Ma mère était orpheline et c'est créée un avenir toute seule. Sans jamais savoir pourquoi elle n'avait plus ses parents, lle changeait de famille d'accueil fréquemment et n'a jamais eut de vrai famille, dès qu'elle pût prendre son indépendance, elle avait cherchée un travail pour payer un studio, elle travaillait dans l'audiovisuel et adorait ça. À ses 18 ans elle rencontra un homme par hasard et ils construisirent une relation basée essentiellement sur l'amour. Au bout de quelques mois ils prirent une appartement pathétique dut à leur petits salaires. Ils eurent rapidement un premier enfant qu'ils chérirent plus que tout. Ma mère fut contrainte de se marier à cette homme car il voulait qu'elle oublie son ancien nom, que je n'ai jamais connu, et son ancienne vie. Elle le fit avant tout par amour pour son mari et pour que son fils aille le nom de son père. Elle vivaient dans la pauvreté certes mais surtout dans les petits bonheurs quotidiens qu'elle voyait. Malheureusement 2 après leur première enfant, elle tomba enceinte de jumeaux ce qui l'a plongea dans une fatigue constante. Cela entraîna aussi une maladie dut à sa grossesse. Malgré tout elle était heureuse de pourvoir mettre au monde ces bébés. Après ces deux naissances, la maladie de ma mère s'aggravit et son mari fou de chagrin et de haine envers la dernière née commença à sortir la nuit, à frapper sa famille plus particulièrement la plus jeune et ceux qui l'a protégée ensuite, à consommer de grandes doses d'alcool et de drogues. La pauvre femme fut forcée par son mari de quitter son travail 1 mois après cette évènement. Très vite elle ne sortie plus, honteuse des blessures de plus en plus voyantes sur son corps et épuisée par ses problèmes de santé. Bien que très sociale, la malade n'avait pas d'amis car elle s'éloignait de tout le monde pour cause l'homme qu'elle aimait. Rendu à l'âge de 25 ans, soit 4 ans après, elle accoucha d'une dernière petite fille et mourut 2 semaines après. Aux yeux de l'état, elle a succombée à sa maladie mais ses enfants, eux, étaient témoins du calvaire que la femme avait vécue durant des années. À par son mari, personne n'a insisté à son enterrement.
Arianna, ma mère, était une femme avant tout humaine, elle était aussi généreuse que souriante, c'était le bonheur même, elle était comme la douce chaleur d'un feu, elle était toujours joyeuse et juste. Une représentation de la gentillesse. Sa seule erreur était d'aimer.
"- Maman c'est quoi ton rêve ?
- C'est d'être heureuse ma Lou.
- Et tu l'es ?
- Temps que toi et tes frères le sont, je suis la mère la plus comblée de se monde."
L'ironie de ce souvenir est frappante, elle était allongée par terre après cette fait battre par celui qui devait la protéger quand on se parlait à ce moment.Mon père quant à lui est né d'une famille aisée. Il ne si est jamais plût et rêvé du moment où il partirait. Je crois qu'il c'est enfuis de chez lui après sa majorité et à rencontrer ma mère 5 ans après. Avant il était gentil et aimant envers sa famille. Il était apprécié de tout le monde.
Yoan Cytise est un homme intelligent, drôle et mystérieux ce qui attire les gens.
Derrière ça il haï celle qui a tué sa femme.
Il n'a pas une vie passionnante, pas assez pour rester dans les livres. Je ne sais pas dans quoi il travaille, je ne sais même pas s'il travaille à vrai dire. Je sais juste quand dehors de la maison c'est le bon ami que tout le monde adore. J'en conclu que ce n'est pas lui le problème mais moi...Bref, mes droits sont sévèrement limité et en dehors du lycée je ne vois personne. Je ne sais pourquoi mais mon père surveillée maintenant tout mes faits et gestes à telle point que je n'ose plus sortir mon casque de sa cachette ou même la bougie de Salim. Je passe le plus clair de mon temps à regarder le mur en face de moi en particulier la trace de sang marqué de ma main il n'y a pas si longtemps. J'ai un peu maigri je crois et je m'envanouhie régulièrement à cause de la fatigue ou de la faim peut être même les deux.
