Voici le vingt cinquième chapitre de cette fanfiction, j'espère qu'il vous plaira *3*
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Nash, mon cher grand cousin.
Je souris, je m'étonne moi même. Il y a quelques mois, je serai déjà monté dans les tribunes pour lui péter la gueule à cet enfoiré. Mais on dirait que le temps passé avec l'équipe de Seirin et Daiki, m'a fait "mûrir". Bon, en vrai, l'envie de lui péter sa face de rat me démange mais après le discours que je viens de faire, je vais pas m'amuser à le faire. Quoique ? Peut être une autre fois.
Bref, l'arbitre nous ordonne de nous placer. Mais il se prend pour qui lui ?! Mon regard qui était toujours sur eux se dirige autre part de ces abrutis. La bêtise est contagieuse, vous ne le saviez pas ?
Je vois de loin, un peu partout, debout au fond, les équipes adverses. Contenant, les anciens membres de la génération miracle. Je sens qu'on me donne une tape derrière la tête. Par réflexe, je donne un coup de pied dans le genou de la personne. Un petit cri retentit derrière moi. Kagami ?
-"Pourquoi tu cris, abrutis ?" Il me regarde comme si c'était évident.
-"Toi, pourquoi tu m'as donné un coup de pied ?!"
-"Ah c'était toi ? Bah, toi, pourquoi tu m'as donné une tape à la tête ?"
-"Mais c'était pas moi !" Bah si c'est pas lui, c'est qui alors ?Je me tourne de l'autre côté et trouve Kuroko, c'était lui ?
-"Vous me fatiguez." Je dis cela et pars vers mon emplacement.
-"Et un pardon, c'est trop demander ?!" Il me veut quoi encore cet abrutis ?Je finis par soupirer, et préfère l'ignorer. Je l'entends juste râler dans son coin.
La balle est lancé, Kiyoshi arrive une fois de plus à la prendre. Il me la passe, je cours en dribble vers le panier. Je les esquive tous, personne n'a le temps de voir quoique ce soit, que je suis déjà sous le panier. Je saute et fais un dunk simple.
15 à 7 pour Seirin
Je passe près de Daiki et lui susurre une simple phrase qui a l'air de l'énerver.
-"Tu n'es pas le seul à pouvoir courir vite, et quand tu l'auras compris, je t'aurais déjà battue 100 à 20 points pour Seirin."
-"Tu veux parier ?"
-"Pourquoi pas. Le gagnant aura tout ce qu'il veut de l'autre pendant 1 journée. Et attention, la dernière fois je n'oublie pas tu que tu devais me réaliser quelques voeux."Il tressaille. En plus, il avait vraiment cru que j'avais oublié cet imbécile.
Mais bon, en attendant, je m'en fiche. Car pour l'instant, ces quelques voeux ne sont pas mon problème. C'est plutôt les clowns devant moi qui m'inquiètent. Je me trouve devant Imayoshi et Wakamatsu. Leur capitaine a toujours ce sourire sournois, avec ses yeux clos, je ne sais pas à quoi a m'attendre, ne pouvant pas déceler le moindre indice dans ces pupilles. Et l'autre, il est imprévisible, on dirait qu'il peut exploser a tout moment. Ça peut être redoutable. N'oublions pas, avant que Daiki ne rejoigne Too, ce lycée était déjà connu pour son basket.
Kagami, quant à lui, se trouve devant Daiki. Lui aussi semble vouloir exploser.
Je parlais sérieusement, je compte bien écraser Too, avec 100 points.
Le match reprend, je vois Daiki se concentrer. Il ne bouge plus. Il veut rentrer dans la zone ? Bien, mais de ce que je sais, il ne peut rentrer, comme Kise, que dans la première. La fausse, si on veut. Je décide de ne rien faire, on va bien voir jusqu'où il peut aller. Alors qu'il tient la balle, il court rapidement jusqu'au panier. Il est rapide, c'est vrai et cette zone intensifie sa rapidité.
Mais c'est toujours trop lent.
Je peux, limite, le voir courir au ralenti. Il ne me suffit que de tendre ma main à droite pour lui dérober la balle.
Je tends alors ma main à droite, et lui prends la balle. Je suis à l'opposé mais tir quand même d'une main. La balle rentre immédiatement dans le panier sans toucher l'arceau.
18 à 7 pour Seirin
De l'ennuie.
Cette émotion que je ressens, depuis plus de 7 ans, quand je joue au basket. L'ennuie. Les joueurs adverses sont lents, faibles et lâches.
Je me retourne pour refaire face à mes deux adversaires. Ils font une tête d'enterrement. Je n'y fais pas attention.
Daiki a encore la balle, encore une fois, il court rapidement.
Jamais assez vite.
Je retends ma main à droite. Sauf qu'au lieu de passer près de moi, il me contourne et Imayoshi me bloque. Je vois.
Il saute et dunk. Sauf qu'encore, à force de se focaliser sur moi, on oublie les autres. Il ne faut pas oublier que c'est aussi un fauve qui était sur Daiki.
Comme je l'avais espéré, Kagami s'est jeté sur la balle et a tapé dedans. La faisant sortir du terrain pour venir se cogner près des photographes. Les pauvres.
Daiki repasse près de moi, je laisse échapper un rire. Il s'arrête directement.
-"T'es un peu salope quand même." Donc il gâche mon rire juste pour me dire ça, au contraire ça fait s'intensifier mon rire.
-"Moooo, tu ne le savais pas ?"J'attrape son col pour l'attirer à moi. Bah oui, on fait pas la même taille. Nos lèvres ne sont qu'à quelques centimètres l'une de l'autre. J'entends plusieurs flashs d'appareils photos près de nous. Mais tant pis, nous sommes dans notre petit monde.
Il finit par réduire l'espace entre nous, et m'embrasse. J'entends plusieurs exclamations autour de nous. Je retiens surtout la voix de mon père, il doit sûrement être en train de faire sa petite crise. Eh bien, on dirait que pendant ce match, j'en aurais étonné beaucoup...
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Voici le vingt cinquième chapitre de cette fanfiction, j'espère qu'il vous a plu et n'hésitez pas à voter et à commenter votre avis ou au contraire si il ne vous a pas plu *3* bon bizzzz de ma part 😉
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Je suis une As
أدب الهواةJe viens de Russie, les rumeurs courent sur moi. Une élève de Alexandra Garçia ? Oui. Depuis mes 4 ans, voire un peu plus. Après avoir été son élève pendant quelques années, je suis retournée dans mon pays d'origine où je suis devenue pro. Je n'ai p...