Je suis une As

chapitre 7

Et voici le septième chapitre de cette fanfiction ! J'espère qu'il vous plaira *3*

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Je le suis donc sans dire un mot. Mais où m'emmène cet abrutis ?! Mes pensées allaient de droite à gauche quand Aomine s'arrête soudain. Je me prend son dos en plein face. Mais à quoi il joue ?! Ça fait mal ! Mon pauvre nez... J'allais parler quand je me rends compte qu'on est sur le toit de mon lycée. Il monte sur une petite échelle qui mène à un endroit supérieur au toit. Je le suis encore. La vue est époustouflante ! Je suis bouche bée. Il rigole un peu, pose son sac, que je n'avais même pas vu d'ailleurs, et se pose sa tête dessus. Il s'endort. Je le regarde, il a l'air apaisé. Je souris en le comparant à un petit chiot.

Je décide après 15 min à l'avoir regardée, comme une psycopathe, de prendre sa tête et de la mettre sur mes cuisses. Je lève la tête et observe le paysage. Je prend aussi mon téléphone et commence à faire plein de photos de lui dans son sommeil. Sous tout les angles. J'en ai fais au moins 50 ! Je rigole comme une débile. Je tourne un peu la tête et mon regard s'arrête sur un magasine sortant à moitié de son sac. Je fais des allers et retours entre lui et son sac. Je soupire désespérément. N'importe quoi. Je prend son magasine, le regarde. Une fille a la grosse poitrine ? Je suis désespérée. Alex m'avait prévenue que c'était un pervers,  mais à ce point. Se balader avec ce genre de magasine au lycée, sérieusement ? J'enlève sa tête de mes cuisses et descend du "petit" toit en hauteur. Je vais au bord du toit et cri:

-"Eh Pervers !" Il se réveille et grogne.
-"Tu veux quoi ?!"
-"Dis au revoir à la perversité !" Criai-je.

Il se lève directement et cours dans ma direction. C'est qu'il est rapide le gaillard. Ouais, j'utilise des surnoms de personnes "âgés" mais je trouve ça marrant. Bref, trop tard, j'ai déjà jeté l'horreur qui se trouvait dans ma main. Elle doit déjà être dans les mains d'un puceau. Je soupire et l'autre me lance un regard noir. Je rigole un peu, et un sourire taquin apparaît sur mon visage. Il soupire et attrape ma mâchoire. Il me la serre, je dois ressembler à un poisson en manque d'air.

-"Répètes après moi : "je suis vraiment désolé, je ne recommencerai plus Aomine-sama". Aller répètes."
-"Je ne suis pas vraiment désolé, je recommencerai sûrement très souvent Aomine, je t'aime." Dis je avec un regard "innocent".

Il rougit d'un coup, ouverture ! Je me détache de lui, prend mon sac et cours vers la porte. Avant de sortir, je me retourne et le regarde.

-"Allez ne sois pas trop traumatisé, pas avant que je ne te donne la raclée de ta vie au basket."

Je cours. Il me suit. Parfait. Je cours vers le gymnase. Personne n'y est. Doublement parfait !

Je vois juste sa tête passer entre l'embassure de la porte.

Je lui sourie, il me le rend. T'inquiètes pas, je vais te faire avaler ton sourire quand je t'aurai battu !

Je dépose mes affaires sur un banc, lui aussi. On ne prend même pas le temps de se changer qu'on est déjà en place pour le match. Aomine prend une balle qui était par-terre. Il dribble un peu et revient se placer devant moi. On se sourit mutuellement. D'un regard on se comprend, le match vient de commencer.

Il dribble, tente de me passer mais je le suis. Mes yeux sont dans les siens, ce qui semble le déstabiliser, je vais une fois de plus suivre mon instinct. Celui-ci me conseille d'aller à droite. Il a raison. Aomine a tenté de me passer par la droite. Je le suis toujours. Je le laisse passer à côté de moi pour lui prendre la balle des mains. Je réussie. Je cours vers le panier en dribblant. Il me suit. Je cours, mais il réussi à me rattraper de justesse. On se regarde dans les yeux. Notre échange de regard continue, je passe la balle dans mon dos et la lance. Elle rentre parfaitement dans le panier sans même toucher l'arceau. Je lui souris tandis que lui me regarde avec agacement mais aussi avec excitation et étonnement.

