Chapitre 36:
Cela faisait à présent trois jours que Zeff était en vacances au refuge au près de son fils. Et lui qui durant des mois, et des mois, s'était franchement inquiété pour son gamin, se sentit rassuré en voyant de quel manière il vivait, ici. Pourtant quand ce dernier avait été contraint de partir, Sanji avait encore toutes les allures d'un adolescent nonchalant et pas toujours très mature, à présent c'était une Homme un peu plus mûr et plus mature, et qui devenait de plus en plus responsable, alors qu'avant ça devise s'était.
- C'est bon ...C'est pas grave...on verra bien !
Ce qui à l'époque, avait mis plus d'une fois les nerfs de Zeff en boule.
Sans doute était-ce parce qu'il vivait en couple avec son Alpha, son seul est unique amis d'enfance, qu'il avait autant changé. Et puis peut-être,...surement même, était-ce aussi, parce qu'il attendait un bébé qu'il avait été contraint d'abandonner, les restes d'adolescences qui restait en lui. Sans rien dire, le vieux cuistot s'était plus d'une fois amusé, dans de la bonne humeur ambiante à observer son garçon, lorsqu'il ne faisait pas attention à lui. Plus d'une fois il s'était mis à sourire en le voyant, surveiller d'un oeil son Alpha, et puis s'inquiéter auprès de Law, qu'il prenait visiblement pour une sorte de grand frère. A croire qu'il s'était recréer une famille dans ce refuges. Il était heureux tout simplement, et rien que de constater cela, fit plaisir à Zeff. A présent il pourrait affronter son quotidien sans avoir de questions en suspens, car à présent il avait les réponses.
Ce matin là, Sanji se réveilla un peu plus tard que d'habitude, car aujourd'hui il aurait la visite des 5 mois de grossesses. Et qui disait visite, disait échographie....et qui disait écho disait, Zoro impatient et surexcité comme un gamin, voir même un peu insupportable. Il venait à peine d'émerger, les cheveux encore en bataille, le regard encore embrouillé qu'il fût accueilli par un énergique bisous qui claqua sur sa joue.
- Jusqu'au bout tu seras comme ça ? Demanda Sanji, encore pas très bien réveillé, et ayant autant de vitalité qu'un paresseux sous morphine. C'est cet après-midi le rendez-vous, alors même si j'ai ma journée ...mollo...hein...on est pas pressé....
Puis se retournant dans le lit, le jeune cuisinier s'était calé à nouveau afin de faire un deuxième round avec Morphée. Jusqu'ici il n'avait jamais été vraiment dérangé par des crises de fatigues, et il ne s'en portait pas plus mal vu qu'il devait supporter ses abominables saut d'humeur.
D'ailleurs son père en avait été témoins la veille, et avait été totalement ahuri. Lui , leurs amis, ainsi que Zoro et Zeff, avaient passée la fin d'après midi à regarder en détail l'album photo que son père avait rapporté avec lui. Bien-sur tout le monde insista pour revoir à nouveau les photos de lui gamin en princesse, lors d'une pièce de théâtre, alors qu'il était dans un école de garçon. A nouveau les rires et les taquineries furent nombreuses, mais cela ne le perturba pas plus que d'habitude, même si il ne se gêna pas pour répliquer aux vannes qui lui déplaisait le plus. Ce qui le " perturba " fût un petit dessins d'enfant qu'il avait fait petit, peu de temps après avoir été confié à Zeff.
Le dessins n'était pas beau et représentait qu'un tas de gribouillis coloré, mais s'était le petit mots que Zeff, avait écrit en dessous en guise de légende qui l'avait perturbé.
" Dessin de mon fils Sanji, âgé de 3 ans."
C'est quelques mots montraient à eux seuls, que dès le début, et ceux malgré les bougonneries de Zeff, il l'avait vu comme son fils, alors en voyant ça Sanji fût très ému....mais ému comme un oméga enceinte avec des hormones sur élevé. Il s'était mit à pleurer avec de grosses larmes sur le visage, comme si on venait de lui annoncer la pire nouvelle de sa vie, alors que pourtant il affirmait que s'était des larmes de joies.
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Un monde qui change. Tome I [Terminée]
FanfictionTome 1: Dans la ville de BelTown, il fait bon y vivre à partir du moment, ou l'on est dans la bonne catégorie d'être humain. Sanji qui pensait vivre une vie des plus banal, va réaliser à l'approche de ses 18 ans que le chemin qui l'attends risque d'...