Pour le cœur d'un Highlander {Terminée}

Chapitre 110

/!\ Public avertit, scène contenant du sexe !  🔞

Elijah poussa la porte de sa chambre éclairé de bougie, la pièce était recouvert de pétales il n'avait pas encore remarqué sa femme de dos près de la fenêtre. Il referma la porte et tourna la clef avant de contemplé la chambre dans son intégralité et tomba sur sa femme éclairer par les lueurs vacillantes des bougies. Son regard descendit sur sa tenue légère et se trouva a l'étroit sous son kilt, il passa la main sur le tissu de son tartan ce qui n'ai pas passé inaperçue au vue de sa femme qui s'était retournée.

— Besoin d'un coup de main ? susurra-t-elle en s'approchant.

À quelques centimètre de lui, il glissa sa main dans son dos, la plaqua contre lui et happa ses lèvres avec urgence.

— Tu me rends fou ! grogna-t-il contre ses lèvres.

— J'en conclue que tu aimes ce cadeau !

— Si j'aime ? gronda-t-il dans son cou. J'ai envie de te l'arracher !

— Doucement, l'apaisa-t-elle.

Il inspira par le nez, en essayant de calmer ses ardeurs mais la tache s'avérer très compliquer pour lui.

— Je risque de mourir si tu ne me touche pas, murmura sa femme.

Ses mains empoignèrent ses hanches et remonta vers ses flancs qu'il caressa sensuellement en observant le visage angélique de son épouse. Elle planta ses dents dans sa lèvre inférieure en faisant blanchir celle-ci avant de croiser son regard pétillant et impatient. Elijah la libéra de son pouce et posa sa bouche sur la sienne en mordillant cette partie de chair succulente et sucré dût au vin.

— Si tu savais depuis combien de temps j'attends ce jour ma belle épouse !

Le petit sourire de sa femme accueilli cette déclaration, elle avait à présent la bouche rouge et gonflée par leur baisers.

— Tu es beaucoup trop habillé pour moi, mon cher mari ! Laissez-moi vous aidez à vous débarrassez.

Il écarta les bras, un sourire carnassier coller aux lèvres. Sa femme s'approcha féline prête à le dévorer si elle le voulait. Elle glissa ses doigts sur sa broche qu'elle détacha avant de la poser sur un meuble avant que les deux pans du tartan ne retombent, elle lui retira sa dague, son épée et son sporran qui suivirent le même chemin que sa broche.

Elijah pouvait l'observait à loisir, il suivit le mouvement de ses hanches ainsi que ses morceau de peau qui ne lui était pas cacher par cette fine dentelle.

Le bruit de sa veste atterrit à ses pieds le ramena à l'instant présent, elle s'occuper à présent des boutons de son veston tandis qu'il retirer son foulard autour de son cou le laissant choir sur le sol où sa veste et son veston reposer déjà. Ses doigts fin se dirigèrent ensuite vers l'intérieur de son tartan où elle releva sa chemise et lui fit passer par-dessus la tête.

Elle observa son torse avant de se mordre la lèvre, sa main douce se posa sur son cœur puis caressa sa peau en descendant vers ses abdominaux lui procurant des frissons. Il respira difficilement par le nez, les narines frémissantes puis remplaça sa main par sa bouche.

— Kenna, gronda-t-il d'une voix torturé.

Sa femme se redressa et le poussa vers le lit où il se laissa tomber, ses bottes et ses chaussettes rejoignit l'amas de vêtement puis l'enjamba se retrouvant à califourchon sur lui.

— Voilà qui est mieux, susurra-t-elle en embrassant sa bouche.

Elijah posa les mains sur ses hanches en grondant dans sa bouche alors que sa déesse d'épouse ondula son bassin contre le sien. Le frottement rêche du tissu contre son sexe allait certainement le rendre fou si elle n'arrêtait pas de rendre fou.