Pour le message de Dalida, reçu le 26 juin 2016, le contact s'est fait en deux fois, comme je le raconte...
Ce soir-là je suis dans mon lit, prise par l'intérêt d'un livre bien entamé. Malgré l'heure tardive, je résiste aux clignements de mes yeux qui m'indiquent le moment pour cesser ma lecture. Je finis par éteindre vers une heure du matin à bout de fatigue.
Alors que je crois m'endormir rapidement, un flot d'énergie soudaine m'empêche de sombrer dans le sommeil. J'entends : « Dalida... Moi aussi, je voudrais passer un message... »
Me sentant vraiment fatiguée, je réponds mentalement : « Là j'ai besoin de dormir, demain ce sera possible. »
Aussitôt je ressens sa déception et une sorte d'impatience. Toutefois je ne cède pas ; il en va de mon équilibre, de ma santé. J'explique brièvement la raison de mon report au lendemain : « Ici-bas, le sommeil est encore nécessaire à la récupération des forces vitales, sinon plus de messages à transmettre. »
Le lendemain, chose promise, chose due, je suis relancée sous la douche. Cette fois je fais comprendre que là où je me trouve je n'ai ni papier ni stylo, et que la mémoire étant faillible elle ne retransmet pas de manière précise.
Un peu plus tard, enfin disponible et en totale réceptivité, j'entends comme la veille le nom pour se présenter et communiquer.
«Dalida... Je veux passer un message pour faire comprendre mon départ dans l'autre monde, celui où je suis actuellement. Il ne faut pas juger ceux qui partent comme je l'ai fait. Partir par accident, par maladie ou par décision personnelle, le résultat est le même : c'est arriver au bout du chemin. Le geste que j'ai fait n'est pas le plus facile. Il y a des souffrances morales insupportables où l'âme dit : ça suffit, je veux repartir. Arriver à ce point, tout lâche : il n'y a plus d'envie, plus de ressort. Il n'y a qu'un corps mou, inerte, une enveloppe vide sans conviction pour quoi que ce soit à envisager. Alors, en pleine conscience, on décide de partir parce qu'on n'a pas d'autre choix. Il n'y a pas de regrets à avoir ; je n'en ai pas eu. C'était mon choix et mon moment. Là où je suis, j'avance dans des connaissances pour le futur. Mon frère Orlando, qui a été un guide fidèle pour moi et un protecteur, sait de quoi je parle. Nous avons un lien très profond depuis de nombreuses vies, nous nous apportons l'un l'autre pour évoluer ensemble. Il sait tout ça au fond de lui. Je précise à ceux qui me liront dans ce message que je ne suis pas un exemple à suivre dans mon départ : chaque vie est particulière, chaque destin différent. Prendre une telle décision n'est pas un jeu de roulette russe. Si c'est juste une tentation, il est préférable de résister pour ne pas regretter trop tard. Cela n'a pas été le cas pour moi. Et puis il y a des destins de groupes, des âmes qui s'incarnent en même temps pour se retrouver dans un destin commun avec des idées à partager ; c'est comme des nouveaux courants qui arrivent. C'est ainsi que naissent de nouvelles idées, de nouvelles modes, et des choses plus sérieuses, plus responsables pour l'avenir de la planète. Soyez attentifs à cela, c'est ce qui se passe actuellement. Il faut écouter les nouvelles générations qui sont venues pour apporter des solutions à d'anciens problèmes non résolus, et cela dans plusieurs domaines. Il y a des innovations qui vont bouleverser les idées reçues ; c'est par là qu'il faudra en passer pour avancer en limitant les dégâts. Nous regardons, moi et d'autres, comment vont être perçues ces nouvelles techniques pour parvenir à de meilleures solutions, afin que les nouvelles générations soient au mieux dans leur existence. Je remercie la personne qui a pris mon message, que je tenais tant à faire passer. »
A l'écoute de ce message, j'ai ressenti une âme qui a lâché son ego d'en bas et qui a bien avancé dans son évolution personnelle.
Des mois plus tard, dans la nuit du 14 mars 2017, j'ai la vision de Dalida en gros plan, le visage inondé de pleurs. Elle a de la peine par rapport à un spectacle où elle apparaît dénudée de façon très intime (une succession de flashs m'indiquent qu'il s'agit de cela). Au matin, en me réveillant je conclus que cela à un lien avec le film « DALIDA » sorti deux mois plus tôt. Film où il est surtout question de sa vie personnelle : des scènes et des propos de sa vie intime sont mis en avant au détriment de sa vie de chanteuse, qui sert en quelque sorte de toile de fond, de décor.
Quand je relis ce que j'ai noté trois jours auparavant, je sens la présence de Dalida, et ses mots commencent à me parvenir...
«Bien qu'il n'y ait rien à reprocher aux acteurs, tous très bons dans leur rôle et particulièrement l'actrice principale, cela ressemble à un scénario pris dans les pages de magazines à scandales ; c'est très indiscret... Chacun pensera ce qu'il voudra, mais il faut faire attention lorsqu'on retrace la vie de personnalités disparues. Que ce soit dans un livre, un film où une émission de télévision, il faut faire attention à ne pas blesser ceux qui sont partis. Nous existons encore et nous sommes souvent présents. Même si vous n'avez pas tous conscience de cette présence, c'est ainsi. De mon vivant parmi vous, je n'aurais pas donné mon accord total pour ce film. Si l'on veut rendre hommage publiquement à une personnalité disparue, il faut respecter ce qui est d'ordre intime. Ne pas faire de racolage avec des scènes et des propos ayant soi-disant existé. La vérité de l'intimité appartient à l'être qui l'a vécue. Le fait d'être parti de ce monde ne donne pas autorisation à qui que ce soit de retracer ce que bon lui semble pour se mettre en avant ; dans ce cas, l'hommage est raté. Sachez que nous allons dans les salles de spectacles, de cinémas et autres lieux de nouveautés dans le monde artistique, et que nous sommes donc au courant de ce qui se passe. Nous entendons les commentaires du public et aussi des lecteurs. Certains pensent qu'ils peuvent faire usage de notre vécu comme ils l'entendent, il seront surpris plus tard de constater qu'ils étaient dans l'erreur. Sachez que je n'en veux à personne ; le droit à l'erreur est humain, et chacun se jugera un jour... Que le sentiment d'amour guide vos choix et votre créativité. Merci de m'avoir permis de faire le point.
Le message est fort. J'ai vu le film près de chez moi, j'ai aimé. J'étais accompagnée, l'autre personne n'a pas apprécié. Par la suite j'ai su, parce que cela m'a été rapporté, qu'il y avait eu des spectateurs déçus ou choqués par le contenu du film, dans cette salle et dans d'autres.
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Personnalités disparues : leurs messages de l'au-delà
SpirituellesJe vais parler ici de mon expérience de médium qui communique avec les défunts. Je tiens à préciser que, même s'il m'arrive de voir, de pressentir et faire de nombreux rêves prémonitoires, je ne pratique pas d'activité de voyance qui est une autre b...