chapitre 18

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Voici le dix-huitième chapitre de cette fanfiction, j'espère qu'il vous plaira *3*

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PDV : Zenia Polotsky, chez elle

Non, non et non ! Ça ne va pas ! Je ne serai jamais prête à temps !

Je viens tout juste de me réveiller, et on dirait que je suis un peu en retard. Si dans dix minutes, je ne suis pas prête, je serai vraiment en retard !

Je ne trouve pas mon haut, j'ai comme qui dirait décidé de me mettre en jupe, aujourd'hui. Un rendez-vous avec Daiki quand même. Mais attend ! Si lui, il ne prenait pas ça pour un rendez-vous et qu'il pensait que j'en faisait trop ! En plus avant d'aller à un café, on va m'acheter une paire de basket ! J'avais pris cette excuse mais je pense qu'il serait vraiment bien que je m'achète une nouvelle paire, les miennes commencent à être abîmées ! Au pire, je ferais comme si aucune ne me plaisait et comme ça je pourrai lui demander de ressortir ensemble. Il pourra me raccompagner un autre jour et, cette fois, je mettrais une tenue de sport.

Zenia, tu es beaucoup trop intelligente !

Zenia, tu es, aussi, beaucoup trop en retard !

Il est où ce stupide haut !? Je l'avais posé ici, hier ! Argh, ça m'énerve. Hier soir, avant de m'endormir, je m'étais fait un plan de toute notre journée, allant de mon réveille jusqu'au moment où je rentrerai chez moi !

Trouvé ! Il était sous ma serviette de bain, ce crétin ! C'est un t-shirt blanc, un peu court, et collé au corps. Je prends ma jupe à fleur qui m'arrive un peu avant les genoux. Je mets mes chaussettes et ma paire de converse blanche haute.

Je n'aime pas vraiment porter des jupes et des robes, je trouve ça agaçant d'avoir toujours peur qu'elle remonte de trop. Mais bon, on va pas dire que c'est une malédiction non plus.

Bref, je m'égare, encore ! Je prends rapidement mon sac à main que j'avais préparer la veille, heureusement. Je m'étais levée exprès, alors que j'allais m'endormir, pour le faire. Je vérifie quand même si je n'ai rien oubliée. Alors; téléphone, porte monnaie avec de l'argent dedans, batterie externe et miroir. Bah oui, j'ai même fait un effort, j'ai mis du rouge à lèvre ! J'ai même pris le temps de mettre du parfum !

Je prends un petit gilet, en dessous de ma veste que je laisse ouverte. Je cours dans les escaliers, embrasse la joue de ma mère et de mon père, et leurs explique que je sors dehors avec Daiki. Mon père rage et explique comment il va tuer ce "merdeux", ma mère quant à elle, me regarde avec des étoiles dans les yeux et frappe mon père pour qu'il arrête de délirer. Je rigole un peu et sors vite de la maison en prenant mes clés pour les mettre dans mon sac à main. Je cours vers notre point de rendez-vous, le terrain de basket. Il y est déjà, de dos, il ne me voit pas. Il semble s'impatienter et pianoter sur son téléphone.

Il est beau comme ça, il a mit un t-shirt moulant blanc, un pantalon noir, et coïncidence, il a mit une paire de converse blanche aussi, mais basse. Je cours, prends de l'élan et lui saute sur le dos. Il semble surpris mais ne tombe pas. Je rigole, tel une déesse. Non, je déconne, je dois juste ressembler à une otarie qui rigole parce qu'on lui demande de jouer avec un ballon, il manquerait plus que je tape dans mes mains. Il grogne, animal va. Je descends de son dos, alors qu'il allait sûrement m'engueuler, il bloque sur ma tenue.

Il aime pas ? Argh, pourquoi j'suis pas télépathe ou un truc du genre ?! Je l'analyse moi aussi, il est mieux de face que de dos en tout cas ! Je toussote pour le sortir de ces pensées, les joues rouges, il passe sa main sur sa nuque et détourne le regard.

