pas décliné ses yeux du sol, ce silence n'était pas gênant au contraire il avait le don de calmer le jeune homme. Trop fier pour lui dire, intérieurement il remercia dès nombrable fois Ginnie d'avoir été la ce soir pour lui tenir compagnie, lui qui était toujours habitué à être seul, juste lui et sa conscience, ça lui fit une drôle de sensation.

Les mains sur la visière de sa casquette, les yeux dans le vide, ah la la, il en a fallut du temps pour que ses pensée redevienne grisâtre, même lorsqu'il a la sensation d'être bien son âme lui rappel à l'ordre. N'avait-il pas le droit de sourire ? De rire ? D'être heureux? Ou d'être aimé et aimé en retour ? Ce qui était sur c'est qu'après Klarys il ne se laissera plus jamais berné par une femme, quitte à restée seul toute sa vie il serai prêt à cela.

Un longs soupir s'extirpa des lèvres du jeune homme ce qui attira l'attention de la jeune femme assise à côté de lui, elle, elle n'avait aucune raison d'être aussi gentille, aussi à l'écoute, vraiment aucune.

Après tout les problèmes qu'elle avait eu avec lui elle gardait toujours l'espoir que cela finissent par s'arranger mais au fil du temps, elle comprenais que son comportement à son égard n'était pas entièrement voulu que c'était dans son caractère qu'il était comme sa, qu'il se créer une deuxième image pour protéger la premier qui paraît si fragile, le soir ou elle avait retrouvé Ken en larme et qu'elle l'avait prit dans ses bras a eu l'effet d'une bombe dans le cœur de la jeune femme, elle détestait voir les gens mal mais bizarrement voir Ken souffrir lui faisait à elle aussi du mal, elle se résignait à dire que ce n'était parce que dans le fond elle n'aimais pas voir son entourage triste mais en réalité elle ne voulais juste pas se l'avouer à sois même.

Elle voulais toujours trouvé une explication à toute ces choses nouvelles qui lui attaquait le corps, sa commençais par des regards qui lui faisait monter en elle des vagues de chaleur, des sourires, des conversations, même celle qui n'était pas très intéressante lui faisait du bien. Elle retenais juste que passer du temps avec Ken lui faisait du bien, et elle se suppliais elle même d'espérer que ce sois la même chose de son côté. Pourquoi ? Elle n'en sais trop rien elle se dit vouloir créer une amitié souder avec lui mais est-elle vraiment sur de ce qu'elle veut ?

Une brise cette fois-ci forte, extirpa les deux jeunes gens de leur pensée, leur yeux se retrouvèrent et il ne se quitta pas des yeux, un sourire gêné s'incrusta sur le visage de Ginnie tandis que lui aborda un rictus montrant un petit demi-sourire mais qui suffisait pour rendre heureuse Ginnie. Alors dans un élan de courage il quittèrent tout deux le banc dans lesquels ils avaient passer des heures a parler de la vie, du bonheur, du malheur, de lui, de elle.

Cette soirée sans le savoir les avait rapprochés, à présent un lien les soutenaient eux deux, gloire à ceux qui, recourant aux liens sociaux les plus intimes, cultiveront les doux épanchements de l'amitié, non pas de cette double et infranchissable individualité où l'on enferme tous ses désirs et toute son affection dans un couple égoïste, mais de cette union qui n'est si étroite et si serrée que pour mieux se détendre, en faisant rejaillir sur tous nos semblables les avantages qui naissent de l'accord de deux âmes, de deux intelligences courant au même but par les mêmes chemins, se mettant de concert au service de l'humanité, et trouvant dans leur constante effusion une source intarissable de bonheur.

Dans cette même satisfaction elle le regarda doucement relevé les yeux vers elle, il faisait noire, et le seule système d'éclairage illuminais simplement sa barbe de trois jours et son bouc mal rasé, mais elle aimait ce côté non soignée chez lui, va savoir pourquoi. Et cette fois-ci, c'est elle qui laissa en plan le jeune homme juste après avoir déposé un chaste baisers sur ses lèvres. Elle remonta aussitôt dans l'appartement de son ami, et lui resta de longue minute en bas en essayant de comprendre ce qui vient de se passer.

À quoi elle joue ?

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Nouvelle histoire allez La lire et donnez moi vos avis : Les 24 derniers jours D'anoé, avec Nekfeu.