Chapitre 27: Entre l'amour et la raison

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Jace m'apporte chez moi. J'ouvre ma porte avec une boule dans la gorge qui se semblait pas vouloir partir. Je claque la porte de la maison derrière moi dans un élan incontrôlable de colère même si je savais que Jace était juste derrière.

-Tout va bien chérie? s'écria ma mère en se levant du sofa.

Je n'ai pas été en mesure de retenir mes larmes plus longtemps et ma mère s'est empressée de me prendre dans des bras.

-C'est finit avec Tom.

Mes sanglots doublent d'intensité et Jace rentre au même moment, mais je l'ai ignoré.

-Je le trouvais trop possessif, mentis-je. Il était possessif et je ne voulais pas lui dire pour le quitter.

Ma mère mit sa main dans mes cheveux et me les caressent. Je trouvais ce geste rassurant.

-Aujourd'hui j'ai appris qu'il n'était vraiment pas d'accord pour notre séparation, alors il dit à tout le monde que j'ai une liaison avec Logan, ce qui est faux...

Ma mère n'était pas au courant pour ma séparation avec Tom, encore moins pour ma relation avec Logan, donc j'ai cherchée des conseils au même sujet sans mettre Jace dans l'histoire. Je regarde Jace par dessus l'épaule de ma mère et lui demande de me donner un moment avec ma mère. Il sortit son côté professionnel et montât les marches.

«-Alice, pour Tom, tu dois lui dire la vérité, c'est la seule et unique choses qui ne te procurera jamais de remord, peu  importe les conséquences...
-Je fais quoi si la vérité ne peux pas être dites?
-C'est quoi l'intensité du secret?
-Un secret qui pourrait gâcher la vie d'une personne à tout jamais, sans blague.
-Dis la vérité, mais autrement.
-C'est à dire, demandais-je septique.
-Tu dis la vérité, mais pas complètement. L'important est qu'il y ai rien de précis, dont le secret en question. Je ne sais pas si je t'aide...
-Oui, dis-je rapidement. Merci!»

Le fait que je vais devoir dire une semi-vérité à Logan me brisait le cœur. Jamais il ne s'est trouvé méchant envers moi. Il est le gars le plus gentil que j'ai croisé, il est même plus gentil que Jace, mais j'aime Jace. Oui, je l'aime. C'est avec cet amour-là que je vais allée y parler.

Je remercie ma mère et monte les marches d'un pas lent. J'arrive à ma chambre et Jace était devant tel un professionnel. Je le regarde les yeux plein d'eau. Je rentre dans ma chambre seule pour ne pas que personnes ne voient rien.

J'ouvre de nouveau la porte pour lui demander s'il peut entrer pour m'aider avec mes devoirs, il accepte et une fois la porte fermée, il me prend dans ses bras et m'embrasse le front.

«-Te voir pleurer est comme un poignard en plein coeur.
-Je suis désolé.
-Tu me poignardes en plein coeur et tu ne fais que t'excuser?»

Je le regarde et je l'embrasse, mais notre embrassade s'est vite transformée en baiser passionné. Je me recule jusqu'à ce que je sois assise sur mon lit. Il enlève sa veste et je commence à balader mes mains sous son chandail la main droite sous ses abdos et ma main gauche dans son cou pour nous coller d'avantage. Il voulu descendre sa main jusqu'à ma poitrine, mais je refusa.

«-Je ne suis pas sûre d'être encore prête.
-Je vais le faire lentement et tu me diras si je dois enlever ma main.
-Pourquoi?
-Plus vite tu auras un autre souvenir avec se geste, mieux tu te sentiras. Mon père appelait ça la désensibilisation. Je trouvais ça plus brusque que d'autre choses, mais j'ai vite compris que cela marchait.»

Je mis ma main droite sur sa main et je la dépose sur ma poitrine je le regarde droite dans les yeux. Je prend une grande respiration et essais difficilement de changer le souvenir de mon viole pour cette expérience avec Jace, ce que je suis parvenue à faire. Je le regarde et lui chuchote que c'est vrai. Il commença donc à y aller seul et se faisait plaisir.

Nous nous embrassions si passionnément que toutes les images horribles de mon agression se dissipaient temporairement de mon esprit. J'avais si confiance en Jace...

-Je suis fière de toi, me dit-il en se décollant de moi et en replaçant une mèche de mes cheveux derrière mon oreille.

Je l'embrasse une dernière fois et il dut partir pour céder sa place à mon garde de nuit, Brad.

Jace était parti depuis dix minutes quand mon téléphone s'est mis à sonner et il ne marquait pas le numéro. Je réponds, mais il n'y avait pas de voix de l'autre côté du fil.

Intriguée, je raccroche et j'oublie cette appel.

À suivre...

My bodyguard Où les histoires vivent. Découvrez maintenant