Un monde qui change. Tome I [Terminée]

Chapitre 64: Mariage, fin de la fête, et nuit de noce.

( Ce chapitre contient une scène lemon, vous êtes à présent prévenu. Merci aussi de ne pas utiliser de langage hyper grossier sous prétexte que s'est une scène lemon)

Chapitre 64:

Cette journée avait vu un foule d'émotion se succéder, tout d'abord le stress. Dès qu'il avait ouvert un oeil très, très tôt ce matin-là, le blondinet avait senti le stress grimper en lui à la vitesse d'un cheval au galop. Et bien que Law avait tout fait pour l'aider à se calmer et à baisser la pression rien n'y avait fait, même s'occuper de son adorable bébé, n'avait pas su éloigner ne serait-ce qu'un cour instant son esprit de toutes ses pensées confuses. Le petit déjeuné avait été vite réglé car rien ne passait, et Zoro qui semblait beaucoup, beaucoup moins en stress que lui, avait bien tenté de l'encourager à manger un morceau, mais pareil cela ne fut que des paroles inutiles. Il est vrai qu'en général la préparation d'un mariage est stressant, mais lorsque comme Sanji, on ressent les émotions toujours plus fort que tout le monde se fut pire ! Son estomac était resté noué tout le long et ne s'était enfin détendu qu'à son arrivée devant Shanks près de son futur époux. Là, les yeux dans les yeux, leurs cœurs avaient battu à l'unisson tandis que dans un oui, un précipité pour l'un comme l'autre , ils s'unissaient pour la vie. L'émotion avait été palpable, et des larmes avaient menacé d'envahir son beau visage, mais le sourire chaleureux et plein d'amour de Zoro avait achevé de le détendre.

Pourquoi stresser quand on sait qu'on fait le meilleur choix de toute sa vie ?

La nuit avait à présent envahi le large parc situé au creux de la montagne des âmes, mais loin de faire fraie, les températures restait douce et agréable. Peut-être la chaleur que chacun dégageait en s'agitant et en s'amusant, faisait qu'il était impossible d'avoir froid. Peut-être, surement même, car pas un éclat de voix ne raisonnait, pas une dispute , ni une discussion un peu vive n'avait été présente de la journée. Seule les rires, et les sourires s'étaient montrées en nombre afin que le souvenir de cette journée reste beau et puissant.

A la lumière des bougies et des guirlandes de lumière Sanji qui était de retour après avoir changé son adorable Suzie avait repris place près de son époux. Un sourire doux étirait ses lèvres, alors que penchant légèrement la tête sur le coté, il l'appuya brièvement sur la large épaules de Zoro qui discutaient avec animation avec Marco et Ace. Il y avait beau avoir du monde, il y avait beau avoir des yeux tournés parfois dans leurs directions, il avait en cet instant précis envie de se montrer câlin et tendre. Il avait envie d'être doux avec cet homme fort, puissant et tellement aimant, que malgré le fait qu'ils soient liés que depuis un ans, il n'avait aucun regret quand à ses moindres choix. Cette tendresse soudaine au milieux de cette foule d'ami étonna qu'à demi le sabreur, qui s'était interrompu un instant pour déposer un simple baiser sur le front de son blondinet, d'un geste tendre il avait caressé la petite joues ronde de sa fille, qui à présent qu'elle avait les fesses propres et le bidon remplie se sentait de nouveau de bonne humeur.

Non loin de là, les complots du trio de farceurs continuaient avec hardeur, ils réfléchissaient au prochain divertissement. De temps à autre, un éclat de rire se faisait entendre de la part de Luffy, qui avait gardé sur le visage le maquillages que Nami s'était grandement amusée à lui faire. Parfois alors que Ussop semblait réfléchir quand au choix idéal de l'activité, il s'amusait à menacer ce dernier d'un bisous sur la joues. Bien loin d'apprécier l'idée, le long nez hurlait qu'il n'en était pas questions, tandis que Chopper de sa petit voix riaient aux éclats. Mais ce qui les comploteurs n'avaient pas remarqué c'était la présence discrète de leurs chef, qui rongé par la curiosité et sans doute aussi par l'envie de s'amuser, cherchait à savoir avant tout le monde quel serait le prochain jeu.

- Bon, bon, d'accord, capitula Ussop en gardant les mains devant lui, pour ne pas subir un horrible et dégoutant bisous sur la joues de la part de son pote de bêtises, dont le rouge à lèvres avaient fini par s'étaler sur l'une de ses joues. On va faire le Karaoké !