Chapitre 120

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Kenna se retrouva dans un état perpétuel d'inconscience et de semi-conscience, son dos lui faisait souffrir le martyr. Dès lors qu'elle avait pût ouvrir les yeux et inspecter les lieux, elle se trouvait dans une cave, l'humidité et une odeur putride régner dans cet endroit, les fissures dans les murs laissait passer les courants d'airs.

À cette allure, elle attraperait une pneumonie !

La jeune femme avait fait aussi la connaissance de ses compagnons de cellule qui n'était d'autre que des rats, qui prendrait plaisir à la dévorer pour leur repas. Ses vêtements toujours imbiber de sang, elle ne saurait dire si le saignement s'était arrêter où si elle continuer à se vider de son sang.

Ses chevilles étaient entravé par des chaînes ainsi que ses poignets, elle était résigner à devoir supporter la douleur que d'affronter et se battre. Elle était tellement affaiblit qu'elle en serait incapable même si on lui demander, pas sûr de pouvoir rester sur ses pieds bien longtemps.

La seule chose qui la faisait tenir était de se dire que son bébé était encore en vie, qu'elle se devait de vivre pour lui ! Elle caressa son petit ventre en sentant les larmes montées.

— Ton papa va venir mon bébé, tiens bon je t'en supplie !

Le bruit métallique d'une clé attira son attention, elle s'empressa de cacher son ventre et se recoucha en fermant les yeux. Les bruits de pas se rapprochèrent de sa cellule.

— Tu crois qu'elle est morte ? demanda un homme.

— Nous allons vérifier ça !

Ils entrèrent dans la cellule, puis sentit un liquide sur sa plaie qui la fit crier de douleur.

— Tu vois, elle est en vie ! railla-t-il.

L'homme continua de verser le reste de son gobelet d'alcool sur sa plaie ouvert dans son dos, elle sera les dents et encaissa.

— Angus veux te voir, parle un homme.

— Qu'il aille au diable, cracha-t-elle.

— Tu n'es pas en mesure de discuté ma jolie !

— Je vous emmerde !

Ils la regardèrent en fronçant les sourcils, certaines expressions du vingt et unième siècle lui serve finalement. Ils ne comprennent rien !

— Qu'est-ce qu'elle a dit ?

— Je ne sais pas !

— Sale catin, dit l'homme en lui infligeant une gifle.

Je pense qu'ils aient comprit tout de même ! Le ton sûrement.

La joue chauffée à blanc, elle mordit sa lèvre puis refoula les larmes. Les chaînes aux murs furent retirés mais pas celles qui lui entravés les membres, ils la forcèrent à se relever sans grimacer puis la poussèrent hors de la cellule et ainsi de suite jusqu'à ce qu'elle entre dans une pièce éclairer qui lui fît froncer les sourcils pour s'accoutumer. Cela faisait très longtemps qu'elle n'avait pas vue la lumière du jour.

Elle trouva Angus à table entrain de manger comme un porc, les doigts couvert de graisse, il prit son pichet de bière qu'il bût avant de roter et enfin son regard se posa sur elle, ce qui lui donna envie de vomir.

— Assis ! ordonna-t-il.

Une main sur son épaule la força à s'asseoir de force, déchirant un peu plus son dos qui commencer à cicatriser, de nouveau le liquide brûlant du sang glissa sur sa peau.

— Qu'est-ce que vous voulez ? siffla-t-elle entre ses dents.

— Ce que je veux ? rit l'homme en face d'elle.

Pour le cœur d'un Highlander {Terminée}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant