Un monde qui change. Tome I [Terminée]

Chapitre 53 : Préparatif pour un couronnement.

Chapitre 53 :

Cela faisait des mois que le roi, ainsi que ses ministres, préparaient la cérémonie du couronnement officiel de Reiju. Alban toujours aussi fou de sa femme, faisait de cette dernière une régente potentiel au cas ou il lui arriverait malheur, prouvant ainsi qu'il avait une parfaite confiance en elle. Aussi était-ce pour cela que certain de ses ministres et conseillés lui avaient demandé de bien réfléchir comme il faut, avant de vouloir se lancer dans de telle préparatifs. Devant leurs assistances aux files des mois, le souverains entendit des conseilles étrange du genre :

" Si il vous arrive malheur majesté, êtes vous sûr que la reine continuera votre politique ? "

Un franc rire méprisant passaient alors ses lèvres lorsqu'il entendait ce genre de questions, et avec un petit air mi crédule, mi désabusé, il ne leurs faisaient même pas la charité d'une réponses. Car pour lui s'était évident, Reiju serait toujours fidèle à sa politique même si, il le savait, elle y mettrait un peu moins de brutalité et surtout beaucoup plus de douceurs. Mais pour lui le principe était le même, à partir du moment ou elle restait engagé dans sa lutte contre les êtres à part, rien ne le dérangeait vraiment. Maline et sachant toujours dissimuler ses émotions et sentiments, la jeune femme avait accueilli l'annonce de son couronnement prochain d'un air humble et soumis, ce qui plaisait beaucoup à son époux. Mais ce que ce dernier ne savait pas, car il était comme toujours trop confiant en lui, et sur de son " influence " sur son épouse, c'est que si il disparaissait un jour, à coup sûr Reiju détruirait sa politique de chasses des êtres à part.

Mais pour le moment la jeune femme avait autre choses à faire, que de penser à une politique au cas ou son époux disparaitrait. Tout d'abord, elle devait se préparer à la cérémonie de son couronnement qui aurait lieu dans quelques semaines. Pour ce faire elle devait apprendre par coeur, un long texte rédigé en langue ancienne qui assurait au royaumes son totale dévouement envers le roi, et envers le peuple. Pour que tout ce passe selon la tradition un professeurs de langue ancienne venait plusieurs heures par semaine, et l'aider  dans la dictions de ce texte particulièrement compliqué à retenir. En plus de cela elle passait de longue heures à essayer des tenues, car part trois fois elle devait se changer au court de la journée du sacre. Plusieurs couturière réputés à la cours passaient tout ce temps à tourner autour d'elle à prendre mille fois des mesures, à vouloir corrigé ceci ou encore cela, a parler en discontinue à se chamailler parfois, la faisant presque devenir folle.

Les robes qu'elle avait choisi sous les conseilles du roi, car il aimait toujours avoir le dernier mots, étaient excessivement encombrantes, et en plus de cela elles tenaient un peu chaud. Alban avait aussi souhaité en plus de tout ceci, que la jeune femme soit recouverte de bijoux tous plus beau les uns que les autres, affirmant que rien n'était trop beau pour sa belle dame, ce qui avait fait grincer des dents son ministres des finances qui voyaient déjà un jolie gouffre financier se creuser. Mais essayer de raisonner le roi , pour une telle choses s'était s'assurer de sa colère, ce que chacun souhaitait à éviter le plus possible. De plus avec sa blessures au bras gauche, ainsi que son handicape, Alban était encore plus soupe aux lait et colérique qu'à ses habitudes, et s'était en marchant sur des œufs que ses ministres s'adressaient à lui, même lorsqu'il s'agissait d'une bonne nouvelle.

Le mois de Juin arriva et toutes la cours du déménager au "château des 1000 beautés" qui était au coeur même de la capitale. C'était un très ancien bâtiments fait de larges pierres blanches qu'un des ancêtres du roi avait tenu à ériger il y a de cela fort longtemps. Toute fois les années passant, la battisse quasiment abandonné avait commencé à se dégrader et menaçait de disparaitre avec fracas. Aussi à peine Alban fût t-il couronné roi, qu'il entreprit de lourd travaux de rénovations que se soit sur le bâtiments en lui même, que sa désastreuse toiture, où bien encore dans les jardins qui à ce moment là, ressemblait plus à un champ à l'abandon qu'autre choses.