chapitre 17

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Voici le dix-septième chapitre de cette fanfiction ! J'espère qu'il vous plaira !

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Nous sommes à présent tous réveillés, le coach est en pls dans un coin du salon. Tout le monde s'habille pour partir. Je regarde mon téléphone, douze appels manqués de Daiki et pleins de messages. Je soupire, je lui téléphonerai sur le chemin.

Je quitte enfin cette appartement maudit. Je prends mon téléphone en main et envoie un message à ma mère pour la prévenir que je rentre.

Le moment tant "attendu" est enfin arrivé, le moment où je vais me faire passer un savon par Mister Daiki. Ca sonne, à peine la première sonnerie de passé qu'il répond.

-"Zenia !? Mais qu'est ce que tu foutais, bordel, j'ai eu peur !" Il me pète les tympans cet idiot !

-"Ca va, ne t'inquiète pas, je vais bien. Je me suis juste endormie chez Kagami."

-"Comment ça, tu t'es "juste " endormie ?! Tu te moques de moi, j'espère !"

-"Non, non, désolé "Daddy"." Rien qu'à mon ton, il doit comprendre que je me fous de lui.

Il soupire.

-"Bon t'es chez toi ?"

-"On va dire ça "

-"T'es où ?"

-"Près du parc à côté du lycée, tu sais, celui près de la superette."

-"Ouais, ouais, je vois. Va dans le parc, je te rejoins."

-"Quoi !?" Il ne prend même pas la peine de me répondre qu'il a déjà raccroché, quel goujat !

A mon tour de soupirer, je vais quand même pas attendre dans le froid, seule, dans un parc flippant, à tout moment je peux me faire kidnapper ou être hantée ! Je ne prends pas risque et pars dans la superette, il fait peut-être aussi froid que dehors mais il y a de la lumière et des témoins ! De plus, j'ai faim ! J'envoie un message à Daiki pour le prévenir que je suis ici. Je fais le tour des rayons mais une chose m'attire vraiment.

PDV : Daiki Aomine, devant la superette

J'ai vraiment fais vite, je savais que j'avais bien fait de prendre mon vélo. Je rentre dans cette superette. Vraiment, je n'avais jamais connu quelqu'un d'aussi immature ! Je passe dans les rayons dans l'espoir de la trouver, je reconnais sa silhouette de dos dans le rayon des magazines .Je cours vers elle, prêt à l'engueuler. Mon regard passe sur ce qu'elle dans les mains et je me stoppe net. Ces jointures sont blanches tellement qu'elle serre le journal, un sorte d'aura négative flotte autour d'elle et ses bras tremblent. Le magazine parle d'un certain Nash Gold et de son équipe de basket. Comme quoi, la petite-amie du capitaine l'aurait quittée et avait disparu, il ne savent pas qui est la copine mais elle a soudainement disparue.

Je ne comprends cependant pas pourquoi elle se met dans cet état à cause de ça, ça ne doit pas la concerner, je pense

Une idée me vient, et si c'était Zenia la petite-ami ? Quoi ? Impossible ! Quoique, personne ne la connait vraiment, elle a débarquée soudainement des Etats-Unis avec ses parents, a fait une pause dans son métier de basketteuse pro. C'est tout ce que nous savons, nous ne savons même pas où vont ses limites au basket. Elle ne semblait même pas ressentir les effets de la zone lors du match d'aujourd'hui.

J'étais encore dans mes pensées quand elle s'écroula, pris de panique, je m'accroupi à côté d'elle rapidement. Elle a les yeux ouverts et semble cogiter.

-"Les gens semblent penser qu'elle a disparu dans un autre pays, ils ne savent vraiment rien. Quand on ne sait pas toute l'histoire, on écrit pas." Elle semble plus se parler à elle-même.

Elle se rend enfin compte de ma présence, et me demande ce que je fais là.

-"Sérieusement ? Je t'ai dit que je venais te ramener"

-"Ah ouais ! C'est vrai !"

-"Bref, lève toi au lieu de rester au sol."

-"J'peux pas"

-"Comment ça ?"

-"Bah on dirait que les effets de la zone commencent à se montrer."

-"Bah comment on va faire alors !?"

-"Aller réfléchi ! Tu vas me porter pardi !"

-"Et puis quoi encore !?"

Elle fait une moue boudeuse et croise les bras en me disant de partir et de la laisser là, qu'elle se débrouillera toute seule. Je soupire, me lève et pars en direction de la sortie. Elle est bien trop têtue pour me demander de revenir, nous le savons tout les deux. Elle s'accroche aux étagères et tente de se relever. Elle retombe. Elle soupire et se laisse tomber au sol. Zenia est maintenant allongé à même le sol, les bras à la perpendiculaires de son buste.

Elle tourne la tête vers moi et arque un sourcil, je soupire. Ne pouvant pas la laisser seules ici en compagnie du caissier qui la regarde beaucoup trop, je suis donc contraint de partir vers elle pour la porter. Je prends ces bras et la tire vers moi, elle est à présent sur mon dos.

-"Dis Daiki, tu peux me porter de devant ?"

-"Je peux aussi te laisser ici."

-"S'il te plait, je suis en jupe et j'ai pas envie que tout le monde voit ma culotte." Me chuchote t-elle.

Sans réfléchir, je la fais tourner pour la mettre devant moi. C'est vrai, qu'elle est en uniforme, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs.

Je pose mes mains sous ses fesses et elle pose sa tête dans mon cou. Je la sens sourire dans mon cou. Elle est beaucoup trop maligne cette petite ! Je la pose sur l'arrière de mon vélo et monte à mon tour. Elle se tiens à moi quand je commence à pédaler. Je la sens poser sa tête sur mon dos.

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On est devant le terrain de basket en face de chez nous, je descends et elle reste assise.

-"Ça te dis qu'on sorte ensemble demain ?" Elle me demande doucement.
-"Que... Quoi ?!"
-"Bah oui, je dois aller m'acheter une paire de basket et j'ai pas envie d'y aller seule."

Je soupire, au fond de moi, j'espérais peut-être plus... ?

-"Alors c'est d'accord ?"
-"Ouais..."
-"Cool, on pourrait aller, hum, dans un, hum, café ou quelque chose comme ça ? Si tu veux pas, dis le moi hein ?!"

Elle semble paniquer, je la regarde, elle est belle. Je rigole mais mes joues et mes oreilles doivent être toutes rouges. Elle vient vraiment de m'inviter pour sortir ensemble demain ...? Je la regarde, elle panique toujours mais me regarde et semble attendre ma réponse. J'arrête de rire pour lui sourire.

-"Avec plaisir, mais je tiens à dire que je savais que tu m'aimais trop." Dis-je.

Je rigole un peu et la regarde. Au lieu de rire avec moi, elle rougit d'un coup. Je beugue avant de moi aussi rougir violement. Je viens vraiment de dire qu'elle m'aimait et elle, elle rougit. C'est bon signe, non ? Je ne sais pas mais en tout cas, je ne réalise réellement que maintenant que demain, j'avais un rendez-vous avec une fille que j'ai connu cette année, dont je ne connais presque rien mais qui me rend fou. La fille que j'aime...

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Voici le dix-septième chapitre de cette fanfiction ! J'espère qu'il vous a plu et n'hésitez pas à voter et à commenter votre avis ou au contraire si il ne vous a pas plu *3* kiss !

Je suis une As Où les histoires vivent. Découvrez maintenant