Contre Ta volonté

50.

Dix neuf heure vingt et un, j'attend la dans ma voiture, comme un con attendant qu'elle sorte de cette cafétéria du 8eme arrondissement de Paris.

J'attendais désespérément sa venu qui pourrait peut-être égayer ma journée mélancolique, j'avais fait le chemin exprès pour avoir enfin le bonheur de la voir de mes propres yeux. J'avais chercher dans tout les recoins de Paris pour aller à sa rencontre, pour la retrouver elle, car à près tout c'était ma sœur et je l'aimais plus que tout au monde malgré nos échanges tumultueux.

Je lui en avait voulu au départ d'être parti me laissant seule dans une famille qui m'étais inconnu, je lui en ai voulu de m'avoir abandonné après la mort de notre mère mais surtout je l'ai haie de m'avoir ignoré et rogné de la sorte.

Certes nous avions jamais eu une vrai relation aimante entre frère et sœur mais il y avait quand même un lien qui nous reliait l'un de l'autre malgré toutes nos disputes et insultes, notre sang ; nous venions du même corps de la même chair qui maintenant avait disparu et sa, cela pouvait nous rassemblés et enterré cette animosité qu'on avait à notre égard.

C'était comme si notre famille était divisé, étant petit je n'avait presque aucun rapport entre mon père et moi, nous nous sommes jamais aimé et à mon adolescence ce sentiment c'était accentuer d'autant plus lorsque je le surprenais tabasser ma mère, ma sœur elle, avait toujours été une fille à papa pourri gâté à qui on ne pouvait rien céder, elle aimait mon père même plus que ma mère ce qui la rendait terriblement triste.

Alors durant sa courte vie je lui ai montrer que malgré qu'elle ai fait deux enfant et que l'un d'eux n'a aucune complicité avec elle, j'étais la, prêt à la combler d'amour et d'affection jusqu'à qu'elle n'en puisse plus respiré.

Mais finalement ce fut dû au coup de mon père que ma mère épuisa son dernier souffle, j'avais 19 ans et elle 15 ans.

Elle voyait ce qui se passait mais reniais la vérité, parfois j'essayais de la résonner de lui faire comprendre que notre père n'était d'autre qu'un putain de criminelle mais elle ne voulais bien évidemment pas gâcher cette image du père parfait qu'elle c'était forger depuis ses 4 ans alors j'ai dû accepter la vie comme elle venait avec ou sans Maman.

J'ai emménager à Paris il y'a maintenant 8 ans, j'ai rencontrer ainsi les gars qui sont les seul à connaître ma vie et c'est ici, que tout à commencer.

Au début c'était dès textes juste pour faire de ma douleur une sorte de distraction, s'en ai devenu une passion et presque vital à présent, voila pourquoi je suis Nekfeu mais sa n'explique pas pourquoi je suis la ce soir devant cette cafétéria ou apparemment ma sœur y taffe.

Qu'est-ce que je pourrais lui dire franchement 8 ans après sans s'être vu, qu'est ce que j'arriverais à ne pas balbutier devant elle ?

«Salut c'est ton frère Ken, tu t'en rappel ?»

Je m'esclaffais moi même fasse à la débilité de ma phrase, bien sûr qu'elle s'en rappel du moins j'espère.

Pour ma part, non, je n'ai jamais réussi à l'ignorer comme ce qu'elle m'a fait, je me rappelais toujours de son regard qu'elle m'avait lancer pendant le jugement de mon père qui au final avait été jugé innocent de cette merde. Son regard était compatissant, elle savait pourquoi et à cause de qui on en était arrivé La mais pourtant elle a préféré disparaître avec lui, sans laissez de trace à personne.

Je me redressais d'un coup lorsqu'une silhouette attira mon attention, la porte s'ouvrit sur une jolie fille, élancé brune au cheveux un peu plus clair que moi, elle était belle, terriblement belle et je ne pouvais retenir l'envie de lui parler alors je sortais de la voiture comme un attarder mental et courrait derrière cette fille qui j'espérais de tout cœur que cela soit bien elle.

Je marchais d'un pas presser et ne manquais pas de bousculer toute les personnes sur mon passages sans même m'excuser bien sûr, trop obnubilé à rattraper la jeune femme de vingt deux ans perché sur ses talons d'une hauteur impressionnante.

Quelques personnes me reconnaissais mais je ne leur laissais même pas le temps de me demander une photo ou un autographe un truc du genre.

Non seulement à ce moment là je n'en avait pas la moindre envie et de plus la personne qui me le demanderait se verrai se faire remballer très méchamment.

Voyant que je commençais à la perdre de vue face à toute ces personnes circulant de partout je commençais à courir et sentais déjà cette boule affreusement dérangeante de stresse qui se formait dans mon abdomen.

J'avais pas attendu 8 ans pour la revoir pour que ma seule chance de la revoir soit voué à l'échec juste parce que je ne la voyais plus de la ou j'étais. Il en était or de question. Alors je me m'étais à hurlée son prénom en attirant les regards des curieux.

Mais c'était comme si elle était à moitié sourde, elle ne m'entendait pas.

- Manon ! Hurlais une deuxième fois

J'attrapais alors férocement son bras et la retournais brusquement face à moi et tombait nez à nez face à des yeux vert éclatant, se  n'était pas ceux de ma sœur du moins pas de ce que je m'en souviennent.

- Euhm... Désolé je vous ai prit pour une personne que je connaissais dis-je déçu

Elle ne me répondait pas, juste elle me regardais avec insistance avant de reprendre son chemins, tandis que moi je restais la planté comme un clou fasse à toute ces personnes qui bougeait autour de moi.

La déception fit rage dans mon corps et la haine aussi s'immisçait peu à peu également.

Pourquoi elle ma fait ça ?

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Hey hey mes chats

Soyez attentif 👀 Ne laissez aucun détail pour comprendre 👁

💋 la bise