Chapitre 39:

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Point de vue de Clarisse:

Bon les cours sont finit on se rejoins tous et Bastien nous emmènent au stade. On se met dans les gradins, je me met au bord au moins si j'ai envie de partir je ne dérangerai personnes. Il y a grave de monde et tout le monde se met à crier quand les joueurs arrivent. Je comprend pas, calmez vous c'est pas des célèbres joueurs. On est juste dans le lycée mais je leur laisse leur moment de joie. Tout le monde se rassoit. C'est pas que j'aime pas mais je trouve sa trop long et la seul chose qui m'intéresse c'est quand ils marquent ou les blessures, des petits moments d'actions. Sinon c'est juste qu'ils courent et se font des passes et c'est pas vraiment folichon. Notre lycée se bat contre un autre qui est à 30 minutes environs et ils sont plutôt bon, déjà ils arrivent à se faire des passes correcte alors que nous nos joueurs se sont déjà embrouiller au moins 6 fois et juste entre eux. Je vois le coach, il est en train de faire les cent pas et il doit sûrement être en train de péter un câble intérieurement. Pourtant ils m'avaient plutôt l'air soudé comme équipes.

Bastiste qui est assit à coter de moi est en train de fulminer sur place et se lève pour aller parler au coach.

- Il kiffe à fond, me dit Alexandre en se mettant à la place de mon frère.

- Ouais, on dirais, moi je comprend pas.

- Je sais, moi non plus... Je voulais m'excuser.

- Bah pourquoi? dis-je en lâchant complément le match.

- Bah en ce moment je vous aient un peu laisser de côté avec Léa.

- Mais c'est pas grave. Tu découvre ta sexualité donc c'est cool que tu t'es trouvé un petit copain.

- Merci, me dit-il en me faisant un câlin.

Alexandre était venus nous voir avec Léa, il y a quelques semaines, il était en flippe total. Il voulait nous parler sérieusement. Et il nous as expliquer qu'un garçon lui faisait des avances mais lui n'avait jamais envisager de tomber amoureux d'un garçon aussi. Sauf que avec le temps, il le trouver plutôt mignon à ne pas le lâcher et il a décider de se lancer et on verra bien si sa fonctionne. Par contre il voulait le dire à personne et j'ai pas pu vous en parler ni aux autres zouaves à cotés.

- Tu sait, tu peut passer autant de temps avec lui. Le temps que tu te sent pas prêt, tu sait bien que l'on est là pour toi.

Il me fait un câlin et retourne à sa place.

Bon on se fait déchirer donc je vais rentrer, de toute façon je suit pas le match.

- Bon j'y vais. A demain.

- Attend je rentre aussi, dit Thomas en se levant.

C'est plutôt tendus entre nous depuis la soirée chez Marcus où on c'est bien rapproché mais bon on a bien rit aussi dans les couloirs.

On va vers le parking qui est encore plein et on rentre dans sa voiture et bien sur j'allume... La radio. Le chemin avait l'air plus long que d'habitude car aucun de nous ne chante ou ne parle.

- C'était bizarre ce matin. Martin n'a même pas mit la radio.

- Je voulais m'aérer la tête.

- Oui, je sais.

Le silence revient et c'est vraiment pesant. Il y a rien, on c'est amusées ensemble hier et alors pourquoi on est si gêner au lieu de chanter et parler. On c'est pratiquement pas adresser la parole aujourd'hui et là sa continue.

- Ça va ?

- Bah oui, pourquoi ?me demande t-il.

- Je sais pas. J'ai trouvé que... Je sais pas trop.

- Ok, dit-il en me regardant. Vas y explique.

- Bah j'ai trouvé que cette journée était bizarre genre c'était pas comme d'habitude.

- Tu m'étonnes si tu nous fait courir pour fuir un surveillant, c'est pas comme tout les jours.

Je sourit en me rappelant que c'était quand même drôle.

- Au moins à faire une fois dans sa vie.

Il me sourit puis on arrive devant chez moi. Bah voilà pas compliquer quand on veut, franchement pourquoi ne pas m'avoir parler cette journée ?

- C'est à qui cette voiture ?me dit Thomas me sortant de ma rêverie.

Ho merde. J'avais oublier.

- Je l'avais oublier lui.

- Ça va pas ?dit-il quand je souffle.

- Je m'en souvenais plus mais mon père est à la maison.

- Ho merde, désoler.

- Ouais. Bon j'y vais.

- Attend, tiens mon num. Si tu veut parler tu m'envoies un mess, OK.

- Merci.

Je lui embrasse la joue puis sort de la voiture. Je prend une grande respiration avant de passer la grille de chez moi.

Je monte les escaliers et attend devant la porte mais je n'entend aucun bruit. Je pousse la porte et entre sans faire de bruit, je monte direct dans ma chambre et saute sur mon lit. Pourquoi il vient dans ma vie maintenant quand je commence à être heureuse? Quand je commence à me sentir bien et à ma place.

Je sort mon téléphone et envoie un mess à Thomas.

À Thomas.

" Salut, t'es bien rentré."

De Thomas.

" Oui, ça va toi ?"

À Thomas.

" Oui, je l'ai pas croisé. Il y a aucun bruit, je crois ils sont partit."

De Thomas.

" OK. Endors toi comme ça quand ils arriveront tu ne le saura pas. Je t'enverrai un mess demain matin. "

À Thomas.

" OK, merci."

De Thomas.

" Bonne nuit"

À thomas.

" Toi aussi"

Bah voilà quand il veut, il est bizarre ce type. Faudrait que je lui demande pourquoi il m'a ignorer.

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