« Dans tous les contes que j'ai lu, les histoires qui commencent mal ont toujours une belle fin. Même s'il y a des obstacles, les héros s'en sortent.
Nous ne sommes pas des héros.
Alors quelle sera la fin de
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n°9603 Catégorie : vert --------------------------------------
Park Joyétait une magnifique jeune femme ayant partie des élèves les plus populaire. Elle possédait un visage dont on ne pourrait décrire toutes les perfections. Des traits définis telle une poupée de porcelaine, un regard perçant et un aura des plus séduisant : Joy avait tout les atouts pour avoir n'importe qui à ses pieds dans ce pensionnat, mais ce n'était plus totalement le cas.
Aujourd'hui avait l'air de s'annoncer un jour ennuyeux, comme tous les autres pour Joy, quimarchait lentement sur le sol brillant du gymnase, croquant le petit bout de sphère qui restait sur le bâton de sa sucette avant de le jeter dans la corbeille. Elle se dirigea ensuite vers la chaise haute et s'y installa.
Elle ne savait pas quel sport était programmé, mais peu importe. Ce que la jeune femme savait, c'est qu'elle sera arbitre aujourd'hui et qu'il était hors de question de transpirer dès le matin.
La salle se remplissait peu à peu, créant un brouhaha infernale. Joy n'en pouvait déjà plus, elle détestait le bruit, elle détestait les épreuves physiques, elle détestait ces élèves.
Assise sur la chaise blanche, la grande blonde, apprêtée de sa tenue de sport, regardait les élèves passant devant elle, dont Irène.
Toutes deux étaient d'une beauté illégitime, mais l'une avait plus de notoriété que l'autre. Pourquoi ?
Joy avait cette même expression impassible constamment collé au visage.
Joy avait la même prestance à couper le souffle.
Joy avait même en plus, ce voile charmeur dans le regard, qu'elle seule possédait.
Joy était auparavant, aussi aimée qu'Irène.
Mais Joy n'aimait pas ça, être entourée d'hypocrite ne l'aimant que pour ces critères que cette ville leur imposait et qu'elle suivait à la lettre. Un jour, la jeune élève l'avait avoué tout haut, et depuis, elle était tombée bien bas aux yeux des autres. Plus personnes ne lui parlait, ce qui ne la dérangeait pas le moins du monde. Mais Irène, elle, considérait encore sa personne derrière les regards méprisant : et ceci, dérangeait Joy.
Non pas qu'elle détestait cette dernière au contraire, c'était pire.
