Pour le cœur d'un Highlander {Terminée}

Chapitre 79

Le bruit humide de sa bouche emplissait le silence, elle massa ensuite cet endroit érogène le périnée. Elle avait lu un article très révélateur sur les prouesses que procuré des caresses au niveau du périnée d'un homme qui encourageait l'orgasme, elle massa donc sa peau tendre.

— Kenna ! gronda-t-il.

S'ensuivit de plusieurs jets puissants qui emplissait sa bouche. Après plusieurs minutes le corps du guerrier se détendit de nouveau, elle remonta le long de son corps alors qu'il avait son bras musclé sur ses yeux, sa poitrine monter et baisser rapidement. Elle posa de petit baisé dans son cou au moment ou il entoura son corps de ses bras d'acier et la serra contre lui dans un étau de fer.

La jeune femme ne bougea pas d'un pouce, appréciant ce contact entre eux. Elijah fit pivoter leurs corps à ce que le dos de la jeune femme colle contre son torse et rabattit le plaid sur eux tombant dans un profond sommeil.

En pleine nuit son estomac gargouilla, preuve qu'il n'avait pas dîné. Les bras du laird lui ceinturer la taille, elle essaya de se dégager sans le réveiller mais échoua en l'entendant grogner.

— Si vous remuer encore vos jolies petites fesses je ne réponds plus de rien !

— J'ai faim !

En un tour de main il l'a retourna face à elle, la lune éclairait son visage endormi. Le feu s'était éteint, seul des braises rougeoyantes rester allumés. Le laird se releva dans sa tenu d'Adam raviva le feu et approcha avec le sac de nourriture, elle récupéra sa chemise qu'elle enfila à la hâte puis s'assit contre un tronc d'arbre.

— Tiens, dit-il en lui tendant de la nourriture qu'elle s'empressa d'avaler.

Quand elle releva le visage, le laird l'observer avec attention.

— Qu'est-ce qu'il y a ? demanda-t-elle.

— Ta tête après un orgasme te va à ravir !

Kenna ne répondit pas et continua à manger silencieusement en serrant les cuisses l'une contre l'autre.

— Serait-il possible de ton corps en réclame encore ?

Elle termina son morceau de fromage et reprit sa place pour se rendormir, Elijah revint se positionner derrière elle relevant sa chemise.

— Si tu ne veux pas me répondre, je vais devoir vérifier par moi-même !

Sa main se posa sur son ventre puis descendit vers son Mont de Vénus et sur son intimité, il frotta son membre érigé contre ses fesses. Un râle sortit de sa poitrine confirmant ses allusions !

— Il semblerait que je ne me suis pas trompé, grogna-t-il en mordant son lobe d'oreille.

Après une nuit à s'être donner du plaisir mutuellement, les premiers rayons du soleil apparurent laissant Kenna reput et légèrement fatiguée. Elle se leva alors que le laird dormait encore et partit se rafraichir à la rivière avant de s'habiller avec l'aide du highlander. Enfin prête, ils déjeunèrent ensemble puis partirent sur leurs montures. Durant tout le trajet, Elijah lui lança des regards équivoques, lui rappelant leur nuit.

Une journée c'était passé alors qu'ils arrivèrent près de l'embarcation qui les mènerait chez l'oncle d'Elijah.

La traverser était plus au moins tumultueuse, enfin les pieds sur l'île de Skye Kenna avait mal au cœur et à l'estomac. Le passeur fît descendre les chevaux sur la terre ferme, la jeune femme prit quelques minutes pour respirer, observant le magnifique paysage qu'offrait cette île.

Laissant devant-elle une étendu de verdure ou se rencontrer collines et vallées, des montagnes de pierres qui paraissaient énorme confirmant qu'ils n'étaient que de petites choses sur cette terre.

Elijah s'approchant doucement, lui frottant légèrement le dos.

— Est-ce que ça va ? demanda-t-il.

— Mieux, merci !

— Pouvons-nous y allez ?

— Oui, je te suis !

Ils prirent chacun leurs montures et entamèrent leur monter direction la demeure d'Angus MacKintosh.

Durant le chemin qui les mena vers l'oncle d'Elijah, Kenna ne pût s'empêcher de pensée que cela était une mauvaise idée. Pendant toute la traversé, elle avait eu un mauvais pressentiment qui persistait ancrer dans sa chair jusqu'à l'os.

Mais ne savait pas de quoi elle pouvait craindre ici !

Ils continuèrent à avancer traversant les plaines luxuriantes emplies de bruyères rendant les lieux plus jolis avec cette teinte violette.

Avant la fin de la journée, ils arrivèrent dans la cour d'une bâtisse vachement plus grande que le château du laird lui-même.

Un palefrenier récupéra les chevaux et les emmena tandis que le guerrier l'entraîna vers l'entrée du bâtiment. Chacun d'eux n'avait pas sortit un mot depuis un moment déjà, Kenna se laissa entraîner dans le hall où trônait le luxe et l'extravagance. Les murs étaient recouvert de toiles imposantes et autres futilités de ce genre exposant clairement à quiconque entrant dans ses lieux, la richesse et l'opulence du propriétaire.

Était-ce vraiment l'oncle du laird qui vivait ici ? 

Une jeune femme arriva en boitant légèrement, le visage confus.

— Mille excuses milord, je ne vous ai pas entendu arrivés !

— Cela ne fait rien Lyra ! Vous allez bien ? dit-il en fronçant les sourcils vers sa jambe.

Kenna osa regarder son profil et le vit serrer la mâchoire.

— J'ai chuté dans les escaliers, rougit la jeune Lyra.

— C'était également le cas la dernière fois que je suis venu !

— Je suis maladroite, s'excusa-t-elle encore.

— Où ce trouve mon oncle ? demanda le guerrier.

— Il a demandé à ce que l'on ne le dérange pas !

— Où ? grogna l'homme à ses côtés.

— Dans son bureau, murmura Lyra.

Bon sang ! Mais que ce passait-il ici ?