Sonni.
Après l'entrée, le plat.
Moi: Dit Andy ? Tu es végétarien ?
Andy: Non.
Willy: Il adore la viande saignante !
Moi: Je vois ouais.Puis on rigole encore. J'apporte le plat sur la table et ouvre le couvercle. Papa ce jette littéralement dessus.
Papa: Ma fille c'est la meilleure cuistos au monde.
Moi: Papa, ce n'est que de la viande aux légumes.
Papa: Mon plat préféré. Dommage qu'il y en pour les autres aussi.
Willy: Merci pour nous p'pa.
Papa: Bah quoi ? C'est vrai.
Maman: Ah la la. T'en fait pas Andy, il va pas tous manger.
Papa: Eh ouais. Malheureusement pour moi. Toute façon ma fille fait ce plat que quand il y a des inviter. Autrement, elle me fait que des spaghettis ketchup.
Moi: Eh oui mon papa d'amour. C'est pour ta santé.
Maman: Ouais c'est sa. Dit plutôt que tu ne veut pas cuisiner pour tes vieux parents.
Moi: C'est ça, vous avez tout compris.Puis ont mange dans la bonne humeur. Par contre je ne fait jamais de dessert. Je laisse la pâtisserie à maman.
Moi: Alors maman ? Tu as fait quoi comme dessert ?
Maman: Clafoutis aux cerises.
Andy: Mon préféré !!!Tous le monde le regarde à part Willy bien sur. Tout le long du repas Andy n'a pas lâché un seul mot.
Moi: Ah bon ? Dit pourquoi c'est que maintenant que tu parles ? Ça va pas ?
Willy: On a terminer, je le ramène.Waouh ! La tension est tellement froide, qu'on a tous préféré ce taire. Willy sort de table, alors que ce n'est pas son habitude de sortir de table quand tous le monde est à table. Je décide de prendre Andy et de l'embraquer dans le jardin.
Moi: Tu m'explique ?
Andy: Enfaite, j'ai une offre d'emploie à New York et ton frère n'est pas d'accord.
Moi: Donne moi la vrai raison s'il-te-plaît, j'ai horreur des mensonge.
Andy: Bon, ce matin j'ai été chez le docteur, et le diagnostic fait que j'ai le cancer. Je le savais, mais je pensais l'avoir combattue. Mais il est revenue, et ça fait chier tous le monde. Willy, n'accepte pas que j'ai cette maladie là, mais je lui ai dit que je vais devoir vivre avec ça, et que je préfère mettre un terme à notre histoire.
Moi: Mais ce que je comprend pas, c'est quand est ce que vous avez parler de ça ? Tout le long du repas...
Willy: C'était au café.
Moi: Et c'est pour ça que tu m'as appeler ?
Willy: Oui. Tu le sais que quand je vais dans ce café, c'est que je suis mal. Il veut me larguer le gars.
Moi: En même temps il n'a pas tord Willy. Il faut que tu l'aide à surmonter cette maladie de merde au lieu de le rabaisser.
Willy: C'est vrai. En plus il faut qu'il mange son clafoutis.
Moi: Ah oui. Sinon ça serais la dernière fois que vous serez inviter ici.Je prend Andy dans mes bras.
Moi: Ça va aller. Tu es plus fort que cette maladie okay. Il faut que tu te batte encore. Je sais ce que c'est que de perdre une personne qu'on aime par dessus tout. Et je n'aimerais pas que Willy te perde, ça fait mal de perdre quelqu'un. Ça détruit la vie. J'aurais tellement aimé dire à la personne que j'ai perdu de ce battre contre cette maladie. Malheureusement, je n'ai pas eu le temps de la prendre dans mes bras et de lui souffler ces quelques mots.
Willy: Sonni ?
Moi: Ouais... Bon moi je vous laisse. Je vais me coucher, ça m'a fatiguée tout ça. Bonne nuit les gars, et ne vous séparé pas.Je rentre dans la cuisine pour faire un bisou à mes parents avant de monter dans ma chambre. Je me fait couler un bon bain chaud.
Moi: Noni ! Je te promet que le jour où je serais prête à venir te voir je le ferais. Et que le jour ou je te verrai, je vais détéré nos photos et rasé ce pommier. Je t'aime Noni.
Je sens un courant d'aire dans mon coup. Puis je ferme les yeux. Je sais qu'elle m'a entendu, je sais qu'elle est la, je sais qu'elle et moi on ce reverras.