« Dans tous les contes que j'ai lu, les histoires qui commencent mal ont toujours une belle fin. Même s'il y a des obstacles, les héros s'en sortent.
Nous ne sommes pas des héros.
Alors quelle sera la fin de
...
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Elle avait une frange, une attitude confiante et était toujours accompagnée d'un rictus sournois. Tout le monde la connaissait comme étant la première en tout et celle à toujours obtenir ce qu'elle voulait.
Son Wendy était bien la plus prestigieuse élève de tout le pensionnat.
Mangeant son petit déjeuner dans le réfectoire dénué de monde, Wendy se préparait mentalement à commencer cette longue journée, commençant par une épreuve sportif de bon matin.
Réussir. Réussir. Réussir.
Elle avala une bouchée de céréale et essaya de se vider l'esprit, avant d'entamer des heures entière à devoir réfléchir et réfléchir sur toutes sorte de facultés qui font d'elle cette élève modèle et enviée par d'autre.
La brune ferma les yeux mais les rouvrit de sitôt quand un bruit provenant de plus loin derrière atteignit ses oreilles. Elle se retourna; personne, pourtant elle aurait jurer avoir sentit une présence près de la porte d'entrée du cafétéria.
Des murs blancs entourant des casiers oranges, et des bancs jaunes où se trouvait Wendy, assise, attendant que le professeur se décide à les appeler pour commencer ce nouveau niveau. Les vestiaires étaient encore vide. Les autres venaient pile à l'heure, la brune, elle, préférait être en avance. Tout comme Seulgi qui était en train de lasser ses chaussures à son opposé.
De tout les élèves qu'elle côtoyait ici, Seulgi était sans doute la plus grande rivale de Wendy. Ce qui ne lui convenait pas du tout.
Quelques élèves firent leurs entrés mais notre brune n'y prêta pas attention. Elle la fixait longuement, voulant lui poser une question qui lui titillait l'esprit depuis des semaines. Mais lorsque cette dernière releva la tête, Wendy se ravisa. Voyant dans le regard de Seulgi un air déterminé quand la voix du professeur se fit enfin entendre, elle se voila à son tour d'un masque. Celle de la compétitrice.
Wendy n'aimait pas perdre, et ne devait pas perdre.
Elle se releva et ouvrit en première les deux portes la séparant du gymnase où elle y rentra prête à gagner quelque soit l'activité du jour.
