IMP!!!!! Ce chapitre contient des scènes de viols, vous êtes avertis, vous pouvez tout simplement passer au chapitre suivant si vous en ressentez le besoin, car le reste de la fiction est bien correct (pas de scène de vols, en tout cas hahaha), bonne lecture!
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Il avait liés mes mains dans mon dos tellement fort que je ne sentais plus le sang y circuler. J'avais mal, j'avais peur et il n'y avait personne qui m'entendait.
Cela faisait quatre jours que j'étais enfermé là, comme un animal sauvage, dans un sous-sol tellement sal que je crois parfois sentir le sol bouger en-dessous de moi. Je ne voyais rien, il n'y avait aucune lumière et ça sentait le soufre et l'humidité.
Je sentis son souffle sur ma nuque. Mon ventre se contracta et mon coeur se serra. J'étais sa marionnette et lui, le ventriloque. J'étais sans défenses, vulnérable. Il mit ses mains étroites sur mes hanches nues et il me souffla des mots cochons dans l'oreille. Je voulais crier. Je voulais être au chaud dans mon lit.
Il colla ses hanches au miennes et je pouvais sentir une bosse se former où son intimité. Je voulais vomir, mais je voulais d'avantage mourir pour ne pas revivre ça pour la énième fois de la journée, même si je ne sais plus vraiment si nous sommes le jour ou bien la nuit.
Je n'avais eu guère le choix de le laisser entrer en moi comme une poupée de chiffon, comme un objet. Il baisait une cadavre car j'étais morte de l'intérieur. Quatre jours de souffrances m'avaient suffit pour me démolir, complètement.
Il grognait de plaisir et je laissai échapper des cris de douleurs qui pouvait le laisser penser que je jouissais, mais je n'ai jamais vue son visage, je ne savais même pas son nom, mais il entrait en moi comme si il était mon amant, mon mari.
J'ai souffert comme je n'ai jamais souffert, mais j'eu une libération quand j'eu ressentis sa sève chaude en moi, je savais qu'il allait repartir. J'allais être seule, mais j'ai eu tord, il en fit autrement. Il me demanda de patienter, qu'il m'avait apporter un cadeau.
Il monta les escaliers et prit un objet. J'étais de dos à la trappe, tendit que la seule lumière qui lui a permis de me voir était celle-ci. Mon cœur battait aussi vite qu'un tambour. J'avais tellement froid, je n'avais pas mangé de la vrai nourriture depuis que je suis arrivé. La seule nourriture qui me donne était son...
Je le sentais respirer fort derrière moi. Il avait un souffle rapide et rauque, comme s'il était grippé, mais se fut du désire. Il me désirait même si je n'étais qu'un cadavre. Au fond, j'en suis probablement un.
Je sentis une longue corde me flatter le dos. Je savais c'était quoi. Je savais qu'il allait me marquer de fines lignes qui témoigneront à tout jamais l'impact qu'il va avoir dans ma vie. Ce ne fut qu'avec un coup de fouet que j'ai compris. Son esprit tordu n'avait plus assez de plaisir à violer une morte, il voulait baiser une flagellée.
Le second coup fut plus douloureux que le premier. Il avait tellement frappé fort que je sentais dans mon dos squelettique un liquide qui ma paru chaud, mais que rapidement, était devenu glacial. Mon sang coulait sur mon dos et cela l'excitait. Je ne pouvais pas m'empêcher de crier de douleurs à chaque coups qu'il m'infligeait, mais il eu un point que je ne sentais plus mon dos. Je m'étais probablement évanouie, mais j'étais assez présente mentalement pour savoir qu'il m'avait détaché, me coucher sur le dos et m'embrasser le pied, le mollet, la cuisse, le ventre, mes seins et s'attardait dans mon cou. Mon dos me faisait mal, le sol était froid et à chaque coups de reins, mon dos souffrait d'avantage.
J'entendis un zip et la trap se ferma. Je voulais mourir, je voulais le tuer et je voulais ne plus souffrir. La boule que j'ai dans l'estomac m'empêche de respirer et mes larmes se sont mises à couler sur mes joues. Je ne suis pas tombé dans un sommeil, mais je me suis laissé guider par ma respiration lente et faible. J'étais bien, je n'avais plus mal et j'avais l'impression de m'enfuir de cette cave. J'ai été guider par le Coma comme si je le connaissait depuis toujours. À cet instant, il était devenu mon meilleur ami.
À suivre...
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My bodyguard
Roman d'amour«-Tu m'aimais? -Je croyais que tu l'avais deviné... dis-je en versant une larme. -Tu m'aimais? -Oui, je t'aimais. -Comment as-tu fait pour tomber amoureuse d'une personne qui n'avait rien à t'offrir? -Comment as-tu fait pour tomber amoureux d'une...