15- la société.

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Souvent la vie compliquée,
Ouais, je sais,
Parfois mes larmes coulent,
Pourtant je n'aime pas attirer la foule.

Je ne sais pas me maîtriser,
Je n'arrive pas à me contrôler,
J'ai des instants d'absence,
Des points où je retourne en enfance.

Un navire seul et en cavale,
C'est dur d'avoir mal,
Mais on dit que les pansements sont rares,
Et en attendant je reste éveillée tard.

Je cherche un remède,
Je cherche de l'aide,
Je cours, je fais des tours,
Mais personne ne sait que mes pas sont lourds.

J'essaye d'oublier mon chagrin,
J'essaye de trouver le bon chemin,
Mes blessure ouvertes,
Elles saignent certes,

Mais pour le moment,
Il semble rester du temps,
Avant qu'elles ne se referment,
Avant que quelqu'un ne les aime.

Jolis défaut et mauvais passé,
J'avance à petit pas, avec difficulté,
Et les cheveux dans le vent, je songe à ce monde,
À ces idées malsaines que l'on se fonde.

La longueur nous fait des plaies,
Dirige ce que l'on fait,
Alors pourquoi les empirer,
En se forgeant la mauvaise réalité ?

On a tous un passé,
Tous des choses à envier,
Mais nos blessure nous construisent,
Et au fond, elles nous changent la mise.

Sur un élan de tristesse et sur mes sentiments les plus profonds et enfouis.

Les plumes d'un soirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant