Les semaines passaient, j'étais très affaiblie je marchais difficilement, mon dos me faisait souffrir milles mort. Je m'efforçais à faire au moins un peu de marche dans la maison, puis m'occuper un peu de mes enfants. Je n'étais pas seule, même après son congé parental, il poursuivait son activité professionnelle mais revenait tous les soirs cette fois ci. Il avait ramené beaucoup de choses pour soulager les douleurs, du matériel médical pour l'étirer, faire quelques exercices de rééducation. Je travaillais autant qu'il m'était possible de travailler. Mais je souffrais toujours autant. Il était très inquiet, Lorenzo quant à lui était adorable avec sa petite sœur, nous avions eu un peu de mal à nous décider pour un prénom pendant ces neufs mois étant donné que tout était compliqué nous en avions presque oublié qu'il fallait tout de même lui donner une identité à cette petite chose. Puis c'est au bout d'une semaine de naissance que nous avons fini par lui trouver un prénom, forcément j'avais donné un prénom italien il a donc choisit un prénom portugais pour sa fille. Fort heureusement, il ne m'a pas pondu Cristiana! Je crois que la j'aurai explosé. Déjà que Lorenzo n'était pas son seul prénom et n'était que le second qui plus est, si ma fille avait hérité du même prénom que son père en version féminin, je lui aurai fais la guerre.
Notre princesse avait un joli prénom je voulais simple et lui voulait portugais, nous avons trouvé notre bonheur dans Rosa. Il était dingue de sa petite fille, c'était d'un adorable je craquais chaque fois qu'il était avec sa petite fille, c'était bisous sur bisous, il la portait presque sans arrêt, j'avais beau essayé de lui faire comprendre qu'elle avait besoin aussi d'apprendre à être hors des bras mais c'était compliqué, dès que Rosa était réveillée il ne pouvait s'en empêché c'était comme un magnétisme.
Nous étions en admiration parfois devant nos deux enfants, il nous arrivait d'être avachis sur le canapé et de regarder Lorenzo s'affairer à impressionner sa toute petite sœur dans son transat, qui n'avait de cesse de l'observer avec des yeux écarquillé parfois. Il parlait en permanence, tout avait un intérêt à être raconté avec des mots d'enfants, que vous imaginez la plus part du temps incompréhensibles. On se regardait mutuellement dans ces moments là en souriant, on avait beau être enfermé ils étaient notre bouffée d'oxygène. Lorsque les enfants étaient à la sieste je me reposais et lui s'occupait, si tout était propre il travaillais ses entraînements dans la salle de sport, pièce dont je n'avais pas vu la couleur depuis des mois, comment aurais-je pu même encore à ce jour je ne me voyais pas faire du sport avant très longtemps. Pourtant ça me démangeais, ce qui m'étonnait beaucoup moi qui de base ne suis pas sportive le moins du monde. Je pense que c'était plus devenu un mode de vie qu'une réelle envie.
Un mois de vie ma petite Rosa niña, elle était est est toujours si jolie et si calme qu'elle chance j'ai d'avoir des enfants adorables. Du moins jusqu'à un certain âge, voilà que Lorenzo eut une nouvelle lubie en dehors de celle qui consistait à devenir comme son père, il voulait un chien. Ben voyons... « et maman, et ben et ben mon chien il être sage comme moi, et papa dit que moi je vais aurais un chien! » encore mieux un chien ici ? Pourquoi pas tiens et j'avais pensé à un cheval aussi tant qu'à faire. Tous les jours il me parlait de son chien inexistant qu'il n'aurait jamais ici, c'était déprimant ça me rappelait tous les jours que nous étions enfermé au milieu de nulle part, dans un pays étrangé. Pourquoi faisait il croire à son fils qu'il aurait un animal tel qu'un chien, c'était lui faire plus de mal qu'autre chose.
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L'ombre de CR7
FanficDe l'amitié à l'amour De l'amour à la passion De la passion à l'obsession De l'obsession au crime... Julie était une jeune femme ordinaire, passant quelques semaines de vacances au Portugal. Mais la rencontre d'un homme ne changera pas juste son...