La mort est dans mon ombre et j'ai l'impression d'agonisser. Chaque fois que je m'endors je me dis que il y a des choses pour ne plus que je me réveille. Je n'ai pas envie que mon cadavre pourrisse dans cette chambre, je suppose que mon père ne s'en rendrait pas compte et ce ne serait pas la première fois que je m'absente durant longtemps. Peut-être que Salim serait alarmé, Sasha et Anaïs se diront peut-être que j'ai été tapée assez fort pour disparaître quelques semaines.
Je secoue ma tête en me rendant compte de mes pensées. Qu'est-ce qui me prends je ne peux pas mourir. J'ai la certitude que je dois attendre pour l'instant.
Je me demande si Kamil est bien mort. Si ma mère c'est éteinte sous mes yeux, mon jumeau a seulement disparu sans rien dire. Je ne peux pas me fier à quelqu'un comme mon père.
Il n'aurait jamais essayé de s'échapper, je me souviens que mon père nous avait souvent fait croire qu'il partait nous laissant donc la voix libre et quand nous tentions de partir il sortait de sa cachette pour nous battre jusqu'à nous faire comprendre de recommencer, il fessait ça quotidiennement.
Ce n'est pas non plus le genre de mon frère de partir en nous laissant derrière lui. Mais après tout c'est dans ces situations qu'on voit le réel caractère de quelqu'un... Non Kamil ne ferait jamais ça j'en suis convaincu.
Il a peut être fait un pacte avec papa... Un marché ou du chantage...
Dans tous les cas, je préfère croire que quoi qu'il c'est passé à l'époque, aujourd'hui il va bien...Plus j'y pense plus les paroles de mon père sont pesants. J'ai envie de ne pas y croire mais,je ne peux pas ignorer.
Je me sens si responsable de tout. Ma famille aurait été heureuse sans moi. Tellement heureuse.
C'est principalement à cause de cette culpabilité que je reste avec mon géniteur malgré tout et que j'interdis l'intervention de la police. Je l'ai déjà fait assez de mal, je ne veux plus en rajouter. Il n'y a pas que ça, je sais qu'il a des réponses à plusieurs de mes questions auxquelles seul lui peut répondre et en plus, c'est mon dernier parent, je ne peux pas me permettre d'oublier ça. Je ne peux plus me permettre de lui causer du tord.
J'ai de la chance. J'ai vraiment beaucoup de chance. Je n'ai pas le droit de souffrir de cette chance. Mais je ne peux pas non plus l'aimer.Le mur froid de ma chambre sur lequel je m'appuiyais sembla soudain se détruit sous mon poids tandis que mes paupières fatiguées se refermèrent me laissant dans le vide de mes pensées. Mon esprit refusait d'assister à ça cette fois ci.
Un bruit de verre qui ce casse, des coups rapides sur le corps qui entraînent une douleur insoutenable. Des cris, des injures, des paroles auquels je ne porte plus attention sans m'en rendre compte. Un scène rapide et choquante vu de l'extérieur, pour moi un long instant terrifiant bien qu'habituel. Voilà comment je les ressentais, ces moments où il rentre dans ma chambre sans prévenir pour déverser sa haine à ma gueule de chienne.- Tu vas souffrir comme la merde que tu es salope.
Les mots ne sortent pas, je ne peux rien faire, mon corps est trop faible pour réagir.
- Je vais dans le salon ne sors pas jusqu'à demain.
Je ne pris pas la peine de répondre car c'était inutile. Je pensais passer le reste de ma soirée à dormir vu qu'il était déjà 3 et demi mais quand j'allais mettre ma musique, la sonnerie de mon portable sonna. Le fait que se soit Sasha qui m'appelle m'inquiète un peu car c'est assez rare qu'il le fasse. Je réponds donc au plus vite, stressée.
- Lou, Salim à eut un accident, il est à l'hôpital, si tu peux dépêche toi de venir.
Ma respiration ce bloque. Ce n'est pas possible. Pas encore. Dans un élan d'insouciance je couru vers ma porte d'entrée mais le poing violent de mon géniteur me fit valser sur le sol. Seul un dernier coup suffit pour me plonger dans un sommeil forcé.
***********
Hey, j'espère que vous allez bien.
C'est un petit chapitre mais il me semblait important.
À bientôt.
VOUS LISEZ
Survivre
HorrorJe m'appelle Lou, j'ai 16 ans et depuis 12 ans, je me fais battre par mon père comme mon frère et ma sœur. On vient de déménager, donc nouveau lycée. Je ne suis pas ravie par cette idée car je n'ai jamais eux d'amis. Je ne parle pas et tous le monde...