Audience! [Partie 1] (One Piece)

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Pour cet O.S, il vaut mieux avoir bien entamer l'arc Whole Cake, au minimum. Au mieux l'avoir finis. L'histoire se porter sur la famille Vinsmoque. 

Cet O.S est très, très long et consiste en grande partie en conversation. Alors je l'ai coupé ne plusieurs parties. J'ai essayé de les rendre drôle dans les autres parties, espérons que c'est réussis. La première partie est surtout là pour présenter Isis, Terry et Tollar.

Les prochaines parties seront bourrés d'information relatives au peuple Spirit (d'ailleurs, ceci dit en passant, qui as trouvé la référence?). Quand j'aurai finis mes fics, peut être que je ferai une fanfic One Piece qui n'auras rien a voir avec les précédentes.

Je compte réunir l'O.S précédent et son système de Dieu, avec le peuple Spirit de celui-là. Qu'est-ce que vous en pensez? 

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 Je marche la tête haute, avec la grâce que demande mon rang. Mes ailes de papillon, repliées, se fondent dans ma robe, sous ma cape royale. Je lève les yeux vers la forteresse qui s'élève devant moi. Je jette un dernier coup d'œil a mes gardes et meilleurs amis. Terry d'un coté, Tollar de l'autre. Ils sont frère jumeaux. L'un est brun, l'autre blond, mais ils ont les mêmes yeux verts. Les personnes autour de nous leur passent a travers. J'ai un sourire amusé en pensant a la panique générale que ça créerait si ils apparaissaient ainsi.

Pour le petit point Histoire ; bien avant que le Germa 66 soit... ben le Germa 66, Judge Vinsmoke a fait quelques expériences isolés pour créer des espions capable de se faufiler n'importe où. Il a attraper des sirènes, des personnes normales, des hommes-poissons divers et même quelques Minks. Il les as modifier génétiquement, tous de la même façon. Tiré d'un animal disparus dont nous avons tous oublier le nom, un des nouveaux gênes est resté. Nous pouvons devenir invisible. Les membre de notre peuple ne peuvent pas toucher les personnes dites normales, peu importe si ils sont visible ou non. Mais ils peuvent se toucher entre eux. Deux personnes de notre peuple peuvent se voir, même invisibles. Et il y a moi. Issue de la lignée de la toute première expérimentation, je suis a cheval entre les deux. Quand je suis visible, je peux toucher les personnes normales. Et eux peuvent me toucher. Et cette différence, elle est dû aux ailes de papillon que j'ai dans le dos. A l'époque, notre créateur a insufflé un gêne d'insecte a l'un des Premiers. Cette différence a élevé mon père au rang de roi quand ils sont tous partis pour échapper a Judge. Depuis, seuls les détenteurs d'Ailes peuvent gouverner notre peuple.

Nous vivons en mer. Pour défendre notre bateau-ville, nous avons dû développer des armes capables de blesser les personnes normales. Chaque armes que nous prenions devenaient invisible et incapable de blesser un Normal. Il nous as fallu 10 ans pour réussir. Maintenant, nos capacités font de nous le peuple le plus puissant mais aussi le moins connu.

Aujourd'hui, j'ai besoin de l'aide du Germa 66. Je suis nerveuse. Après tout, peut être que Judge en veux encore a mon père pour lui avoir faussé compagnie. Et dans ce cas, je ne pourrai pas avoir ce dont j'ai besoin. Et c'est primordial. Je me présente au portail de leur forteresse comme la princesse Isis. Peu après, ils me font entrer dans une grande anti-chambre morne. Les portraits des 3 Commandants de l'Armée sont accrochés. Il y en a également un qui représente l'aînée. Je le trouve mieux fait. La princesse Reiju est bien mise en valeur. Je les passe tous en revue. Je m'arrête devant le portrait du prince Ichiji. C'est mon préféré.

Je l'ai vu combattre avec le prince Niji sur l'île Brock Colie. Il était époustouflant, j'en suis tombé amoureuse. J'ai appris que, par une modification génétique, Judge lui a enlevé toute trace de sentiment. C'est dommage, mais ce n'est pas grave. Je ne suis pas ce genre de princesse gentille et si il faut tuer, je le ferai. Je pense que mon petit coté sadique devrait lui plaire. J'essuie régulièrement des attaques d'assassins. Ceux avec qui mon père a réussit a faire affaire tentent maintenant de me tuer, vu que j'ai rendu leurs contrats caduc. Mon peuple m'adore, mais ceux avec qui je fais affaire ne s'y trompent pas. J'abats le moindre danger avec une froideur calculée et habituelle. Il est hors de question de laisser mon peuple sans défense, même s'il est immatériel. Les problèmes comme la faim ou la soif ne nous épargnent pas.

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