Chapitre 28:

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Toujours point de vue de Léa:

On sortie de l'infirmerie et Clarisse alla se passer un coup d'eau sur le visage avant d'aller en cours, les gars étaient partie dans leur classe et nous nous y dirigeons.

- Je suis désolé.

- Pourquoi? Me répondit elle.

- Je n'ai rien vu et rien fait pour t'aider, je suis vraiment désolé.

- Tu n'as rien fait car il n'y avait rien. Je l'avais oublier car pour moi ce n'est pas mon père, tout à l'heure j'ai flipper parce que je voulais pas qu'il revienne mais ça va aller maintenant.

On se fait un câlin et entra dans la classe présenta nos retard et ont s'installa au fond de la classe et Alexandre nous rejoint, il était rester un peu avec les gars pour savoir si ça aller.

- Je me suis fait engueuler, nous dit il en s'installant devant nous alors qu'il y avait une fille.

- Pourquoi? Lui demandé je.

- Thomas m'a dit que je devais me préoccuper plus de Clarisse que de Antoine qui est déjà avec ses potes, il m'a dit que c'était pas très bien de te laisser après se que tu as dit.

- Laisse le, il est sur les nerfs aussi, répondit Clarisse.

Toute l'heure se passa dans le silence, Clarisse était ailleurs et Alexandre et moi n'osions pas parler pour l'instant et la laissèrent dans ses pensées.

Nous allons dans le prochain cours et en attendant dans le couloirs les gars passèrent à côté de nous et Thomas me lança un regard genre vient voir.

- J'arrive, dis je en le suivant.

- Ça va? Me demande t'il.

- Bah oui et toi?

- J'étais un peu sur les nerfs tout à l'heure et vu que j'ai pas vu Alexandre tu pourra lui dire que je m'excuse?

- Oui, c'est tout parce que je vais être en retard.

- Elle va bien?

- Elle a était ailleurs pendant tous le cours d'avant mais il faut lui laisser un peu de temps.

- Ouais, je sais, surveille là bien et Martin veut que tu aille le voir vers les casiers à la pause, me sort il avant de partir en me lançant un clin d'œil.

Je pars en cours et rattrape Alexandre et Clarisse avant de tout leur dire.

- Thomas s'excuse, sortie je en me tournant vers Alexandre puis vers Clarisse, je crois qu'il a des sentiments pour toi, il m'a demander de te surveiller et Martin veut me voir à la pause vers les casiers.

On entre en classe moi dans l'euphorie et on s'installe à nos place puis on reparle sur des papiers car la prof est chiante.

Alors avec Martin, me demande Clarisse.
Bah on verra à la pause, répondis je, et toi avec Thomas.
Bah rien, il s'inquiète juste!
Je suis d'accord, écrit à son tour Alexandre.
Vous êtes pas drôle! répondis je .
C'est la vérité, dit encore Alexandre.
T'es jaloux!!
On entendit un raclement de gorge avant qu'il ne réponde.
N'importe quoi.
Écoute le cour si c'est pour dire des suppositions, marqua Clarisse.
Ho ça va, tu le faisait bien toi avec Martin.
Ouais mais parce que j'étais sûr!!!
Et bah je vais m'en assurer alors.
T'es chiante.

Je lui répondis par un grand sourire puis on fini par écouter le cour parce qu'on s'ennuyer et enfin la sonnerie s'enclencha, aller dehors. J'allais pour me dirigeait vers notre place quand je me souvenu que Martin m'attendait.

- Je vous rejoins.

- Ah oui, c'est vrai, tu me racontera tous, me dit Clarisse avec un grand sourire.

Je me mit vers les escaliers à côté des casiers et mit mes écouteurs en attendant puis une main se posa sur mon épaule, je sursauta puis me leva face à Martin en enlevant mes écouteurs.

- Salut, me fit il gêné et en regardant derrière moi. Je me tournis et vit tout le monde derrière en train de lever les pouce ou de hocher la tête.

- Viens, lui dis-je en lui prenant la main en montant les escaliers comme ça ici il n'y a personne.

- Les jeunes dehors, nous fit un surveillant derrière nous.

- Je peut lui dire ce que je veut lui dire, dis Martin en commençant à en avoir marre.

- Excusez nous, dit-je en lui faisant descendre d'autres marches. Voilà.

- Et du coup, tu voulais me dire quoi, dis-je timidement.

- Ça te dis on... Puis il m'embrassa et je le laissa faire. Une fois à bout de souffle, il me regarde et me dit "je prend ça pour un oui"

- Tu le prend bien, lui dis-je en souriant.

On sortie et alla rejoindre les autres qui étaient repartie à notre place. Et bien sûr, il nous regardèrent tous, la genance.

- Alors mon gars, sortie Arthur.

Il y eu un silence puis il me réembrassa devant tout le monde et les autres étaient en train d'applaudir comme des gamins et on s'installa cote à cote.

La journée continua dans la bonne humeur, il c'était passer tellement de chose en même temps.

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