(NDA: ne croyez pas ce genre de choses, bon sang ! Je dis ça parce que j'ai moi même eu un dilemme sur "Si je mets ce mot ou non".*^*)

On continue de se regarder pendant un moment jusqu'à ce qu'un bruit de porte se fait entendre. Enfin, plutôt un bruit de clé qui rentre dans sa serrure. Et bien oui, nous avions fermés la porte, je ne sais même pas pourquoi d'ailleurs.

Je regardais la porte pour voir qui allait rentrer. Mais monsieur en a décidé autrement. Il m'attrape par le poignée et court. Je suis obligé de le suivre. Mais c'est qu'il a de la poigne ! Il prend nos sacs au passage et jette la balle. Il nous emmène où encore cet idiot ?!

Il nous jette encore dans un placard à balai ! Combien de fois je suis rentré dans ce genre de placard depuis son arrivé dans mon lycée ? Trop de fois en tout cas ! Quoique la première fois c'est moi qui nous ai enfermé dedans. Mais quand même !

-"Si tu voulais être seule avec moi, fallait me le dire." Dis je en reprenant ces mots.

Il me regarde un moment et sourit. Combien de fois peut-il sourire en une journée sans avoir mal aux joues ?! Son sourire est parfait d'un point de vue. Ses dents blanche ressortent sur sa peau légèrement matte, ses yeux bleus se plissent et se ferment et ses fossettes ressortent aussi. Je fond littéralement, mais ne lui dirais jamais de peur qu'il prenne la grosse tête et que ses chevilles gonflent tellement qu'il ne pourrait plus marcher.

Son corps est collé au mien. Il est vraiment musclé. Le basket réussi vraiment bien les joueurs ! Je tourne la tête vers la porte. J'entend des voix, Riko et le capitaine. J'ai toujours pensé qu'ils étaient très proches. Et si ...

Je me décale de l'autre, ouvre légèrement la porte et regarde ce qu'ils font. Quoi ? Me jugez pas, ils sont peut être entrain de s'embrasser et je pourrai les prendre en photo pour leurs faire du chantage. Je suis vraiment, mais alors vraiment, intelligente ! Bref, je sors ma "petite" tête et tente de regarder mais l'autre m'attrape par la nuque et me force à revenir vers lui.

Je tente de me dégager de lui mais il me tient fermement par les hanches pour que je sois plus proche de lui ...? Okay... Ma tête est sur son torse chaud, j'suis bien comme ça aussi.

-"Bouge pas, ils vont nous griller." Le chuchote t-il à l'oreille.

Bordel de cacahouète qui danse sur un dromadaire et qui chante "I'm a single lady's" ! Première chanson qui me soit venu à l'esprit !

J'entend son coeur battre. Bah oui, mon oreille est placé juste à côté de son coeur. Au moins si il m'énerve trop, je sais où le poignarder. Ouais, désolé, je vais beaucoup trop loin. Je me décide à enfin me dégager de lui. Je retourne à ma place de tout à l'heure mais avant de l'atteindre, une question me trotte dans la tête.

-"Pourquoi on se cache ?"

Il se contente d'hausser les épaules. Je soupire, si on sort maintenant ça va être trop suspect !

Tant pis, on va attendre qu'ils sortent, mais je veux toujours savoir ce qu'ils font et leur relation.

Je sors un peu ma tête en mode espionne 2.0 .

Je suis choquée ! Hamburger, frites maison ! Quoi ? C'est pour remplacer "Jésus, Marie, Joseph".

Bref, je suis sous le choc !

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Voilà le septième chapitre de cette fanfiction avec plus d' une heure d'avance ! Je sais, je m'améliore ! Bref le prochain chapitre sortira d'ici vendredi 10 mai vers 21h30 cette fois 😊😉