Pour le cœur d'un Highlander {Terminée}

Chapitre 43

Kenna ouvrit les yeux avant le levé du soleil, elle se frotta les paupières et glissa ses quelques mèches rebelle derrière son oreilles afin de dégager sa vue. Elle repoussa les couvertures au bout du lit, souleva légèrement sa chemise de nuit, la fraîcheur de la chambre lui saisie ses jambes ainsi que le reste de son corps. Posa ses pieds sur le sol froid tout en remuant ses orteils.

Tout était calme dans le château, personne n'était encore levé !

Se demandant quelle heure il pouvait être ?

Elle profita du calme, déposa un châle sur ses épaules et sortit de la chambre, enfin, enfin elle pouvait sortir de sa chambre. Elle descendit les escaliers et partit en direction du jardin et prit place sur le banc.

La jeune femme huma les odeurs des fleurs qui lui avaient manqués ces derniers jours en étant enfermée dans sa chambre.

La légère brise de l'aube caressa sa peau, lui faisant parvenir l'odeur de l'herbe fraîche, le doux chant des oiseaux. Kenna adoré ce moment de la journée ! Elle prit une profonde inspiration se galvanisant des différentes odeurs qui l'entourait, gonfla ses poumons d'air bienfaitrice et naturel sans pollution. Enfonça ses orteils dans l'herbe qui lui chatouilla la planta des pieds, un petit sourire étira ses lèvres avant que des bruits de pas lui revienne aux oreilles.

Kenna tourna la tête vers l'entré du jardin où se tenait le laird les cheveux humide et le torse recouvert de gouttelettes d'eau, son corps scintillait reflétant les éclats de la lune. Elle détailla chaque trait de cette homme qui était probablement bâtit dans le marbre. Son corps s'échauffa en pensant à ce que pouvait être son corps sur le sien, des images érotiques traversèrent son esprit, elle secoua la tête les faisant disparaître. Mais comment ne pas contempler un homme tel qu'Elijah, fort et virile !

Ses cheveux blond humide étaient ramenés en arrière, gouttant sur sa peau satiné. Des lanières de cuir enserrer ses biceps et ses poignets. Son plaid ceinturer ses reins laissant apercevoir la ceinture d'apollon sur ce belle Adonis.

Elle pouvait très belle deviner ce que cacher se plaid, des cuisses musclés et robuste. Elle se mordit la lèvre en pensant ce que se plaid cacher d'autre. Ses bottes plantées dans le sol, elle remarqua qu'il n'avait pas bougé depuis le début de sa contemplation.

Kenna remonta lentement son regard le long de son corps avant de croisé son regard acier qui la scruter attentivement avant qu'un légèrement tressaillement de ses lèvres lui parvient, infime et très subtile mais elle l'avait vue, serait-il en train de se moquer où heureux qu'elle est put le dévorer du regard comme elle l'avait fait.

— Mon corps serait-il à votre goût ? demanda-t-il d'une voix assez forte depuis l'entré du jardin.

Kenna s'empourpra, le feu aux joues, il avait assisté à tout le spectacle. Elle se maudit intérieurement d'avoir succombé à l'attraction que son corps pouvait avoir sur elle. Au point d'avoir des papillons dans le ventre et le bas ventre qui se contracte à chaque fois qu'elle imaginer les mains de cet homme sur elle.

Prenant sur elle, elle tourna la tête vers le laird et annonça avec aplomb.

— Un des plus beaux que j'ai jamais vue !

Après tout pourquoi elle mentirait ?

— J'en suis ravi ! murmura le laird dans un souffle, qu'elle avait pu déchiffrer jusqu'à elle.

Au moment de regarder de nouveau le laird, celui-ci avait disparu. Kenna observa alors le levé de soleil depuis le banc puis retourna dans sa chambre se vêtir d'une robe et descendit prendre le petit déjeuner.