Ben Parish, Ringer

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Avant que vous ne débutiez la lecture de cette nouvelle partie, nous tenons à signaler que certaines scènes ne sont pas adaptées aux plus petits. C'est pourquoi nous vous informons que cette publication est déconseillée aux moins de seize ans.

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Ben Parish :

J'appréhendais ce moment, mais il fallait que je le fasse. Même si cela allait me coûter cher. Très cher.

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Ringer :

Quand j'entendis trois petits coups à ma porte, je sus que c'était lui. Celui que j'ai aimé, ou que j'aime encore. Car je ne sais plus ce que je dois penser de lui.

Je me levai de mon lit et me dirigeai vers la porte. Je posai ma main sur la poignée glacée et pris une grande inspiration avant d'ouvrir la porte.

Lorsque je le vis avec son petit sourire en coin en mode séducteur, j'eu immédiatement l'envie de me jeter à son coup et de l'embrasser. Mais qu'est-ce qu'il m'arrive ?! Mon dieu Marika, mais ressaisis toi !

J'essayai d'être la plus sèche possible :
"- Qu'est ce que tu veux ?
- Je voudrais juste te parler, je peux entrer ?"

Je m'écartai afin de le laisser entrer. Mais qu'est-ce que tu fou Marika ?! Tu aurais mieux fait de lui flanquer ton poing dans la figure et de lui dire de dégager. Mais j'avais également envie qu'il reste, et qu'il me serre dans ses bras et puis aussi... Oh ça suffit Marika!

Je décide de briser le silence qui s'était installé dans la pièce :
"- Alors, de quoi tu veux me parler ?
- Et bien, pour commencer...
- Oh là, je t'arrête tout de suite. Sache que je suis très fatiguée à cause de cette journée, alors soit bref ou tu peux t'en aller.
- D'accord, et bien Marika, je suis désolé de t'avoir fait souffrir en me comportant comme un con. Je voulais te faire un beau et long discours, mais tu n'en veux pas. Alors je vais directement passer à la fin. Je t'aime comme je n'ai jamais aimé quelqu'un, je t'aime Marika."

Je ne pu me retenir. Je me jetai sur lui et l'embrassai si fort que j'en avais mal aux lèvres. Lorsque je m'enlevai, il posa ses mains sur mes hanches et me regarda avec son air parfait à la Ben Parish.

Il plaça une de ses mains contre ma joue et m'attira vers lui pour me donner un baiser d'une douceur incomparable. Il monta son autre main dans mon dos, tandis que les miennes passèrent sous son t-shirt.
Il me lâcha quelques secondes pour l'enlever, et je vis la beauté de ses muscles qu'il avait acquis durant toutes ces années.

Il me reprit dans ses bras et m'embrassa. De mon côté, je passai mes mains dans son dos jusqu'à ses cheveux.

D'un coup, il se baissa, prit mes cuisses entre ses mains et me souleva pour me déposer délicatement sur mon lit. J'enlevai mon haut et il me contempla comme si j'étais la plus belle chose qu'il n'ait jamais vue.

Je pris son visage entre mes deux mains et l'attirai vers moi pour l'embrasser à nouveau. Je ne m'étais jamais sentie aussi bien. Mon corps commençait à s'embraser d'envie. Et je ne voulais plus que lui, lui et moi ne faisant plus qu'un.

Je commençais à défaire la boucle de sa ceinture pendant qu'il m'embrassait dans le cou. Il finit mon travail en se remettant debout et enleva son pantalon tout en laissant son caleçon.

Pendant ce temps, J'enlevais moi aussi mon pantalon. J'avais presque honte d'être nue devant lui tant il émanait de beauté.

Il se repositionna sur moi si délicatement que je ne le senti presque pas. Et il recommença sa longue série de baisers et de carresses qui me faisaient frémirent de tout mon être.

Il se mit ensuite à descendre son visage en passant par mon cou, ma clavicule et mes seins. Il fit passer ses mains sur mon corps nu en descendant ses lèvres de plus en plus près de ma source de bonheur. Un gémissement sortit aussitôt de ma bouche. Il m'y plaqua sa douce main et me dévisagea avec son sourire à tomber.
"- Ne fais pas trop de bruit, tu vas réveiller les gosses..."

Un sourire m'échappa et je lus dans son regard la satisfaction.

Il baissa sa tête et la plaça dans mon entre-jambe. Je sentais l'air qu'il soufflait sur mon antre secrète.

Au moment où sa langue effleura ma peau, une explosion de sensation me pris dans tout le corps. Ma respiration devint saccadée. Je passai mes mains dans ses cheveux pour me tenir à quelque chose. J'allais exploser de bonheur, mourir d'excitation.

Je ne sais pas pourquoi, mais d'un coup, je le repoussai, me mis sur mes genoux et lui retirai le dernier vêtement qui lui restait. Je pris son outil de plaisir et le mis dans ma bouche pendant qu'il me caressait la tête. Je continuais ainsi jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus.

Il me souleva, me déposa à nouveau sur le lit et m'embrassa tendrement. Il leva la tête de quelques centimètres et me regarda :
"- Tu es sur que tu veux le faire ?
- Je veux que toi et moi ne fassions plus qu'un Ben."

Après ma réponse dont j'étais plus que certaine, il descendit sa main droite et pénétra en moi avec ses deux doigts. Un plaisir fou m'envahit. J'en avais besoin d'encore plus.
"- Donnes en moi plus.
- D'accord. "

Et là je la sentis en moi. Cette chose qui n'était plus ses deux doigts et qui pénétrait mon intérieur. Il laissa échapper un petit gémissement puis colla sa bouche contre la mienne. Nos mains s'étaient enlacées. J'avais l'impression de tout ressentir. C'était pour moi l'éveil de mes sens. Ses coups de hanches furent vite plus rapides et plus surs que les premiers.

Les minutes s'écoulaient d'une telle vitesse que nous ne nous sommes rendu compte de rien.

Mais à un certain moment, s'en fut trop pour moi, je ne pu retenir les jets de joie provenant de mon jardin secret. Puis se fut son tour. Il ressortit de mon être et fit couler sa semance sur mon ventre.

Il m'embrassa longuement, puis je soulevai son visage pour l'admirer. Il avait les joues rouges, ce qui le rendait encore plus beau. Des perles de sueurs coulaient sur son dos. Je passai mes mains sur son corps d'athlète à la recherche d'une imperfection. Mais à mes yeux il n'en avait aucune. Il m'embrassa sur le front une dernière fois avant de se coucher à côté de moi. Je me blottis dans ses bras et il posa son menton sur ma tête.

Je me souvins soudain, qu'avant qu'il ne vienne, j'avais envie de le tuer. Mais c'était oublié, car c'était l'homme de ma vie.

Il alla chercher une des couvertures que j'avais entassées au coin de la pièce, et nous couvrit. Nous passâmes encore plusieurs heures à nous contempler, avant que je ne tombe dans mes rêves.

Je t'aime Ben. Et je t'aimerai jusqu' à mon dernier souffle.

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Bonjour à tous,
Nous espérons que cette partie vous aura plu malgré le côté quelque peu chaud... Demain, tout le monde pourra à nouveau continuer l'histoire. Et pour tous ceux qui n'aurai pas pu lire cette partie, nous en ferons un petit résumé sans détails.

Donc il ne nous reste plus qu'à vous dire à demain,
Et d'ici là, bonne lecture !

La nouvelle constellation Où les histoires vivent. Découvrez maintenant