-"T'es jolie comme ça."

Je sens directement mes joues chauffées. Je bredouille un "merci". Je me sens ridicule. Voilà pourquoi je déteste les relations humaines, ça me stresse. Je suis jamais encore sortie avec un garçon, du sens amour et, même, du sens sortie entre amis.

J'ai baissée la tête sans même m'en rendre compte. Je sens son regard sur moi. Ne pouvant plus le supporter, je prends sa main et nous dirige vers la sortie du terrain.

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On marche toujours main dans la main, il n'a pas lâché la mienne et je ne compte pas lâcher la sienne. Nous sommes dans un centre commercial, à la recherche de ma paire, que je n'achèterai pas aujourd'hui. J'ai toujours mon plan en tête. Ca va faire une heure qu'on est dans ce centre commercial et je refuse toutes les paires qu'il me propose. Je lui propose donc de ressortir une prochaine fois, et il accepte cet idiot ! Plan diabolique en marche, non en vrai, je suis grave contente.

On décide de se poser dans un Starbucks. Je me prends un café glacé, lui prend la même chose mais avec deux donuts. On a du débattre pendant au moins quinze minutes pour savoir qui allait inviter qui, j'ai perdu, comment gagner face à cette tonne de muscles ?! Je déteste perdre.

On est assit à une table avec vu sur la rue, pleins de gens sont dehors. Il mange tranquillement et moi je bois mon café, le regard et les pensées qui divaguent.

J'en reviens pas que les médias affirment qu'elle est partit après l'avoir quittée, à croire que c'est ce Nash la victime ? Mais bien sûr, comme d'habitude, Nash est le petit agneau, sage, des prairies et elle, elle est le loup avide de sang et de pleins de rage. J'en reviens pas. Plus je pense à lui, plus il me dégoûte. J'en reviens de savoir qu'il est sortit avec elle, ma meilleure amie, qu'il l'a traité ainsi, et qu'il s'en sorte comme si de rien n'était. Je n'en reviens pas d'être sa ...

PDV : Aomine Daiki, au Starbucks en face de Zenia

Elle semble perdue dans ses pensées, elle a le regard dans le vide. Je ne m'attendais pas à la voir habillée comme ça. Elle est vraiment belle. Elle ne semble même pas avoir sentie mon regard sur elle. Je me demande à quoi elle pense.

Je me demande aussi si elle prend notre sortie pour un rendez-vous. Pour moi, je pense que s'en est un. J'espère qu'elle pense la même chose. Je sais aussi très peu de choses sur elle, comme tout le monde, je pense. Elle est arrivée du jour au lendemain, a battue Kise avec tellement de facilité. Personne ne connait ses limites, je ne sais même pas si elle en a. Personne ne sait vraiment qui elle était aux Etats-Unis. Cette fille est un vraie mystère à elle seule. A part son titre, personne ne sait rien sur elle, peut-être cette Alexandra Garçia.

Je me lève de ma chaise, approche mon visage d'elle, et bois de sa boisson. Ca la réveille, elle me regarde avec de grands yeux, et cri. Après avoir bu une gorgée, je m'éloigne et lui souris.

-"I...Idiot !" Cri-t-elle avant de tourner son visage pendant que je rigole.

Malgré le peu d'information que j'ai sur toi, Zenia. Les seules choses que je sais de toi, ont fait que je suis tombé amoureux de toi.

Que m'as-tu fais Zenia ?

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Je sais, vous pouvez me détester pour avoir coupé juste avant qu'elle ne dise sa relation avec Nash 😂

Voici le dix-huitième chapitre de cette fanfiction, j'espère qu'il vous a plu et n'hésitez pas à voter et à commenter votre avis ou au contraire si il ne vous a pas plu ! Bref kiss *3*

Je suis une As Où les histoires vivent. Découvrez maintenant