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Sonni.

Je suis dans ma chambre d'hôpital, quand la porte s'ouvre sur mon homme et Frank. Je me relève doucement et me range les cheveux.

Moi: Bonjour patron. Comment allez vous ?
Frank: Bien bien. Pourquoi ne voulez vous plus faire partie de la CIA ?
Moi: Parce-que j'ai tiré sur un homme. Et je ne veut pas être la cause de sa mort.
Frank: Il a tuer une famille entière. Vous devriez être fière de l'avoir tiré dessus.
Moi: Oui, mais je ne le suis pas. Je suis pas lui. Il n'a aucun remords, alors que moi si.
Frank: Et c'est là que vous avez tort. Vous devez vous mettre à la place de ceux qui ont perdu leurs famille.
Moi: Oui je sais. Je vais réfléchir à ce que je vais faire. Mais pour l'instant, j'ai besoin de reprendre mes esprits.
Frank: D'accord. Dans tous les cas, votre place parmi nous est bien mérité. Rétablisse vous bien et donner nous votre réponse dès que vous saurez. Sur ce à très bientôt je l'espère.
Moi: Oui. Merci monsieur.
Frank: Appeler moi Frank. À plus.

Il sort de ma chambre et Seeley s'asseoir sur la chaise qui est juste à côté de mon lit.

Seeley: Mon amour ! C'te place tu l'as mérite.
Moi: Arrête. Je ne reviendrai pas sur ma décision.
Seeley: D'accord. D'après le médecin tu pourras sortir demain.
Moi: D'accord. Mais je veut sortir aujourd'hui.
Seeley: Je vais essayer de négocier.
Moi: Merci.

Puis ont parlent de tous et de rien. Le médecin m'accorde la sorti pour aujourd'hui. Donc je prépare mes affaires et Seel me prend dans ces bras.

Moi: Que me vaut cette honneur ?
Seeley: J'en avais juste besoin.
Moi: Arrête. Je sais que quand tu fait ça, c'est parce-que tu as quelques chose à me dire. Alors ?
Seeley: Voilà. Ça va faire deux ans qu'ont ce connais. Un an que nous vivions ensemble et que tous va bien. Donc...

Il ce met à genoux et sort une petite boîte rouge. Je met ma main sur ma bouche et une larme menace de couler, mais je la retiens.

Seeley: Veut tu faire de moi l'homme le plus heureux en acceptant d'être ma femme ?
Moi: Wouah !!! Je suis choquée. Tu es sûr de toi ?
Seeley: Tu es là première à qui je fait ma demande. Donc répond au lieu de me laisser comme ça.
Moi: Bah évidemment que oui.

Il met la bague à mon doigt, puis ont s'embrassent.

Moi: Par contre ont fera rien dans cette chambre.
Seeley: Dommage. J'avais imaginé pleins de choses en plus.
Moi: Pff !!! Tu ne peut pas te passer de moi.
Seeley: Bah oui la preuve. Je te demande en mariage. Si je ne l'avais pas faite je t'aurais bien remplacer.
Moi: Impossible. Tu ne trouvera personne comme moi.

Puis il m'embrasse encore et encore. Et il me dit.

Seeley: Avec toi c'est différent, avec toi c'est compliqué et facile en même temps. Avec toi je suis bien.
Moi: Tu prépare déjà ton discours ?
Seeley: Pourquoi tu casse tous.

Puis ont rit comme des fous et on sort de l'hôpital pour aller faire ce que nous faisons depuis deux ans, nous allons faire l'amour.

Sonni & SeeleyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant