Pour le cœur d'un Highlander {Terminée}

Chapitre 78

/!\ Contenu explicite, public avertit ! 

Elle souleva délicatement le plaid pour l'inviter à s'installer rabattant le plaid sur leur deux corps. Il posa la main sur sa hanche en se retrouvant face à face.

— Tu es toute chaude, chuchota-t-il le souffle court.

C'est vrai qu'elle avait chaud et que sa chemise était sèche à présent. Elle contempla le visage du highlander en face d'elle de sa bouche ourlet à ses yeux ombrageux prise d'une envie de lui caresser sa figure, elle posa la pulpe de ses doigts sur son sourcil avant de descendre sur sa pommette, l'arête de son nez pour repartir sur sa joue, sa mâchoire et revenir à ses lèvres.

Dans son élan de tendresse, il en profita pour glisser son doigt sur le lacet de sa chemise et le tira pour le dénouer laissant apercevoir sa poitrine qui battait à tout rompre puis se rapprocha encore collant son corps contre le sien. Leur nez se frôler à présent, le souffle court Kenna fixa cette bouche qui la hanter dans ses rêves puis ses yeux avant de revenir à sa bouche. Elle sentit sa main descendre sur sa cuisse couvert du tissu arrivé au creux de son genou il remonta passant le barrage du vêtement et caressa sa peau nu qui frissonna et enfin happa ses lèvres dans un baiser lent et langoureux.

Il souleva le plaid le passant au dessus de leurs têtes et se retrouvèrent à l'abri des regards. Sa bouche dévora la sienne avec empressement, la main du guerrier caressa l'arrière de sa cuisse puis remonta vers ses fesses qu'il empoigna avec force afin de la coller plus étroitement à lui la faisant chevaucher sa jambe. La cuisse d'Elijah à présent entre ses cuisses, il souleva sa fine chemise jusqu'à ses hanches lui caressant la peau.

— J'ai tellement envie de toi, susurra-t-il en quittant ses lèvres avant d'y replonger.

Kenna mouvait son bassin sur cette cuisse robuste éveillant doucement son désir, chauffant son intimité ainsi que son corps entier. La chaleur sous ce plaid était insoutenable, leur souffle brûlant, la température élevé sous le plaid et le feu près d'eux.

La jeune femme était persuadée que si elle va plus loin, leur relation changerait après ça qu'elle se devrait de tout lui racontait. Malgré ça elle n'était pas prête à donner sa vertu en plein milieu de la forêt, elle mériter tout de même un lit pour sa première fois.

Un gémissement sortit de sa gorge, elle étouffait de chaud, elle fit passait sa chemise par-dessus la tête à présent totalement nue le corps en sueur comme dans un sauna. Même s'il ne coucherait pas ensemble, elle comptait bien en profitée.

Sous le plaid il faisait totalement noir, Kenna décida de rabaisser le tartan pour pouvoir respirer et se rendit compte qu'il faisait nuit, la lueur des flammes éblouissait son corps luisant et le visage du laird qui en profita pour retirer sa chemise lui aussi. Il tourna Kenna sur le dos et la surplomba de toute sa hauteur avant de reprendre ses caresses. Sa bouche s'occupa de sa poitrine tandis que sa main descendait entre ses cuisses qu'elle écarta largement pour qu'il puisse s'y installer.

Il caressa son intimité mouillé à souhait, glissant son majeur entre ses replis humide.

— Tu es trempé, grogna-t-il dans son cou.

Elle lui griffa le dos sur la longueur enfonçant ses ongles dans ses chairs, gémissants.

— Chut, murmura-t-il. Tu ne veux pas que mes hommes nous vois n'est-ce pas ?

— Non, soupira-t-elle.

— Bien ! Maintenant tiens toi tranquille.

Il glissa le long de son corps, la couvrant de baisers mouillés et de coup de langue puis arriva à son intimité dont le premier coup de langue lui fît soulever le bassin, il la maintenait en place pendant qu'elle agrippa ses cheveux dans ses poings mordant ses lèvres se laissant faire. Puis se redressa sur ses coudes pour l'observer sa tête entre ses cuisses, elle lui caressa la nuque se qui lui fait relever le visage la bouche luisante le regard de braise avant de replonger en y mettant plus de vigueur, il lapa sans ménagement suçotant sa boule de chair et ses lèvres gonflés.

Au bord du précipice, elle se laissa retomber sur le dos serrant sa chevelure entre ses doigts. Son corps se mit à convulser, tremblant de tous ses membres alors que le laird se repaissait de son intimité jusqu'à ce que les tremblements de son corps cessent. Son cœur éclata en mille morceaux, ses yeux se révulsèrent en faisant apparaitre des feux d'artifices sous ses paupières closes. Le cœur battant frénétiquement en tachycardie, elle sentit le guerrier continuer ses caresses remontant le long de son corps sentant sa peau brûlant contre la sienne. Ses lèvres déposa des baisers à la base de son cou, quant-elle ouvrit de nouveau les yeux elle pouvait de nouveau bouger ses membres.

— Jamais je n'ai connu ça avec une femme, glissa-t-il à son oreille.

Elle non plus ! Incapable de parler elle hocha la tête. Le sexe du highlander tendu contre son ventre lui annonça que lui aussi avait besoin d'être soulager. Kenna glissa sa main entre leur corps et prit doucement son sexe dans sa main, il poussa un grondement sonore posant son front contre son cou.

— J'ai besoin de toi, déclara-t-il d'une voix torturé.

La jeune femme le poussa à prendre sa place allongé sur le dos, Elijah respira par saccade le souffle court ses mains serrant le plaid alors qu'elle embrassait ses pectoraux descendant sur ses abdominaux.

— S'il te plaît ! grogna-t-il. Tu auras le temps de t'occuper du reste plus tard.

Le sourire aux lèvres Kenna compté bien lui procurer la même chose que lui, elle arriva devant l'objet de tous ses désirs qui luisait de désir. La nature l'avait très bien gâté, large et longue parcouru de veines de couleur pourpre preuve qu'il était en souffrance. Doux au toucher et très sensible, elle approcha sa bouche, sortit la langue et lui procura une première caresse qui lui vaut un râle d'animal blesser, il agrippa ses cheveux l'invitant à continuer.

La jeune femme ouvrit donc la bouche et l'accueilli dans sa cavité buccale chaude et humide. Les hanches du laird s'activer de manière incontrôlé, Kenna posa ses mains sur ses cuisses le faisant sursauter mais se détendit la laissant faire, elle débuta un lent va et vient sur son érection le titillant avec sa langue et râpant avec le bout des dents ce qui lui valut un soubresaut dans sa bouche.

— Diablesse, grogna-t-il dans un râle.

La suite demain...