« Dans tous les contes que j'ai lu, les histoires qui commencent mal ont toujours une belle fin. Même s'il y a des obstacles, les héros s'en sortent.
Nous ne sommes pas des héros.
Alors quelle sera la fin de
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n°9129 Catégorie : rose ---------------------------------------
Beaucoup habitait dans ce pensionnat, tous des êtres aussi magnifiques et irréel les uns que les autres. Dont l'une des plus belles.
Elle se nommait Bae Irène.
Elle était d'une beauté indescriptible, un visage paisible dégageant une prestance ravageur, et une expression constamment mystérieuse en charmant plus d'un, mais elle s'en fichait. C'était une personne convoité par beaucoup, mais pas pour les raisons qu'elle voudrait.
Irène se réveilla sous le bruit assourdissant d'une alarme, ses yeux s'ouvrirent en un fracas et fixèrent le plafond blanc. Quelques secondes passèrent avant que la belle ne se rende compte que le réveille émettait toujours un son strident. Elle s'assit en tailleur et tourna lentement sa tête vers le lit où demeurait habituellement sa camarade de chambre, mais ce matin elle n'était pas présente. Fronçant les sourcils, Irène se dirigea vers le côté de sa meilleure amie, et éteignit l'alarme.
Sur son lit, était posée un petit mot :
" Je me suis levée plus tôt en te laissant l'alarme pour ne pas que tu te réveilles en retard. on se voit en cours de sport,
Seul' "
Ce fut dans un long soupir qu'elle partit se préparer pour le premier niveau de la journée.
Irène marchait calmement, longeant les couloirs de l'établissement pour contourner à gauche et monter les escaliers rose pâle au même teint que ses cheveux attachés en une queue de cheval. D'une démarche élégante, elle atteignit finalement les vestiaires pour se changer et commencer l'épreuve de sport. Ne saluant personne, la rosée ouvrit son casier et prit les vêtements adaptés pour les deux heures à venir.
Fermant les yeux, un dernier souffle se fit avant de reprendre cet air désinvolte et d'ouvrir les portes : Irène venait de faire son entrée dans le gymnase. Toujours accompagné de cet expression impassible, elle se dirigea vers le banc et s'y assit sous les quelques regards charmés des autres élèves.
C'était ce qui faisait sa popularité dans l'enceinte de cette école : ce visage ne laissant apparaitre aucune émotions, était un critère très imposé et apprécié ici. Et Irène maniait très bien l'art de porter ce masque.
Bien qu'il lui était de plus en plus difficile de rester stoïque à chaque fois que cette voix résonnait dans sa tête.
