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Paris, 02:47

Cette nuit, je n'avais pas réussi à retrouver les bras de Morphée, malgré ma fatigue errante dans mon corps, le sommeil daignait me jouer des tours ce soir. Je m'étais pourtant paisiblement reposer hier, j'avais dormi toute la journée et n'avait pratiquement rien foutu.

La soirée d'anniversaire de Hakim c'était terminé extrêmement tard en vérité elle ne s'était même pas terminé , même lorsque les rayons du soleil vinrent chatouiller les yeux de tous la plus part était encore actif, il a fallu que Hakim les font sortir de chez lui pour que tous aille reposer leur yeux.

Mais là n'est pas le problème, depuis hier, l'objet qui attise tant ma curiosité est tout simplement posé la, en face de moi, sur la table de chevet, ma curiosité était tellement grande que je pense que c'est à cause de sa que j'ai eu du mal à trouver le sommeil ce qui explique mon humeur matinale d'aujourd'hui.

À la fin de la soirée, comme prévu j'avais rechercher le propriétaire du bien que Mohammed m'avait vulgairement "obliger" d'apporter à Ken mais je ne l'avais pas trouvé comme si tout ça voulait simplement dire de garder cette foutue clé et de regarder ce qui était dedans.

Certes c'était tout à fait irrespectueux et mauvais de ma part mais peut-être pourrais-je trouvée réponses à mes questions -pense tu sincèrement que tu découvrira si lui aussi t'aime ou pourquoi est il aussi mystérieux dans une clé USB ?- sincèrement non mais l'espoir que je découvre un jour pourquoi est-il comme sa titille encore plus ma curiosité et mon envie de brancher cette objet sur mon ordinateur déjà allumé .

Je pesais le pour et le contre sans vraiment trouver une raison valable de faire ce viol d'intimité, mais en sois, il ne le saura s'en doute pas que j'ai lu le contenu de cette clé, mais si je lisais ce contenu et que par surprise je découvrais certaine chose qui me forcerait d'en parler avec lui j'ai bien peur que c'est saute d'humeur redeviennent régulière et de manière répétitive, il reprendra son côté dédaigneux et hautain qu'il avait au début et je n'aurai plus aucune trace du Ken qui pouvait se montrer doux et gentil.

Alors ? Je reposai calment mon ordinateur sur ma table de chevet et rangeais l'objet dans le tiroir, sage décision me dis-je à moi même. Je me recouchai calmement me recouvrant de la tête au pied la couverture en essayant sérieusement de trouvée le sommeil. Mais une grosse boule d'appréhension se formait en pensant à tout les scénarios' inimaginable retraçant tout ce que pourrait contenir cette putain de clé.

Alors oui, je savais très bien que si je découvrirais les raisons du pourquoi du comment je voudrais sûrement et même obligatoirement avoir une discussion avec lui même si malgré tout il n'a rien à me devoir c'est juste pour assouvir mon inquiétude, j'ai l'impression d'être devenu une petite conne transite ne pouvant pas vivre sans son petit nounours adorer. À cette pensée une vulgaire grimace se forma et prit à la hâte, mon ordinateur et cette putain de clé prête à découvrir son contenu.

Je devais sûrement avoir des grosses poches maussade sous les yeux dû à mon manque de sommeil et les iris toute dilatées dû à la puissance de la luminosité de mon ordinateur mais clairement, je n'en avais plus rien à foutre de mon état personnel. Toujours dans cette élan de précipitations, j'ouvrais la clé et découvrait tout d'abord plusieurs fichier audio avant de tomber sur des fichiers qui chatouillaient encore plus ma curiosité, je cliquais sur l'un des fichiers et tomba étonnement sur une photo d'une jeune femme et d'un bébé d'environ 3 ans dans les bras avec un texte inscrit en dessous.

"Il n'y a que l'amour maternel qui soit capable de désintéressement et qui sache dire : que mon fils soit heureux sans moi, et loin de moi, pourvu qu'il soit heureux et profite pleinement de la vie."

J'en déduisais que la jeune femme sur la photo devait être sa mère vu la ressemblance frappante entre les deux personnes. Je détaillais les trait de son visage et intrigué, me demandant pourquoi dans chaque fichier s'y trouvait  le même visage à chaque fois, cherchant une raison à tout cela je fus coupée par le vibreur de mon téléphone qui m'annonçait avoir eu un message.

   
De Marie ❤️ :

                  Faut qu'on parle, c'est important...

Je décidais d'ignorer le message, avec toute la fatigue qui régnait dans mon corps, l'envie d'avoir une discussion sur sûrement le sujet qui nous a mit en froid ne me venais même pas à l'idée, pour l'instant je préférais rester ainsi juste par pur flemmardise de devoir déballer ce que j'ai eu du mal à avouer.

Toujours dans ma recherche qui se voulait être très intéressante, je tombais cette fois-ci sur la photo d'une pierre tombale, étonné je m'apprêtais à zoomer sur la photo lorsque qu'un deuxième message cette fois-ci attira mon attention.

                                      De Marie ❤️ :

                   C'est Ken, il est dans un sale état et il veut parler à personne

Il en a fallu peu, pour que mes mains quitte mon pc pour atterrir sur mon téléphone afin d'appeler Marie de suite.

Contre Ta volonté Où les histoires vivent. Découvrez maintenant