Chapitre 4:
Mon réveil sonne, je ne sais même pas pourquoi je le laisse, il ne me sert à rien, je ne dors pas beaucoup la nuit à cause des cauchemars que je fais. Mes démons me poursuivent même pendant mon supposé sommeil. Donc, je me lève et m'habille comme d'habitude c'est a dire gros pull noir et jean taille haute noir également . Il ne fait pas froid, au contraire, mais je ne peux pas mettre de t-shirt ou de short, on verrait mes blessures et hématomes. Je laisse mes cheveux roux libres et maquille du mieux que je le pus mes cicatrices ou autre pour les cacher. Je pris mon casque et mon téléphone puis mis ma musique. Arrivée devant les escaliers que je comptais descendre, quelqu'un me poussa, enfin "quelqu'un" je savais que c'était mon père. Bon, le côté positif, c'est que j'avais gagnée 1 minutes. Je regarde la où j'avais mal et, heureusement, rien de grave. Mon merveilleux père rigola de ma chute puis parti dans son bureau. Merci. Je me relève, regarde si mon casque n'était pas abîmé et parti prendre mon déjeuner. Un fois à la cuisine je vu ma petite sœur pleurer.
- Qu'est-ce qu'il y a Anaïs ?
-Papa ne veut pas que je mange aujourd'hui mais ça fait deux jours qu'il me dit ça , dit ma sœur entre deux sanglot. Le fumier.
-Prend ma part. Lui dis-je d'un ton sans retour.
-Mais... Et toi ? Murmure-t-elle en me fixant de ses magnifiques yeux que j'adore, j'y vois encore de l'espoir, de la vie. Les miens sont si vides d'émotions et d'âme. Cette espoir qu'elle a, je l'ai perdue le jour de..."l'accident". Mais elle, elle l'a toujours et tant mieux.
-Ne t'inquiète pas pour moi, j'irai m'acheter un truc à manger en allant au lycée. Lui dis-je d'un ton qui se veut rassurant en lui tendant mon pain, oui, c'était la seule chose qu'on pouvait manger le matin, c'est déjà bien.
Une fois sur que ma Anaïs mangeait bien je remis mon casque et me retournais-je. Je sursaute quand je fis mon frère devant moi.
-Tu m'as fais peur, dis-je en soufflant.
-Dépêche toi d'aller chercher ton sac et celui d'Anaïs s'il te plaît. Lâche-t-il d'un air autoritaire mais, pourquoi je lisais de la peur et de la panique dans son regard ? Je fis se qu'il me demandait et monte prendre nos cartables en vitesse. Quand je redescendis, Sacha et Anaïs étaient déjà près.
J'enfila mais basket et les rejoignis. On s'installa dans la voiture de mon frère et partis.
Une fois sûr qu'Anaïs était dans son collège, nous remontons dans sa Clio direction le lycée. Ça fessait un moment que nous roulons sans prononcer un mot, je le regarde quelques minutes avant de lui demander :
-Qu'est-ce qu'il se passe Sacha ?
Il y a quelques chose qui cloche, je le sais, ça se voit. Il fait toujours semblant d'aller bien devant nous mais depuis tout à l'heure, il est paniqué.
-Rien, ne t'inquiète pas ma Lou tout va bien.
C'est ça, tout sonne faux dans sa phrase ,même un imbécile le remarquerait. Il retourna son regard sur la route.
La voiture se gara sur le parking du lycée-université (oui, les deux ne formaient qu'un établissement),et nous partons chacun de notre côté. Je marchais vite dans les couloir pour aller en classe vu que j'étais en retard, quand soudain...*************
Désolé c'est un petit chapitre mais je n'avais pas trop d'inspiration mais bon.
A bientôt les gens 😁.
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Survivre
HorrorJe m'appelle Lou, j'ai 16 ans et depuis 12 ans, je me fais battre par mon père comme mon frère et ma sœur. On vient de déménager, donc nouveau lycée. Je ne suis pas ravie par cette idée car je n'ai jamais eux d'amis. Je ne parle pas et tous le monde...