Chapitre 14: Défaite et maladresse.

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Chapitre 14:

Un soleil printanier baignait le flanc de la montagne des âmes. À ses hauteurs un vent relativement froid soufflait en discontinu. Des nuages blancs parfois aux formes étrange traversaient l'azure des cieux, et partaient au loin montrer leurs silhouettes cotonneuse. Malgré le beau temps, il y avait ce jours-là dans les couloirs du refuge, comme des vibrations d'excitation qui envahissait l'air car le bruit avait couru que Zoro allait se mesurer à Shanks. Et si il y avait bien une choses qui unissait les résidents du refuge, s'était un profond respect et une admiration sans borne pour ce chef rigolard, qui les avaient en partis tous sorti d'un possible enfers.

- Faut être cinglé pour se battre contre le chef..commentait certains.

A de très rare occasion, les habitants du refuges avaient eu le désagréable honneur de ressentir le pouvoir du rouge lorsqu'il était en colère. Doté du titre -non-officiel- "d'Alpha suprême". De part la force qu'il dégageait, il arrivait quand il était passablement irrité de faire trembler les murs et même de figer de trouille tous les omégas du refuge. Et d'ailleurs c'est ce qu'avait ressenti Sanji quand il avait tenté de le calmer. C'était une peur qui allait au delà de tout ce qu'il avait jamais ressenti de toute sa vie. Même la trouille qui l'avait animé la semaine avant ses 18 ans, n'était pas comparable à ce qu'il avait ressenti ce jour-là! Les Alphas eux même ne se sentaient pas très à l'aise, dans ce genre de situation, car le charisme titanesque du rouge écrasait le leurs et les annulaient comme si ils n'avaient jamais existé.

A présent, des gens couraient dans les couloirs, existé à l'idée de voir un combat où leurs chef serait l'un des participants ! Aucun ne pouvait croire que Zoro inquiéterait Shanks, ce n'était certainement pas là, un manque de confiance envers lui, ni du mépris. Mais eux tous avaient une connaissance exact de la force du rouge, alors que le bretteur non !

Jamais, la salle d'entrainement n'avait été aussi remplis, ce qui devait être à la base qu'un défouloir pour Shanks et une occasion de se confronter à lui pour Zoro, était devenu l'espace d'un instant une sorte de spectacle, que tous le monde souhaitait voir. Law et Sanji s'était éloigné un peu, mais pas trop loin non plus, afin de permettre en cas de soucis l'intervention du chirurgien. Sanji se demandait comment tout cela allait bien se finir. Il n'avait jamais vraiment vu le sabreur se battre, serte on lui avait dis qu'il était très fort et ceux même sans capacité particulière, mais il réalisa à ce moment précis, que ce sujet là il ne connaissait rien de Zoro.

A présent la tension était à son maximum, et tout les regards étaient portés sur les futurs combattants. Pour l'occasion Shanks avait sorti son épée qu'il portait à présent à la hanche droite, ce qui pour dégainer du point de vu de Zoro n'était pas commode au vu de son bras absent. Pourtant le jeune homme préféra ne pas s'arrêter sur ce détail, il savait que Shanks avait de l'expérience en combat, d'ailleurs il n'avait pas besoin qu'on le lui dise pour le savoir, il l'avait senti d'instinct.

Ils étaient à présent face à face, et le chef fidèle à ses habitudes gardait un sourire sur le visage même si ce dernier était beaucoup plus discret qu'à l'accoutumé. La mains le long du corps , il n'avait même pas pris la peine de sortir son arme de prédilection. Il gardait une attitude nonchalante, détendu et confiante à la fois, comme si il était parfaitement au courant de l'issu du combat.

Zoro de son coté essaya de ne pas faire attention à cette assurance déstabilisante que le rouge ne tentait même pas de lui cacher. Il l'observait et ressentait au plus profond de son être que cette échange n'allait pas durer longtemps. Le tout était d'attaquer au bon moment, de chercher la faille, Le bon créneau où il devrait agir. Et pourtant, oui, pourtant malgré le fait qu'il ait mis l'un de ses sabres entre ses dents, et que deux autres occupaient chacune de ses mains, le jeune homme n'arrivait pas à se décider à agir. Le regard du rouge l'impressionnait trop. Alors afin d'en faire abstraction il ferma l'œil, et fit baisser la pressions cardiaque de son cœurs de façon à reprendre le contrôle de ses nerfs un peu trop tendus, que ce regard intimidant agitait.

Un monde qui change. Tome I [Terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant