Chapitre 7: Au parc

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-Wouah! S' écria Sarada alors que je la poussait de la balançoire.

Lui poussant encore, je m'étais retournée pour partir vers le banc où était Daiki. Au moment où je m'étais assise à côté de lui, j'avais remarqué qu'il affichait un air rêveur.

-Hé Daiki, est-ce que tu voudrais faire de la balançoire ? Avais-je demandé.

Il m'avait regardé comme si je lui demandais de sauter d'un pont. Avant de partir, Sasuke m'avait prévenu que Daiki n'était pas vraiment enthousiaste quand il s'agissait de parc. D'une façon ou d'une autre, j'avais l'intention de changer celà.

-Allons y. Avais-je dit.

En le ramassant, je me dirigea vers les balancoires pour les plus jeunes enfants. Je l'avais déposé sur l'une d'elle, il ne protesta pas, mais il ne semblait pas heureux non plus.

-Il ne va pas aimé ça. Maman...a toujours essayé de le faire, faire des trucs mais il n'a jamais aimé ça. Avait dit Fugashi qui se trouvait au bout d'un toboggan.

-Ça ne fera pas de mal d'essayer. Que dirais-tu de te balancer Daiki ? Avais-je demandé.

-Je n'aime pas le parc. Avait dit Daiki en secouant la tête.

-Vraiment, pourquoi es-tu venu alors ? Avais-je demandé.

-Je préfère être ici que seul dans ma chambre. Avait-il dit.

Je poussais doucement Daiki qui se trouvait sur sa balançoire. Ses petites mains tenaient les deux chaînes de caoutchouc qui maintenaient la balançoire ,et pendant un moment, il m'avait semblé qu'il allait commencé à pleurer.

Je le repoussai doucement une fois de plus, et je m'éloigna lentement. Son expression s'était adoucie, mais il s'accrochait toujours aux chaînes comme si sa vie en dépendait.

-Surveille le s'il te plaît. Avais-je dit à Fugashi qui avait hoché la tête.

J'avais repris place sur le banc en regardant les enfants. J'étais sur le point de prendre mon téléphone quand les gémissements d'un chien m'avaient interrompu. Et avant que je puisse faire quelque chose, il avait sauté sur mes genoux.

Un peu surprise, j'avais commencé à le caresser et il m'avait léché le doigt. Sa fourrure était douce et chaude, il semblait très bien pris en charge.

-Akamaru ! Ou es-tu bon sang ?! Avais-je entendu.

En me retournant vers la direction où j'avais entendu la voix, j'avais vu un jeune homme qui marchait...ou plutôt qui courait vers le banc sur lequel j'étais assise. Le petit chien, Akamaru, semblait presque faire la moue. Il se coucha sur le ventre et posa ses pattes sur ses oreilles comme s'il ne voulait rien entendre.

Le jeune homme s'arrêta de courir quand il arriva à côté du banc. Il reprenait son souffle.

-Je t'ai cherché partout, n'es tu pas...

Soudainement, il s'interrompit et je sentis soudain son regard se poser sur moi.

-Hey, je vous connais, vous et Sasuke...

-Un chiot ! S'exclama Fugashi.

Il avait coupé tout ce que le jeune homme allait m'appeler. Je me demandais ce qu'il allait dire ! Espérons que ce n'était rien d'humiliant et de dégradant...

En quittant Daiki, Fugashi se retourna et courut vers moi. Le petit chien aboya et sauta sur Fugashi, qui l'attrapa avec un petit rire.

Dans le cas de sa mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant